Les parachutistes

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  • ogotaï a écrit

    Pit a écrit

    Nos p'tits gars au Gabon…
    Par simple curiosité, quelqu'un à reconnu l'appareil ? Transall ? Casa ?

    Je dirais Casa C-212 ?!
    Je dis ca relativement a la technique de saut "sans marche", à la BatMan…
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  • un Transall
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  • C'est sans aucun doute un Transall :wink:
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  • Une petite vidéo sur les gars du GCP
    http://www.youtube.com/watch?v=9ejoFj2ogM0&mode=related&search=
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  • Je dirais Casa C-212 ?!


    dans l'armée de l'air ce sont des casa-235. :wink:

    tout soldat servant en unité aéroportée, a dû passer par l'ETAP (école des troupes aéroportées pour y suivre une formation parachutiste.

    ceci interressant les engagés, les cadres de troupes aéroportées, les personnels de l'armée de l'air, les gendarmes, les réservistes…

    la formation débute par le traditionnel tests physiques, visite médicale et une formation théorique sur les procédures de sécurité.

    6 sauts devront être effectués, dont un de nuit et 1 avec ouverture de secours, pour valider le stage.

    de là, en découle une multitude de formations:

    :arrow: formation de qualification: pour obtenir le certificat d'aptitude de chef de groupe de saut, ceci dans le but de pouvoir effectuer les inspections de sécurité, mais aussi sécurité au passage de la porte aéronef.

    il existe aussi un certificat d'aptitude de chef de détachement de zone de mise à terre (ZMT)

    celà consiste à cerner les caractéristiques tactiques d'une zone propice à l'aérolargage ou aéroportage.

    dernière qualification celle de chef de section TAP, qui permet d'être coordinateur des activités aéroportées, inspecteur au sol, chef de détachement ZMT, chef de transport, directeur de scéance.

    :arrow: vient ensuite les formations de spécialisation.

    spécialisation chef largeur à très haute altitude (4 000 mètres) voire très grande hauteur, impliquant des équipements d'oxygénation.

    et la formation au saut à ouverture commandée retardée individuelle.
    une fois ces spécificités acquise les intérressés peuvent intégrer des équipes de chuteurs des forces spéciales ou commandos parachutistes.

    :arrow: approfondissement chuteur opérationnel.

    ce stage permet de pefectionner la chute à grande hauteur et en équipe et ainsi compléter les connaissances dans les calculs de distance d'itinéraire, approfondissement de la maitrise des systèmes de chute (infiltration sous voile).

    saut effectué à 7500 mètres avec système d'oxygénation et infiltration sous voile sur 20km.

    formation de pilote et de parachutiste tadem ou biplace (mission spéciale avec médecin, maître-chien…).

    :arrow: et enfin formation aérotransport et aérolargage.

    il s'agit du ravitaillement logistique par voie aérienne.

    il s'agit de former des officiers spécialistes pour la maîtrise des conditions de mise en soute et de largage de matériel.

    l'aérotransport consiste à décharger un aéronerf sur un terrain à l'abri de toute menaçe.

    il s'effectue soit par gravité, soit par extracteur (parachute), et chaque façon demande une spécialisation précise (chef largeur de matériel par éjection…)

    chaque appareil demande une formation spécifique.

    l'aéroportage dépose et débarquement tactique de groupes de combat sur une zone hostile.

    une école qui occupe un place centrale et ceux depuis un demi-siècle.

    ETAP

    Un exercice militaire spectaculaire s’est déroulé vendredi Méditerranée, au large de Toulon. Thierry Demonfort, seul parachutiste d'essai de la Marine nationale, accompagné d’une femme médecin, ont effectué un saut en tandem à 3000 mètres d'altitude pour aller porter secours à l'équipage d'un sous-marin nucléaire
    http://www.m6info.fr/cms/display.jsp?id=q_277465&cat=q_185428
    les pilotes de chasse font du bruit.les pilotes de bombardiers font l'histoire.ex-AMN 3700 messages 1 janvier 2006
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  • little boy a écrit

    6 sauts devront être effectués, dont un de nuit et 1 avec ouverture de secours, pour valider le stage.
    :shock: sûr de toi ? C'est quand même surprenant, le parachute de secours est -par principe- l'ultime recours… Si ça fonctionne pas, il fait quoi le stagiaire ? On lui valide pas son stage ? :?
    A mon avis, l'entrainement à l'ouverture du secours reste théorique, sur un "simulateur"… :roll:
    Joey… Tu aimes les films sur les gladiateurs ? :mrgreen:N'oublions pas EstelleQuiconque sauve une vie sauve l’Univers tout entierArmasuisse
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  • Si ça fonctionne pas, il fait quoi le stagiaire ? On lui valide pas son stage ?

    celà doit-être comme pour le parachute principal, si le ventral ne fonctionne pas,le principal doit servir de secour. :?

    Au cas où le parachutiste n'ouvrirait pas sa voile de secours, un système de sécurité automatique le fait à sa place à l'altitude de 500 mètres.

    toute personne qui saute doit être équipée de deux parachutes, un principal et un de réserve (dit parachute de secours). Le réserve est votre seconde chance en cas de disfonctionnement du principal. Les technologies utilisées pour les parachutes de secours ont fait leur preuves depuis longtemps et sont parfaitement fiables. Tous les parachutes de secours doivent impérativement être dépliés, inspectés et repliés tous les 120 jours (tous les ans en France) par des plieurs habilités, les « riggers », même s’il n’ont pas été utilisés pendant cette période.

    Utiliser son parachute de secours est quelque chose que vous devez faire si nécessaire. Vous y serez entraîné longuement pendant votre formation.



    ceci est bien pour l'obtention du brevet de parachutisme.

    après recoupage d'infos j'ai trouvé ceci.

    opérations sous voile et atterrissage sont travaillés d'abord au sol pendant deux semaines, grâce à une maquette de "Transall C160" grandeur nature et des harnais suspendus sous le "hangar". Deux semaines d'instruction au combat de "voltigeur" achèvent la formation au sol avant la semaine de saut de brevet, durant laquelle les élèves parachutistes doivent faire au mois 6 sauts, dont un de nuit et un avec ouverture du parachute de secours


    source: http://www.2rep.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1&Itemid=68


    :wink:
    les pilotes de chasse font du bruit.les pilotes de bombardiers font l'histoire.ex-AMN 3700 messages 1 janvier 2006
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  • little boy a écrit

    celà doit-être comme pour le parachute principal, si le ventral ne fonctionne pas,le principal doit servir de secours. :?
    Non. Le déclenchement du parachute de secours doit impérativement être précédé de la libération de la voile principale (risque d'emmelement à l'ouverture, difficulté de contrôle sous 2 voiles ouvertes, et plein d'autres dangers…) Un parachute de secours ne dispose pas de dispositif de libération comme une voilure principale.
    Bricolage made in armée ? Outre le danger, je n'en vois pas l'intérêt… être sous voile sous un parachute de secours, c'est comme être sous voile sous un principal, aucune différence :?
    La difficulté est dans l'analyse du problème et sa résolution dans un délai relativement court.
    Libérer sa voilure principale et déclencher le secours, pour avoir eu la joie ( :? ) de le pratiquer une fois, c'est de l'adrénaline pure qui t'envahit d'un coup et des réflexes qui ne s'acquiert qu'au sol, en exercice. Sauter d'un avion en se disant, je vais ouvrir mon parachute de secours dans 3 ou 4 secondes… bof :roll:
    De plus, ce ne sont pas des chuteurs si j'ai bien compris, mais des automatiques. Ca veut dire qu'on leur apprend aussi la position de chute, la recherche de la poignée d'ouverture et tout ce qui va avec ?

    Au cas où le parachutiste n'ouvrirait pas sa voile de secours, un système de sécurité automatique le fait à sa place à l'altitude de 500 mètres.
    Même chose dans le civil (le Cypress ou déclencheur automatique) :wink:
    Tous les parachutes de secours doivent impérativement être dépliés, inspectés et repliés tous les 120 jours (tous les ans en France) par des plieurs habilités, les « riggers », même s’il n’ont pas été utilisés pendant cette période.
    Je ne connaissais pas la dénomination "riggers" :wink: Enfin bref, ça ajoute à mes doutes… Ca ne se replie pas le soir, après les exercices, une voile de secours. Ca veut dire qu'elle reste inutilisable jusqu'à l'arrivée des plieurs habilités. Je pense que c'est pas rien…
    opérations sous voile et atterrissage sont travaillés d'abord au sol pendant deux semaines, grâce à une maquette de "Transall C160" grandeur nature et des harnais suspendus sous le "hangar".
    je te dirais que même ça, ça me parait bizarre. 2 semaines pour apprendre à sortir d'un Transall et à se comporter avant et pendant l'atterrissage ! Moi, ma formation théorique à durée une demi-journée :P On va mettre ça sur le compte des joies de l'armée :mrgreen:

    N'empêche que ton lien parait solide, alors je comprend pas tout. Il doit y avoir un loup quelque part :wink:
    Joey… Tu aimes les films sur les gladiateurs ? :mrgreen:N'oublions pas EstelleQuiconque sauve une vie sauve l’Univers tout entierArmasuisse
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  • Bonje crois que là je dois intervenir an tant qu'ancien PARA :beret:

    Pour le dorsal (parachute principal), tu n'a pas le choix, il est accroché à un câble dans l'avion et quand tu saute il s'ouvre tout seul 8)

    Le ventral, que tu dois ouvrir au moins une fois dans ta vie de para, c'est le cauchemar du parachutiste, même expérimenté. :desesp:

    En effet pour le sortir tu tires sur la poignée posée dessus quand le dorsal ne marche pas.

    Normalement si tu l’ouvres c'est que tu tombes trop vite
    Le dorsal est en torche ou tu a des doubles voire triple coupoles cad des cordes ou suspentes qui passent par-dessus la voile suite a un défaut de pliage, a chaque coupole tu divise par deux la surface portante et augmente d’autant la vitesse de chute.
    Ps : chaque plieur « signe » sa voile donc le « coupable » est toujours retrouvé

    Le petit ressort que est dedans pousse la voile devant toit (à 1 m environ) et la vitesse de chute la gonfle immédiatement.
    bref il te sauve la vie. :no1:

    ps : le manuel précise :journal: que tu doit avant IMPERATIVEMENT LARGER ton dorsal en libérant deux mousquetons prévus a cet effet. Faute de quoi le ventral monte, et avec le vortex crée par la vitesse de chute s'enroule immanquablement autour du dorsal, et là tu tombe encore plus vite (j'ai vus de mes yeux un accident de ce type à Pau, c'est fatal dans 99% des cas)) :desesp:

    Vous imaginez le sang froid nécessaire surtout quand on connaît le temps de réaction sur un largage à 400 m cad moins de 10 secondes. :fou:

    Maintenant à l'exercice c'est une autre histoire qui se rapproche plus de la technique du cerf-volant et de la distinction entre ceux qui on de la chance et les autres

    En effet ton dorsal étant bien ouvert, tu chute à petite vitesse (environ 5 m secondes) donc quand tu éjecte le ventral, il n’y a pas assez de vitesse pour le gonfler et il tombe comme un beau « dégueuli » devant toi (terme utilisé à l’instruction). :help:

    Du dois donc rapidement prendre les deux suspentes principales et : « Branler le Mamouth » (c’est aussi le terme de l’instruction), cad tirer comme un âne sur les deux sangles principales en écartant les bras vers l’arrière pour ouvrir la voile afin qu’elle se gonfle et s’envole devant toi.

    Si t’est un para Psyco ou trops mou, ou que tu fais partis de ces 5 % repérés pour un quotient intellectuel assez faible pour être compatible avec le combat en double 0 des troupes de marines, deux conséquences classiques (près de 10 % des cas)

    1 / la voile s’ouvre sous tes jambes, fait un beau papier cadeau, avec toi au milieu :
    Tu est condamné à atterrir en « aveugle » sans savoir quand tu retrouveras la mère terre.
    Monte sur une tour de 5 m et saute les yeux bandés, et tu comprendras qu’au mieux tu te fais une cheville, au pire le coccis (on appelle ça joliment se faire enc… par les taupes). :siffle:

    2 / la voile te passe intégralement entre les jambes et s’ouvre dans ton dos :
    la loi de la physique étant ce qu’elle est tu te retrouve à l’horizontale, voir la tête en bas…
    Pour comprendre encore une fois cette douce sensation, imagine toi sauter de la même tour de 5 m sur un sol en doux gazon rocailleux avec un atterrissage au choix à plat ventre, au pire sur la tête…
    Je te passe bien sur les détailles sur cette minute 30 de descente délicieuse ou les deux sangles du ventral te soulevant par l’entrejambe on fait de toi un digne successeur de Farineli :merlin:

    Tu comprendras qu’après le premier saut, les « accompagnateur » des breuvetants sont « dispensés » de ce charmant exercice… (je fut deux fois accompagnateur et donc passé trois fois par Pau).

    Je tien a préciser que cette descente d'exercice se fait bien avec les 2 parachutes ouverts, malgrès les déséquilibres que ça importe (on aterris le plus souvent sur le c… mais a toute petite vitesse)

    De plus un saut en temps de paix se fait à 400 m, (800 pour les USA et les russes) et la légion saute a 150 m en temps de guerre (les Para classiques rarrement en dessous de 250)
    donc pas de système de sécurité auto en cas de soucis car en dessous de 300 m si tu à un pepin tu auras rejoint mère nature avant que le ventral ne s'ouvre.

    les Français sont recordmans du monde sur deux point :

    la vitesse de sortie de l'avion (technique consitant a se tenir collé et sauter en "chenille" pour s'ecarter en poussant sont prédécesseur en sortant de l'avion) qui permet un largage moins dispersé

    Laltitude de largage (personne ne saute plus bas)

    le tout partant d'un consta simple, plus tu reste longtemp en l'air, plus tu a de chance d'être mort avant le sol…


    Si tu vas plus loin dans l’instruction, il y à encore mieux.
    Passé 25 sauts tu dois faire un saut sur plan d’eau
    La technique est simple, pour ne par mourir noyé par ta propre voile, tu dois à 20 m dégrafer ton harnais et sauter dans l’eau à 5 m en t’extrayant du harnais
    .
    Là encore entre ceux qui ne verrouillent pas le harnais avec leur bras lors du déclipsage de la sangle ventrale et ceux qui n’on pas la notion des distance clairement établie se retrouvent ammicalement sur la berge pour y trouver une autre occasion d’y apprendre le chant dans les aigus… :bieres:
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  • Faun a écrit

    Le ventral, que tu dois ouvrir au moins une fois dans ta vie de para, c'est le cauchemar du parachutiste, même expérimenté. :desesp:
    Un parachute ventral, dans le civil, c'est Jurassique Park. C'est une espèce appelée à disparaitre ou l'armée les protège et les reproduits en captivité ? :wink:

    Faun a écrit

    ps : le manuel précise :journal: que tu doit avant IMPERATIVEMENT LARGER ton dorsal en libérant deux mousquetons prévus a cet effet.
    Pas de poignée de libération unique ? Si tu largues pas les 2 mousquetons en même temps, tu risques de te retrouver pendu par une épaule, non ?

    Faun a écrit

    ces 5 % repérés pour un quotient intellectuel assez faible pour être compatible avec le combat en double 0 des troupes de marines
    Là, j'attends une petite explication… Je hume l'odeur caractéristique du chambrage :lol:

    Faun a écrit

    Je tien a préciser que cette descente d'exercice se fait bien avec les 2 parachutes ouverts, malgrès les déséquilibres que ça importe (on aterris le plus souvent sur le c… mais a toute petite vitesse)
    Avec des voilures de type "Aile", il existe un risque que les 2 voilures se mettent en opposition horizontale (une devant, une derrière, le parachutiste au milieu) et qu'elles décrochent (au risque de pas se regonfler). Avec des voiles hémisphériques, j'en sais rien. N'empêche… frapadingues ! :shock:

    Faun a écrit

    ceux qui n’on pas la notion des distance clairement établie se retrouvent ammicalement sur la berge pour y trouver une autre occasion d’y apprendre le chant dans les aigus… :bieres:
    ouch ! Pas simple de jauger la hauteur au dessus de l'eau ! Jamais d'accident ?
    Joey… Tu aimes les films sur les gladiateurs ? :mrgreen:N'oublions pas EstelleQuiconque sauve une vie sauve l’Univers tout entierArmasuisse
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  • :lol:

    ogotaï a écrit

    Faun a écrit

    Le ventral, que tu dois ouvrir au moins une fois dans ta vie de para, c'est le cauchemar du parachutiste, même expérimenté. :desesp:
    Un parachute ventral, dans le civil, c'est Jurassique Park. C'est une espèce appelée à disparaitre ou l'armée les protège et les reproduits en captivité ? :wink:


    Faun a écrit

    ps : le manuel précise :journal: que tu doit avant IMPERATIVEMENT LARGER ton dorsal en libérant deux mousquetons prévus a cet effet.
    Pas de poignée de libération unique ? Si tu largues pas les 2 mousquetons en même temps, tu risques de te retrouver pendu par une épaule, non ?

    heuuuuu oui….. mais la position des mousqueton et l'enconbrement du ventral fotn qu'il est dificile de larguer les deux de la même main… donc du momment que tu y vas à deux mains faut pas être doué pour se louper, maintenant dans la panique…

    Faun a écrit

    ces 5 % repérés pour un quotient intellectuel assez faible pour être compatible avec le combat en double 0 des troupes de marines
    Là, j'attends une petite explication… Je hume l'odeur caractéristique du chambrage :lol:

    he he :lol: c'est un vieux débat chez les para, surtout ceux de la cavalerie comme mon ancien régiment (13em rdp)
    on à pour habitude de dire que les RPIMA (para de marine) qui sont spécialisés dans l'assault frontal entre 0 et 100 m baillonnette au canon doivent "selectionner" leur quandidat pour trouver des fou prêt a rejouer homaha Beach a chaque bataille :lol: mais comme toujours il y a un peux de jalousie envers ceux qui restent les meilleures troupes de choc françaises (en dehors du 2 em REP, mais devant pas mal de régiments de légion classiques)



    Faun a écrit

    Je tien a préciser que cette descente d'exercice se fait bien avec les 2 parachutes ouverts, malgrès les déséquilibres que ça importe (on aterris le plus souvent sur le c… mais a toute petite vitesse)
    Avec des voilures de type "Aile", il existe un risque que les 2 voilures se mettent en opposition horizontale (une devant, une derrière, le parachutiste au milieu) et qu'elles décrochent (au risque de pas se regonfler). Avec des voiles hémisphériques, j'en sais rien. N'empêche… frapadingues ! :shock:

    avec les voiles militaires aucune chance de déventer car elle sont bien plus larges a poid porté egual que dans le civil, il y a donc une bonne marge de manoeuvre, de plus elle restent avec une angle de 45° environ au dessus de toi donc une fois les deux voiles gonflées et si il n'y a pas de vent latteral, comme on dis dans les para… tout est RAS.
    apr contre si le vent lateral est fort, ton ventral se transforme un peu en voile de kite et là…. ya du sport :lol:
    une fois a Pau j'ai vus un stick (40 gars) entier finir dans la foret qui est pourtant a 3 km de la zone donc imagine :400 m le largage, 3 km en horizontal en moins de 2 mn ! et là avec 2 voiles ouverte c'est le branchage assuré ! ily avait tellement de gars accroché qu'il on appellé le joli camion de pompier avec la grande echelle :lol:


    Faun a écrit

    ceux qui n’on pas la notion des distance clairement établie se retrouvent ammicalement sur la berge pour y trouver une autre occasion d’y apprendre le chant dans les aigus… :bieres:
    ouch ! Pas simple de jauger la hauteur au dessus de l'eau ! Jamais d'accident ?

    pas trops, du moins dans la "norme para", le pire que j'ai vu c'etait un tassement de vertebres
    pour le reste un bon plat ou une testicule qui remonte aux oreilles…. mais tu a raison evaluer la distance est difficile, pour ma pars j'ai fait ce type de saut 2 fois et 2 fois j'ai sauté trop tôt (8 m environ) et oui je suis miope comme une taupe et j'avait enlevé mes lentilles pour pas les perdre dans l'eau… mais bon vus ce que j'ai picolé après pour fêter le saut j'ai vite oublié que l'entrée dans l'eau m'avait fait mal jusque dans les oreilles :o
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  • le dernier saut opérationnel fut effectué lors de l'opération BENGA en RDC.

    le saut fut réalisé à 4000 mètres d'altitude par le sous JVN par le CPA 10, à bord d'un C-160 du 3/61 poitou.

    le but: une ouverture de porte, c'est à dire la prise et la sécurisation d'un aéroport. 8)
    les pilotes de chasse font du bruit.les pilotes de bombardiers font l'histoire.ex-AMN 3700 messages 1 janvier 2006
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  • little boy a écrit

    le dernier saut opérationnel fut effectué lors de l'opération BENGA en RDC.

    le saut fut réalisé à 4000 mètres d'altitude par le sous JVN par le CPA 10, à bord d'un C-160 du 3/61 poitou.

    le but: une ouverture de porte, c'est à dire la prise et la sécurisation d'un aéroport. 8)


    je suis au courant tu penses…. le plus gros saut op depuis colwezy en nombre de para largués (près de 50 !).

    mais c'etait des chuteurs ops du COS, donc en gros les super mega géeant commando :shock:

    Les para "de base" eux, ceux qui "tombent" en paracute commen en fons si gentiment la distinction nos amis chuteurs operationnels, on été posé directement sur le tarmac lors d'un "lacher d'assault" par un transal le landemain matin (130 gars du 3 RPIMA et du 2em REP)….

    les gars du COS avait fait le netoyage de la zone durant la nuit.

    donc je te confirme qu'il n'y a plus eus de saut opperationnel de para "normaux" depuis colwezy… 8)
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  • Le tout est de ne pas être dessous…
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  • Pit a écrit

    Le tout est de ne pas être dessous…

    Aaaaah!!
    Ces Américains…oups!…Ces Etats-Uniens (milles excuses aux cousins de la belle province pour cette erreur de nationalité)
    Ces Etats-Uniens, donc, quel sens pratique!
    J'aime beaucoup le vehicule en fin de vidéo…
    Rendez-vous compte…
    A peine posé au sol et hop! Il gambade la campagne comme un jeune cabri fougueux…vraiment le sens du pret à l'emploi au USA…

    :mrgreen:
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