Martin B-26 Marauder

Rappels

  • Catégorie : Bombardier
  • Constructeur : Martin drapeau du pays
  • Premier vol : 25 novembre 1940
  • Production : 5 288 appareils construits (cellules neuves)
Martin B-26 Marauder

Historique

En mars 1939, l'USAAC demanda un bombardier moyen bimoteur en complément au nouveau B-25 qui venait d'effectuer son vol inaugural. Cette spécification, désignée Circular Proposal 39-640, requérait une vitesse maximale de 350 mph (560 km/h), une autonomie de 3000 miles (4800 km) et une charge utile de 2000 livres (907 kg). Le 5 juillet 1939, Glenn Martin proposa son Martin 179, conçu par Peyton M. Magruder. Le concept fut jugé supérieur à ses concurrents et un contrat pour la production de 201 exemplaires fut signé. L'avion fut alors désigné B-26 : en septembre 1940, 930 exemplaires furent commandés.

Le B-26 se présente comme un avion à ailes hautes, à train tricycle, de construction entièrement métallique. Il est propulsé par 2 Pratt & Whitney R-2800 Double Wasp. Les ailes sont un peu petites pour un appareil de ce poids, ce qui donna la charge alaire la plus élevée de l'époque (259 kg/m carré), mais donnait les hautes performances requises. Il disposait de deux soutes à bombes permettant l'emport de 2600 kg de charges offensives.

Le premier B-26, qui servit de prototype, effectua son vol inaugural le 25 novembre 1940 avec William K. "Ken" Ebel aux commandes. Les deux premiers exemplaires furent livrés à l'USAAC en février 1941 pour les tests officiels en février, lesquels commencèrent en mars.

Les tests montrèrent que le B-26, s'il est plus performant que le B-25, accusait de sérieux problèmes à l'atterrissage : sa vitesse d'atterrissage tournait autour de 200 km/h et le train avant se cassait régulièrement. L'installation de la tourelle dorsale électrique (ce qui était une première à l'époque) et d'une dérive agrandie permit en partie de résoudre le problème. Le B-26 n'était pas un avion facile, aussi bien pour les pilotes que pour les mécaniciens qui devaient particulièrement être rigoureux. Malgré tout, il n'y eu que deux accidents mortels pendant la première année de vol du B-26.

L'année suivante vit le B-26 entre les mains d'équipages inexpérimentés et le nombre d'accidents augmenter. Une commission dirigée par Truman exigea que les ailes soient remplacées par d'autres, agrandies. Les pilotes avaient alors donné au B-26 tout une ribambelle de surnoms dont le plus poli restait "faiseur de veuves". Même s'il devint plus sûr, notamment au combat, il restait un appareil difficile à piloter et resta impopulaire auprès de ses équipages.



Le B-26 remplaça le B-18 en février 1941 au sein du 22d Bombardment Group. Il fut déployé en Australie immédiatement après Pearl Harbor et effectua sa première mission de guerre à Rabaul le 5 avril 1942. Des B-26 armés de torpilles participèrent à la bataille de Midway, sans trop de succès. Le B-25 lui fut finalement préféré dans le Pacifique et le B-26 accomplit sa dernière mission de guerre dans ce théâtre le 9 janvier 1944.

Il fut engagé lors du débarquement en Afrique du Nord en 1942, et y effectua des missions d'assaut à basse altitude : il y subit plus de pertes que le B-25, pour un résultat bien moindre. En 1587 sorties, 80 avions furent perdus. Malgré cela, il fut employé en Sicile, en Italie et dans le sud de la France.

Il effectua sa première mission de guerre en Europe en mai 1943, toujours dans des profils d'attaque à basse altitude. Une escadrille entière de 11 B-26 fut abattue par la Flak et les Fw-190. C'est après cette mission qu'il fut employé à moyenne altitude et pour préparer le Débarquement, en attaquant des ponts ou des rampes de lancement de V-1. Il se montra alors beaucoup plus efficace grâce à sa précision et une escorte conséquente, au point que la 9e Air Force déclara qu'il fut le bombardier le plus précis lors du dernier mois de la guerre, et qu'il détenait le plus faible taux de pertes en Europe avec 0,5%. Sa dernière mission en Europe fut effectuée contre la garnison allemande de l'île d'Oléron le 1er mai 1945.

La RAF reçut 50 Marauder I en 1942, qui remplacèrent les Blenheim en Égypte. Ils s'y montrèrent efficaces contre les navires ou les avions de transport de l'Axe. 100 Marauder II furent également reçus et transférés à l'Afrique du Sud, ainsi que 350 B-26F et G en 1944. Ils soutinrent les partisans de Tito dans les Balkans. L'ultime perte d'un B-26 eut lieu le 4 mai 1945 sur ce théâtre.

La France Libre reçut ses premiers B-26 après l'opération Torch, qui remplacèrent les DB-7 et LéO 45.7 Groupes de Bombardement sur 9 furent équipés de B-26.



Toutes ces forces aériennes se séparèrent du B-26 dès la fin de la guerre. Début 1946 en Europe pour l'USAAF, juin 1945 pour la France (même si deux exemplaires servirent de bancs d'essais pour le réacteur Atar de 1947 à 1958). Dans le cas du Royaume-Uni et de l'Afrique du Sud, les États-Unis n'exigèrent pas leur retour au terme du prêt-bail et leurs exemplaires furent ferraillés.

5288 exemplaires furent construits entre février 1941 et mars 1945. Plus de 110000 sorties furent effectuées et 136078 tonnes de bombes furent larguées. 7 exemplaires ont survécus à la guerre, 3 sont en cours de restauration et un devrait l'être un jour. L'exemplaire de la collection Fantasy of Flight est sensé être en état de vol, même s'il n'a pas volé depuis un certain temps. Un exemplaire est conservé en France : il est prêté par le Musée de l'Air et de l'espace au Musée du Débarquement Utah Beach.

Conçu pour compléter, voire supplanter le B-25, le B-26 fut sans doute conçu et testé trop rapidement. Impopulaire auprès de ses équipages, il n'a guère brillé qu'à la fin de la guerre et peut être qualifié d'avion raté.

Anciens pays utilisateurs

Versions

  • Martin B-26 : 1ere version de série, commandée sur la seule base du concept.
  • Martin B-26A Marauder I : Armement renforcé et moteurs R-2800-9 de 1850 hp.
  • Martin B-26B Marauder IA : Moteurs R-2800-41 de 2000 hp, armement et blindage supplémentaires.
  • Martin B-26C Marauder II : B-26B produits à Omaha dans le Nebraska et premiers à recevoir les ailes agrandies. Moteurs R-2800-43.
  • Martin B-26E : Un B-26 modifié pour tester l'efficacité du changement de place de la tourelle dorsale, qui fut négligeable et non retenue.
  • Martin B-26F Marauder III : Version dont l'angle d'incidence des ailes était augmentée de 3,5°.
  • Martin B-26G Marauder III : Équipements intérieurs standardisés.
  • Martin CB-26B : 12 B-26B modifiés pour le transport et utilisés par les Marines dans les Philippines.
  • Martin JM-1 : 225 AT-23A utilisés par l'US Navy.
  • Martin JM-1P : Quelques JM-1 modifiés pour la reconnaissance photographique.
  • Martin JM-2 : 47 TB-26G cédés à l' US Navy.
  • Martin TB-26B : 208 B-26B modifiés pour le remorquage de cibles et l'entraînement des mitrailleurs.
  • Martin TB-26C : Plus de 300 B-26C modifiés pour l'entraînement.
  • Martin TB-26G : 57 B-26G modifiés pour l'entraînement des équipages.
  • Martin XB-26D : Un B-26 modifié pour tester un système de dégivrage par air chaud.
  • Martin XB-26H : Un B-26 modifié avec un train d'atterrissage monotrace, destiné au XB-48.
  • Martin XB-33 Super Marauder : Version à haute altitude, jamais construite.
  • Martin XB-33A : Version quadrimoteur, jamais construite.
Longueur Envergure Hauteur Surface alaire Masse à vide Masse normale au décollage Masse maxi à l'atterrissage Vitesse d'atterrissage Vitesse maximale HA Plafond opérationnel Vitesse de croisière Distance de convoyage Distance franchissable Charge utile en interne Équipage
Martin B-26G Marauder III17,77 m (58,3 ft)22 m (71 ft)6,584 m (21,6 ft)61 m² (658 sq. ft)10 886 kg (24 000 lbs)16 783 kg (37 000 lbs)183 km/h (114 mph, 99 kts)462 km/h (287 mph, 249 kts)6 401 m (21 000 ft)348 km/h (216 mph, 188 kts)4 587 km (2 850 mi, 2 477 nm)1 851 km (1 150 mi, 999 nm)1 814 kg (4 000 lbs)7
Martin XB-33A24,11 m (79,1 ft)41 m (134 ft)7 m (24 ft)153 m² (1 646 sq. ft)38 555 kg (85 000 lbs)43 091 kg (95 000 lbs)555 km/h (345 mph, 300 kts)11 887 m (39 000 ft)389 km/h (242 mph, 210 kts)3 219 km (2 000 mi, 1 738 nm)4 536 kg (10 000 lbs)7

Sur le forum…

  • Tu m'étonnes que les pilotes avaient des soucis pour atterrir, après ça. :mrgreen:

    Je corrige, merci !
    Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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  • Clansman a écrit

    En mars 1939, l'USAAC demanda un bombardier moyen bimoteur en complément au nouveau B-25 qui venait d'effectuer son vol inaugural. Cette spécification, désignée Circular Proposal 39-640, requérait une vitesse maximale de 350 mph 8560 km/h

    Rien que ça Oo
    La société est bien foutue, elle fout des uniformes aux cons pour qu’on les reconnaissent !
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  • La fiche sur le site
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  • En mars 1939, l'USAAC demanda un bombardier moyen bimoteur en complément au nouveau B-25 qui venait d'effectuer son vol inaugural. Cette spécification, désignée Circular Proposal 39-640, requérait une vitesse maximale de 350 mph 8560 km/h), une autonomie de 3000 miles (4800 km) et une charge utile de 2000 livres (907 kg). Le 5 juillet 1939, Glenn Martin proposa son Martin 179, conçu par Peyton M. Magruder. Le concept fut jugé supérieur à ses concurrents et un contrat pour la production de 201 exemplaires fut signé. L'avion fut alors désigné B-26 : en septembre 1940, 930 exemplaires furent commandés.

    Le B-26 se présente comme un avion à ailes hautes, à train tricycle, de construction entièrement métallique. Il est propulsé par 2 Pratt & Whitney R-2800 Double Wasp. Les ailes sont un peu petites pour un appareil de ce poids, ce qui donna la charge alaire la plus élevée de l'époque (259 kg/m carré), mais donnait les hautes performances requises. Il disposait de deux soutes à bombes permettant l'emport de 2600 kg de charges offensives.

    Le premier B-26, qui servit de prototype, effectua son vol inaugural le 25 novembre 1940 avec William K. "Ken" Ebel aux commandes. Les deux premiers exemplaires furent livrés à l'USAAC en février 1941 pour les tests officiels en février, lesquels commencèrent en mars.

    Les tests montrèrent que le B-26, s'il est plus performant que le B-25, accusait de sérieux problèmes à l'atterrissage : sa vitesse d'atterrissage tournait autour de 200 km/h et le train avant se cassait régulièrement. L'installation de la tourelle dorsale électrique (ce qui était une première à l'époque) et d'une dérive agrandie permit en partie de résoudre le problème. Le B-26 n'était pas un avion facile, aussi bien pour les pilotes que pour les mécaniciens qui devaient particulièrement être rigoureux. Malgré tout, il n'y eu que deux accidents mortels pendant la première année de vol du B-26.

    L'année suivante vit le B-26 entre les mains d'équipages inexpérimentés et le nombre d'accidents augmenter. Une commission dirigée par Truman exigea que les ailes soient remplacées par d'autres, agrandies. Les pilotes avaient alors donné au B-26 tout une ribambelle de surnoms dont le plus poli restait "faiseur de veuves". Même s'il devint plus sûr, notamment au combat, il restait un appareil difficile à piloter et resta impopulaire auprès de ses équipages.

    Le B-26 remplaça le B-18 en février 1941 au sein du 22d Bombardment Group. Il fut déployé en Australie immédiatement après Pearl Harbor et effectua sa première mission de guerre à Rabaul le 5 avril 1942. Des B-26 armés de torpilles participèrent à la bataille de Midway, sans trop de succès. Le B-25 lui fut finalement préféré dans le Pacifique et le B-26 accomplit sa dernière mission de guerre dans ce théâtre le 9 janvier 1944.

    Il fut engagé lors du débarquement en Afrique du Nord en 1942, et y effectua des missions d'assaut à basse altitude : il y subit plus de pertes que le B-25, pour un résultat bien moindre. En 1587 sorties, 80 avions furent perdus. Malgré cela, il fut employé en Sicile, en Italie et dans le sud de la France.

    Il effectua sa première mission de guerre en Europe en mai 1943, toujours dans des profils d'attaque à basse altitude. Une escadrille entière de 11 B-26 fut abattue par la Flak et les Fw-190. C'est après cette mission qu'il fut employé à moyenne altitude et pour préparer le Débarquement, en attaquant des ponts ou des rampes de lancement de V-1. Il se montra alors beaucoup plus efficace grâce à sa précision et une escorte conséquente, au point que la 9e Air Force déclara qu'il fut le bombardier le plus précis lors du dernier mois de la guerre, et qu'il détenait le plus faible taux de pertes en Europe avec 0,5%. Sa dernière mission en Europe fut effectuée contre la garnison allemande de l'île d'Oléron le 1er mai 1945.

    La RAF reçut 50 Marauder I en 1942, qui remplacèrent les Blenheim en Égypte. Ils s'y montrèrent efficaces contre les navires ou les avions de transport de l'Axe. 100 Marauder II furent également reçus et transférés à l'Afrique du Sud, ainsi que 350 B-26F et G en 1944. Ils soutinrent les partisans de Tito dans les Balkans. L'ultime perte d'un B-26 eut lieu le 4 mai 1945 sur ce théâtre.

    La France Libre reçut ses premiers B-26 après l'opération Torch, qui remplacèrent les DB-7 et LéO 45.7 Groupes de Bombardement sur 9 furent équipés de B-26.

    Toutes ces forces aériennes se séparèrent du B-26 dès la fin de la guerre. Début 1946 en Europe pour l'USAAF, juin 1945 pour la France (même si deux exemplaires servirent de bancs d'essais pour le réacteur Atar de 1947 à 1958). Dans le cas du Royaume-Uni et de l'Afrique du Sud, les États-Unis n'exigèrent pas leur retour au terme du prêt-bail et leurs exemplaires furent ferraillés.

    5288 exemplaires furent construits entre février 1941 et mars 1945. Plus de 110000 sorties furent effectuées et 136078 tonnes de bombes furent larguées. 7 exemplaires ont survécus à la guerre, 3 sont en cours de restauration et un devrait l'être un jour. L'exemplaire de la collection Fantasy of Flight est sensé être en état de vol, même s'il n'a pas volé depuis un certain temps. Un exemplaire est conservé en France : il est prêté par le Musée de l'Air et de l'espace au Musée du Débarquement Utah Beach.

    Conçu pour compléter, voire supplanter le B-25, le B-26 fut sans doute conçu et testé trop rapidement. Impopulaire auprès de ses équipages, il n'a guère brillé qu'à la fin de la guerre et peut être qualifié d'avion raté.


    Versions :

    B-26 : 1ere version de série, commandée sur la seule base du concept. L'armement était constitué au départ de deux mitrailleuses .30 et de deux mitrailleuses .50 : il sera triplé par la suite.

    B-26A : Armement renforcé. 139 exemplaires furent construits, dont 52 furent cédés à la RAF sous l'appellation Marauder I.

    B-26B : Moteurs R-2800-41 de 2000 hp, armement et blindage supplémentaires. Aile agrandie de 1,83 mètres et dérive plus haute à partir du 642e exemplaire. 1883 exemplaires, dont 19 versés à la RAF (appellation Marauder IA).

    B-26C : B-26B produits à Omaha dans le Nebraska et premiers à recevoir les ailes agrandies. 1210 exemplaires, dont 123 Marauder II pour la RAF et 150 pour la France Libre.

    XB-26D : Un B-26 modifié pour tester un système de dégivrage par air chaud.

    B-26E : Un B-26 modifié pour tester l'efficacité du changement de place de la tourelle dorsale, qui fut négligeable et non retenue.

    B-26F : Version dont l'angle d'incidence des ailes était augmentée de 3,5°. La tourelle de queue fut blindée et améliorée. Le premier exemplaire sortit d'usine en février 1944. 300 exemplaires furent construits, dont 200 utilisés par la RAF sous l'appellation Marauder III.

    B-26G : Équipements intérieurs standardisés. 893 exemplaires, dont 150 utilisés par la RAF sous l'appellation Marauder III.

    XB-26H : Un B-26 modifié avec un train d'atterrissage monotrace, destiné au XB-48.

    CB-26B : 12 B-26B modifiés pour le transport et utilisés par les Marines dans les Philippines.

    AT-23A : 208 B-26B modifiés pour le remorquage de cibles et l'entraînement des mitrailleurs. Désignés plus tard TB-26B.

    AT-23B : Plus de 300 B-26C modifiés pour l'entraînement. Furent désignés plus tard TB-26C.

    TB-26G : B-26G modifiés pour l'entraînement des équipages.

    JM-1 : AT-23A utilisés par l'US Navy.

    JM-1P : Quelques JM-1 modifiés pour la reconnaissance photographique.

    JM-2 : TB-26G livrés (peut-être tous) à l'US Navy.




    http://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_B-26_Marauder


    http://www.avionslegendaires.net/martin-b-26-marauder.php


    http://www.dday-overlord.com/martin_b26.htm


    http://frenchaces.pagesperso-orange.fr/avions/usa/m+b26.html


    http://jn.passieux.free.fr/html/B26.php


    http://en.wikipedia.org/wiki/Martin_B-26_Marauder


    http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Martin_B-26_Marauder_operators


    http://militaryhistory.about.com/od/worldwariiaircraft/p/World-War-Ii-Martin-B-26-Marauder.htm


    http://www.aviastar.org/air/usa/martin_marauder.php
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  • RE bonjour
    et le "cb 26 b"
    12 b 26 convertis en transport pour le Marine Corps
    utilisés aux philippines
    Pièces jointes
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  • Bonjour à tous
    Le martin model 179 !
    Pièces jointes
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  • Oui j'y pensais aussi, ou pour autre chose, un peu comme certaine version du B-25 quoi.
    La société est bien foutue, elle fout des uniformes aux cons pour qu’on les reconnaissent !
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  • Pour le B-26, je pensais plutôt au straffing (mitraillage) des aérodromes.
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  • Pour le p-38 ça peut se comprendre, mais pour le b-26… en générale, les chasseur n'attaquaient pas les Bombardiers de face ( et là j'imagine qu'ils attaquaient pu du tout ^^ )
    La société est bien foutue, elle fout des uniformes aux cons pour qu’on les reconnaissent !
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  • Concentrer les canons dans le nez donnait une puissance de feu plus efficace, particulièrement en air-air, contre les chasseurs et bombardiers. On peut repenser au B-25, P-38… En creusant, on peut trouver d'autres modèles. Ca devait être efficace en air-sol, notamment pour le mitraillage des aérodromes.
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