ogotaï a écrit
Par simple curiosité, quelqu'un à reconnu l'appareil ? Transall ? Casa ?Pit a écrit
Nos p'tits gars au Gabon…
Je dirais Casa C-212 ?!
Je dis ca relativement a la technique de saut "sans marche", à la BatMan…
ogotaï a écrit
Par simple curiosité, quelqu'un à reconnu l'appareil ? Transall ? Casa ?Pit a écrit
Nos p'tits gars au Gabon…
Je dirais Casa C-212 ?!
sûr de toi ? C'est quand même surprenant, le parachute de secours est -par principe- l'ultime recours… Si ça fonctionne pas, il fait quoi le stagiaire ? On lui valide pas son stage ?little boy a écrit
6 sauts devront être effectués, dont un de nuit et 1 avec ouverture de secours, pour valider le stage.
Si ça fonctionne pas, il fait quoi le stagiaire ? On lui valide pas son stage ?
Non. Le déclenchement du parachute de secours doit impérativement être précédé de la libération de la voile principale (risque d'emmelement à l'ouverture, difficulté de contrôle sous 2 voiles ouvertes, et plein d'autres dangers…) Un parachute de secours ne dispose pas de dispositif de libération comme une voilure principale.little boy a écrit
celà doit-être comme pour le parachute principal, si le ventral ne fonctionne pas,le principal doit servir de secours.
Au cas où le parachutiste n'ouvrirait pas sa voile de secours, un système de sécurité automatique le fait à sa place à l'altitude de 500 mètres.Même chose dans le civil (le Cypress ou déclencheur automatique)
Tous les parachutes de secours doivent impérativement être dépliés, inspectés et repliés tous les 120 jours (tous les ans en France) par des plieurs habilités, les « riggers », même s’il n’ont pas été utilisés pendant cette période.Je ne connaissais pas la dénomination "riggers" Enfin bref, ça ajoute à mes doutes… Ca ne se replie pas le soir, après les exercices, une voile de secours. Ca veut dire qu'elle reste inutilisable jusqu'à l'arrivée des plieurs habilités. Je pense que c'est pas rien…
opérations sous voile et atterrissage sont travaillés d'abord au sol pendant deux semaines, grâce à une maquette de "Transall C160" grandeur nature et des harnais suspendus sous le "hangar".je te dirais que même ça, ça me parait bizarre. 2 semaines pour apprendre à sortir d'un Transall et à se comporter avant et pendant l'atterrissage ! Moi, ma formation théorique à durée une demi-journée On va mettre ça sur le compte des joies de l'armée
Un parachute ventral, dans le civil, c'est Jurassique Park. C'est une espèce appelée à disparaitre ou l'armée les protège et les reproduits en captivité ?Faun a écrit
Le ventral, que tu dois ouvrir au moins une fois dans ta vie de para, c'est le cauchemar du parachutiste, même expérimenté.
Pas de poignée de libération unique ? Si tu largues pas les 2 mousquetons en même temps, tu risques de te retrouver pendu par une épaule, non ?Faun a écrit
ps : le manuel précise que tu doit avant IMPERATIVEMENT LARGER ton dorsal en libérant deux mousquetons prévus a cet effet.
Là, j'attends une petite explication… Je hume l'odeur caractéristique du chambrageFaun a écrit
ces 5 % repérés pour un quotient intellectuel assez faible pour être compatible avec le combat en double 0 des troupes de marines
Avec des voilures de type "Aile", il existe un risque que les 2 voilures se mettent en opposition horizontale (une devant, une derrière, le parachutiste au milieu) et qu'elles décrochent (au risque de pas se regonfler). Avec des voiles hémisphériques, j'en sais rien. N'empêche… frapadingues !Faun a écrit
Je tien a préciser que cette descente d'exercice se fait bien avec les 2 parachutes ouverts, malgrès les déséquilibres que ça importe (on aterris le plus souvent sur le c… mais a toute petite vitesse)
ouch ! Pas simple de jauger la hauteur au dessus de l'eau ! Jamais d'accident ?Faun a écrit
ceux qui n’on pas la notion des distance clairement établie se retrouvent ammicalement sur la berge pour y trouver une autre occasion d’y apprendre le chant dans les aigus…
ogotaï a écrit
Un parachute ventral, dans le civil, c'est Jurassique Park. C'est une espèce appelée à disparaitre ou l'armée les protège et les reproduits en captivité ?Faun a écrit
Le ventral, que tu dois ouvrir au moins une fois dans ta vie de para, c'est le cauchemar du parachutiste, même expérimenté.Pas de poignée de libération unique ? Si tu largues pas les 2 mousquetons en même temps, tu risques de te retrouver pendu par une épaule, non ?Faun a écrit
ps : le manuel précise que tu doit avant IMPERATIVEMENT LARGER ton dorsal en libérant deux mousquetons prévus a cet effet.
heuuuuu oui….. mais la position des mousqueton et l'enconbrement du ventral fotn qu'il est dificile de larguer les deux de la même main… donc du momment que tu y vas à deux mains faut pas être doué pour se louper, maintenant dans la panique…Là, j'attends une petite explication… Je hume l'odeur caractéristique du chambrageFaun a écrit
ces 5 % repérés pour un quotient intellectuel assez faible pour être compatible avec le combat en double 0 des troupes de marines
he he c'est un vieux débat chez les para, surtout ceux de la cavalerie comme mon ancien régiment (13em rdp)
on à pour habitude de dire que les RPIMA (para de marine) qui sont spécialisés dans l'assault frontal entre 0 et 100 m baillonnette au canon doivent "selectionner" leur quandidat pour trouver des fou prêt a rejouer homaha Beach a chaque bataille mais comme toujours il y a un peux de jalousie envers ceux qui restent les meilleures troupes de choc françaises (en dehors du 2 em REP, mais devant pas mal de régiments de légion classiques)Avec des voilures de type "Aile", il existe un risque que les 2 voilures se mettent en opposition horizontale (une devant, une derrière, le parachutiste au milieu) et qu'elles décrochent (au risque de pas se regonfler). Avec des voiles hémisphériques, j'en sais rien. N'empêche… frapadingues !Faun a écrit
Je tien a préciser que cette descente d'exercice se fait bien avec les 2 parachutes ouverts, malgrès les déséquilibres que ça importe (on aterris le plus souvent sur le c… mais a toute petite vitesse)
avec les voiles militaires aucune chance de déventer car elle sont bien plus larges a poid porté egual que dans le civil, il y a donc une bonne marge de manoeuvre, de plus elle restent avec une angle de 45° environ au dessus de toi donc une fois les deux voiles gonflées et si il n'y a pas de vent latteral, comme on dis dans les para… tout est RAS.
apr contre si le vent lateral est fort, ton ventral se transforme un peu en voile de kite et là…. ya du sport
une fois a Pau j'ai vus un stick (40 gars) entier finir dans la foret qui est pourtant a 3 km de la zone donc imagine :400 m le largage, 3 km en horizontal en moins de 2 mn ! et là avec 2 voiles ouverte c'est le branchage assuré ! ily avait tellement de gars accroché qu'il on appellé le joli camion de pompier avec la grande echelleouch ! Pas simple de jauger la hauteur au dessus de l'eau ! Jamais d'accident ?Faun a écrit
ceux qui n’on pas la notion des distance clairement établie se retrouvent ammicalement sur la berge pour y trouver une autre occasion d’y apprendre le chant dans les aigus…
little boy a écrit
le dernier saut opérationnel fut effectué lors de l'opération BENGA en RDC.
le saut fut réalisé à 4000 mètres d'altitude par le sous JVN par le CPA 10, à bord d'un C-160 du 3/61 poitou.
le but: une ouverture de porte, c'est à dire la prise et la sécurisation d'un aéroport.
Pit a écrit
Le tout est de ne pas être dessous…