Les chars d'assaut lourds

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  • Faun a écrit

    …Point noir : il n’est pas combat proff mais bon sur ce registre seul le merkava, le challenger, le T80 / 90 et le M1 le sont, donc ni le léopard 2 A5 ni les très bon MBT japonais et coréens le sont…

    Des Léopard 2A5 danois et des Léopard 2A6M-CAN canadiens sont utilisés au combat en Afghanistan. Combat Proven (comme d'autres :lol: ), mais bon c'est pas du jeu l'ennemi ne possède même pas de MBT. :mrgreen:
    Si vis pacem parabellum! Si cette phrase veut dire qu'il faut préparer la guerre afin d'avoir la paix, elle ne signifie pas pour autant qu'il faille la faire, la guerre, surtout en mettant la paix en danger.Rafighter
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  • Rafighter a écrit

    C'est ce genre d'images que tu cherches?

    http://data.primeportal.net/tanks/andre_patschke/merkava_mkii/merkava_mkii_07_of_21.JPG


    http://data.primeportal.net/tanks/andre_patschke/merkava_mkii/merkava_mkii_05_of_21.JPG


    Système simple et efficace (résultat d'un grande expérience du combat)?

    A skirt of chains with ball weights is installed on the lower half of the turret bustle. Incoming HEAT projectiles detonate on impact with the chains instead of penetrating the turret ring…

    http://www.army-technology.com/projects/merkava/

    ouais c'est ça ;)
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  • Voilà c'est fait…
    J'ais franchi le pas…




    J'ais voté…















    Pour moi, c'est purement au feeling…le T-80
    C'est marrant çà, ces derniers temps, je me prends d'affection pour le matériel terrestre Russe.
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  • he he he c'est bien t'a choisis un "pur sang" raçé comme un étalon du djebel ! :lol:
    l'est quand même beau ce T80…

    pour pour de qui est du merakva en combat hurbain et son faible blindage arrière, dans la doctrine d'emplois israelienne que j'ai exposé dans le post sur les véhicules bindés lourds il y a peut, le MBT reste loint derrière lifanterie qui avance elle avec des VBCI super lourds (chassis de chars) et des… buldozers

    en bref l'infanterie attire sur elle le tir ennemis et le chars loint derrière sulfate tout ce qui fait mine de bouger. 8)

    du coups le Hamas c'est fait une spécialitée de creuser des tunel ou d'utiliser les égouts pour surjir derrière le char et tout simplement poser une charge sur la porte arrière; c'est comme ça que le soldat chalit à été fait prisonier (seul survivant de l'équipage après la détonation cari il etait le pilote donc le plus a l'avant du blindé).

    pour ce qui est des leopard combats proff sorry j'avait oublié qu'en fganistant la seule chose que les holandais avait pas pris avec eux c'est leurs bateaux :lol: :lol: :lol:

    mais bon nous on est pas en guerre hein donc pas besoin de leclercs, de caesars et d'amx 10… tout ça c'est juste bon pour des mission de paix au kosovo face a des traficants de drogue…. :fou:

    mais bon avec 100 leclercs sur le marché de l'ocase on vas peut être voir du nouveau… 8)
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  • Rafighter a écrit

    Faun a écrit

    …Point noir : il n’est pas combat proff mais bon sur ce registre seul le merkava, le challenger, le T80 / 90 et le M1 le sont, donc ni le léopard 2 A5 ni les très bon MBT japonais et coréens le sont…

    Des Léopard 2A5 danois et des Léopard 2A6M-CAN canadiens sont utilisés au combat en Afghanistan. Combat Proven (comme d'autres :lol: ), mais bon c'est pas du jeu l'ennemi ne possède même pas de MBT. :mrgreen:

    Oui, sauf qu'ils ont oublié une chose, Raf. Le terrain montagneux afghan serait certainement plus propice à des véhicules 8x8 style Stryker ou Rooikat, que des véhicules à chenilles de plus de 50 tonnes. Là, ils vont comprendre leur douleur quand ils verront à quelle vitesse sera "consommé" un jeu de chenilles.
    C'est pas très malin comme choix…
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  • Ne parlons pas des cheniles "alu" des Leclerc Français qui fondent comme neige au soleil. La fatigue des équipages serait aussi accrue dans le terrain très accidenté de l'Afghanistan.
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  • Mauvaise foi ON

    "Au fait, ça remonte à quand la dernière fois que les Danois ont participé à une guerre ?" :?
    "Tant que ça !?! :fou: Ah oui, ça se voit, alors…" :mrgreen:

    Mauvaise foi OFF
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  • Guns a écrit

    Oui, sauf qu'ils ont oublié une chose, Raf. Le terrain montagneux afghan serait certainement plus propice à des véhicules 8x8 style Stryker ou Rooikat, que des véhicules à chenilles de plus de 50 tonnes. Là, ils vont comprendre leur douleur quand ils verront à quelle vitesse sera "consommé" un jeu de chenilles.
    C'est pas très malin comme choix…
    Tout au nord du pays il y a des pleines. Je suis aussi certain qu'il y a d'autres pleines dans ce pays grand comme la France.

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/45/Afghan_topo_en.jpg
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  • Parce que tu penses que les Taliban sont assez idiots pour se réfugier dans les plaines pour se faire engager par les chars ?
    La meilleure façon de vaincre mon ennemi, c'est quand même celle de l'emmener sur mon terrain à moi, tu le sais bien.
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  • c'est clair qu'il faut pas prendre les talibans (j'uilise ce mot qui veut tout dire et rien dire mais bon on voit de qui on parle) pour des idiots
    ce sont de redoutalbes combattants, l'embuscade dans laquelle 10 soldats français sont tombés en étant le parfait exemple, ils nous attendaient sur leur terrain et avec donc l'initiative et ont tout fait pour rester imbriqué avec les troupes de la coallition pour rendre difficile le CAS (d'ailleurs je crois que les F15 d'alerte ont pas pu engager)
    alors de la à espérer qu'ils viennent se battre en plaine contre des véhicules lourds et faire ainsi de parfaite cible pour les force aériennes de la coallition, j'y crois pas vraiment
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  • un chars en plaine là bas on appelle ça un AAI c'est à dire un Aiman A IED… :lol:

    En étant sérieux le seul intérêt du chars lourd sur place c'est son allonge, que ce soit au niveau du tir ou des capteurs et à ce niveau, qu le blindé soit a roues ou a chenilles c'est kif kif

    Mais bon c'est bon pour les plaines ou les vallées

    Pour ce qui est des montagnes afghanes, l'embuscade qui a vus mourir un légionnaire tombé avec son vab dans un ravin parce que la route c'est effondré sous sont passage ça résume leur état et leur étroitesse.

    Lors de la même embuscade la section en tête, qui a perdus 80 de son effectif à parcourus les derniers 1500 m du terrain a pied car les vab ne pouvaient pas aller plus loint… en résumé en montagne là ou seuls les ânes peuvent passer, il faut un engin de montagne !
    et on en as de très bon dans les chasseurs alpins avec des chenilles souples, et très bien blindés (les hollandais on testé sur place avec les IED et les RPG, ils en on été tellement satisfait de leur résistance aux RPG qu'ils en on déployé… au Tchad dans le Darfour comme on peut le voir dans le RAID du mois d’aout).

    Donc c’est une décision politique de les déployer ou non mais dans tout les cas la France vient d’en commander un grand nombre dans la version blindée pour les chasseurs alpins. D’ailleurs lors de leur dernière rotation sur place ils on voulu en emporter mais pas partageurs ils ne voulaient pas les laisser sur place pour les autres hors dans la logique française et pour des raisons de limitation de moyens, on constitue un pool de matériel sur place que se refilent tous les régiments en rotation donc il faut que la décision de prélever ces matériel en unité doit venir « d’en haut » (voilà la version non blindée : http://www.petitrain38.net/matmodern93.htm
    )

    De toute façon il y a un problème de fond, on est pas en guerre donc pourquoi envoyer du matériel lourd hors dans l’esprit de nos politiques, « chenille = guerre, roue = mission de paix ndlr »

    Le refus d’y déployer des forces spéciales vas dans la même logique, une force spéciale ça coute chers, c’est rare et ça ne sert qu’a faire la guerre donc pas besoin d’en envoyer… sic
    Mais au moins sur ce point le politique à tranché et certains au 13 fond déjà leurs paquetages.
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  • Faun a écrit

    Le refus d’y déployer des forces spéciales vas dans la même logique, une force spéciale ça coute chers, c’est rare et ça ne sert qu’a faire la guerre donc pas besoin d’en envoyer… sic
    Mais au moins sur ce point le politique à tranché et certains au 13 fond déjà leurs paquetages.

    En l'occurence je crois que c'est les politiques qui ont poussé pour envoyer des Forces spéciales parce que les F.S ça marque dans l'esprit de la population et ça montre que les politiques ont réagi aux 10 morts et pris des mesures (sans ce soucier de l'intérêt des F.S, apparement le CEMA était pas très chaud pour envoyer des F.S dans ce cadre
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  • http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/09/blinds-le-duel.html#more


    Voici un (très) long article, paru le 19 aout dans le cahier été de Libération, sous la plume de votre serviteur. Il n'était pas disponible jusqu'à présent sur internet.



    "S'il te plaît, dessine-moi un char ! Une tourelle avec un gros canon, un châssis bien solide, une demi-douzaine de roues et des chenilles autour. Des chenilles ? Maintenant, regardez les images du défilé du 14 juillet. La plupart des blindés roulent sur… des roues. Des roues ou des chenilles ? C'est une guerre sans merci qui fait rage dans les états-majors et les régiments. Une guerre très secrète et très franco-française où l'on s'affronte à coup d'innovations technologiques, de considérations budgétaires, d'expériences de combat ou de souvenirs des grandes manœuvres. Une guerre où, depuis vingt ans, un camp a gagné sur l'autre. La roue triomphe et les chenillés en sont réduits à préparer la revanche.

    L'opposition est fondamentalement culturelle et les arguments ne servent qu'à nourrir une querelle identitaire. D'un côté, les partisans du "léger" - de la roue, donc - estiment qu'à la guerre, il faut être "souple, félin et manœuvrier", comme disent les parachutistes et ne pas s'encombrer de matériels trop exigeants. De l'autre, les défenseurs du "lourd", qui savent que lorsque les choses sérieuses commencent, le soldat n'est jamais trop protégé, jamais trop armé. Deux traditions militaires, qui forment, ensemble, l'armée française : l'une tournée vers le grand large, héritière des campagnes coloniales, l'autre, le regard fixé sur la ligne bleue des Vosges, qui se souvient d'Austerlitz et de Verdun. Deux écoles irréconciliables : Lyautey contre De Gaulle.

    Le char, qui n'en peut mais, est le point d'application de cette querelle. Le char, ou plutôt son "train de roulement".


    L'avantage de la chenille est qu'elle répartit mieux la pression au sol que ne le fera jamais une roue. Le poids de l'engin repose sur une plus grande surface. Elle s'enfonce moins et adhère mieux. C'est la raison pour laquelle on utilise des chenilles pour faire avancer les dameuses des stations de ski ou les motos-neige. L'historien des blindés, Stéphane Ferrard, assure - sans l'avoir jamais testé personnellement - que le premier char français, le FT-17 pouvait rouler sur le pied d'un fantassin très bien chaussé sans l'écraser… Le FT-17 pesait quand même 6,7 tonnes. L'inventeur du véhicule blindé à chenilles est l'écrivain britannique H.G. Wells, l'un des pères de la science-fiction à l'égal de Jules Verne. S'inspirant des tracteurs agricoles chenillés qui venaient d'être inventés aux Etats-Unis, il publie en 1903 un récit d'anticipation militaire, intitulé The Land Ironclads ("Les cuirassés terrestres"), jamais traduit en français. Avant la première guerre mondiale, l'armée française avait déjà des engins blindés à roues, appelés automitrailleuses et auto-canons, en fonction de l'arme qu'elles transportaient. Mais dès les premiers mois du conflit, ces véhicules ne pouvaient plus circuler sur les terrains défoncés, souvent boueux et recouverts d'obstacles comme des barbelés" raconte Stéphane Ferrard. "Il fallait remplacer les roues par des chenilles". Ingénieurs français et britanniques, les derniers ayant peut-être lu H.G. Wells, inventent en même temps le même engin. "L'idée était d'abord de pouvoir écraser les fils de fer barbelés qui bloquaient le progression de l'infanterie". Pas la peine d'aller vite : les engins filent un bon 7 km/h… Cette lenteur est leur grand point faible. On le voit dès 1918, lorsque les armées alliées se lancent à la poursuite des Allemands en retraite. Il faut aller vite et l'on ressort les engins sur roues qui progressent alors à 60 km/h. Le Français qui a inventé le char chenillé, le colonel Estienne, va également être celui qui fournira les plus solides arguments techniques à ses adversaires. Passionné par l'idée d'une route transsaharienne, il étudie, avec Renault, un prototype de camion 8x8, capable de rouler en tout-terrains, en particulier sur les dunes de sables. De ces travaux, naîtront dans les années 30, des projets français de chars à roues. La défaite de 1940 empêchera l'entrée en service de ces Panhard AM 201, une spécialité bien française, qui débouchera en 1951 sur l'Engin blindé de reconnaissance (EBR). Les partisans de la roue tiennent là leur engin. Ils ne le lâcheront plus. Mais pendant toute une époque, les années 30 et 40 pour faire vite, défenseurs de la roue et avocats de la chenille trouvèrent un terrain d'entente provisoire avec les semi-chenillés. Ce sont, par exemple, les autochenilles Citroën de la Croisisère Jaune et de la Croisière, des véhicules avec deux roues à l'avant et des chenilles à l'arrière. Le semi-chenillé fut inventé par un Franc-comtois au service du tsar Nicolas II. Adolphe Kégresse était le responsable du garage de l'Empereur à Saint-Pétersbourg. Il mit au point ce système hybride pour permettre aux véhicules automobiles de rouler sur la neige. Il en existera une version militaire, le célèbre half-track américain. Les détracteurs du système disaient qu'il cumulait les inconvénients de la roue et ceux de la chenille, d'où son abandon sans regret à partir des années 60. On en revenait au duel roues vs chenilles.

    Les partisans de la chenille ne manquèrent pas d'imagination. Ils inventèrent des motos chenillées, l'étonnante Kettenkraftrad de la Wehrmacht et pensèrent même un temps équiper les avions de trains d'atterrissage à chenilles : des essais eurent lieu dans les années 50 et aboutirent à des résultats disons mitigés qui provoquèrent leur abandon…

    A la suite de la seconde guerre mondiale, la plupart des pays, en particulier les Etats-Unis, l'Union soviétique et les puissances européennes, privilégièrent l'usage de la chenille. Pour une raison simple : les chars de combat devenaient de plus en plus lourd, passant en trois décennies de 30 à 60 tonnes. Or, jusqu'aux années 80, il était quasiment impossible de construire un engin à roues de plus de 15 tonnes. "Les chenillés sont lourds, non pas parce qu'ils sont chenillés mais parce qu'on leur fait transporter des choses qu'un véhicule à roues ne pourrait pas transporter" explique un spécialiste militaire. "La chenille est le moyen le plus léger et le plus compact qui soit : le train de roulement du char Leclerc pèse douze tonnes. S'il était à roues, il en pèserait 17 et serait surtout 2,5 fois plus volumineux".

    Le problème, c'est que les chenilles sont plus chères que des pneus : "le coût au kilomètres du train de roulement d'un char Leclerc est trois fois supérieur à celui du nouveau VBCI", le véhicule blindé de combat d'infanterie, à huit roues. Or, les pneus spéciaux qui équipent le VBCI ne sont déjà pas donnés, entre 3 et 4000 euros pièces - à multiplier par huit pour chaque véhicule. Sachant que l'armée de terre espère acquérir 700 VBCI, cela fait 5600 pneus (sans les rechanges), soit une facture d'environ 20 millions d'euros. "Et ils s'usent vite, ces pneus !" note un expert. "Avec plus de trois tonnes à la roue, il faut les changer tous les quelques milliers de kilomètres". Le problème, c'est que les chenilles vivent encore moins longtemps, surtout si on les utilise sur des terrains caillouteux, comme au Sud du Liban.

    On n'en sort pas. Le camp de la roue a pourtant pris le dessus depuis les années 80. Il s'agissait alors de se porter le plus vite possible au devant des divisions soviétiques stationnées juste derrière le rideau de fer. On comptait alors sur deux engins : l'hélicoptère de combat Gazelle et le char léger (15 tonnes) à roues AMX 10 RC. On fît de jolies manœuvres avec les Allemands, dont l'une baptisée Moineau hardi ("Kecker Spatz" en allemand). Un moineau, même hardi, contre l'ours soviétique, tout était dit. "On était parvenu à faire un bond de 800 kilomètres en une journée, pour se porter sur un créneau le long du rideau de fer", se souvient un participant. "Tout le monde était très content et c'est ce qui a inspiré le modèle d'armée d'aujourd'hui. Ce que l'histoire ne dit pas, c'est combien de minutes, on aurait alors tenu avec nos engins face aux divisions blindées mécanisées de l'armée russe…"

    A l'exception du char Leclerc, qui ne manque pas d'ennemis au sein de l'armée de terre, tous les nouveaux véhicules français sont, depuis lors, équipés de roues. Y compris l'énorme SPRAT, un système permettant de jeter un pont sur une rivière. Pesant 55 tonnes, autant qu'un char Leclerc, il repose sur pas moins de dix roues… Les obusiers de 155 sont maintenant installés sur des camions (Caesar) et les véhicules de combat d'infanterie troquent la chenille des AMX 10P contre les roues du VBCI. A terme, toute l'armée de terre sera sur roues, à l'exception de quatre régiments de chars Leclerc et de quelques matériels annexes et vieillissants. La victoire de la roue est quasi totale et le "léger" a gagné la partie.

    Sauf que les Français sont les seuls à penser comme cela. Ni les Américains, ni les Russes, ni les Britanniques, ni les Allemands, ni les pacifiques Nordiques, ni les moins pacifiques Israéliens, ni les armées arabes, chinoises, indiennes, coréennes ou japonaises, ne font de même. Toutes continuent à croire aux vertus de la chenille, sans exclure la roue pour des véhicules plus légers. Surtout qu'apparaissent de nouvelles chenilles souples, une spécialité du groupe canadien Soucy, qui permettent d'équiper des véhicules légers, comme les chenillettes articulés VHM. Une petite merveille de technologie qui permet de passer partout : dans la neige, dans les marécages ou dans le sable. En haute montagne, comme sur les plages. Même l'armée française en possède, c'est dire…

    Mais pour le reste, la plupart des militaires étrangers regardent leurs homologues français avec un certain étonnement. Si le char Leclerc vaut largement ses concurrents, personne ne comprend vraiment pourquoi les Français s'obstinent à mettre sur des roues ce qu'ils dotent, eux, de chenilles. L'infanterie française aura le VBCI , les Allemands ont le Puma, les Suédois le CV 90, les Américains le Bradley, les Britanniques le Warrior, les Israéliens l'Achzarit. Plus lourd, donc plus protégé. Donc, à chenilles. Et d'ailleurs, lorsque la France s'est engagée au Sud-Liban à l'été 2006, elle a envoyé malgré tout des engins chenillés de type guerre froide. Il faut dire qu'en face, il y a des gens sérieux, Tsahal et le Hezbollah. Alors que la protection du combattant devient une priorité de toutes les armées engagées dans des opérations de guerre réelle, il se peut que les Français, avec leur goût de la roue symbole de la légèreté, aient raison contre le monde entier. Mais il se peut aussi que ce ne soit pas le cas."
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  • voilà pourquoi pour moi, il faudrait que l'armée française se dote d'un VCI chenillé pour compléter le VBCI à roues. ce VCI peut pour moi tout à fait être un VCI étranger que l'on aurait modifié au standard français. en chenillés, pour moi, le meilleur choix serait le PUMA IFV allemand.
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  • Et pour quelle(s) raison(s) ? 8)
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