Algo, tu me surprendra toujours… La présence des SAS est confirmée mais je reste sur la version Sénégalaise, parce que les morts au front, on sait qui sait et comment cela est arrivé!
https://www.seneplus.com/opinions/livre-les-bonnes-feuilles-de-fode-kaba-ii-des-diambars-dans-le
https://www.seneweb.com/news/Societe/3-4-operations-fode-kaba-1-et-2-gabou-li_n_406271.html
Armée de terre sénégalaise
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Sources images Twitter DIRPA
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https://youtu.be/JBbDyQlCMaU?si=Rf5ZrzgiudSlqLe1
Nord sindian -
https://www.youtube.com/watch?v=ijEKOaUdPtc
Massa diambar.
Les sénégalais pour lesquels vous avez fais ce difficile t courageux choix, vous disent merci pour votre courage, pour votre sacrifice t pour votre amour de notre cher Sénégal. -
Sans doute, en écho à certaines publications récentes sur Youtube concernant le conflit casamançais, je publie ce texte d'une relation assez bien introduite et au fait de la chose "casaçaise"
LES TROUBLES EN CASAMANCE SONT ANTÉRIEURS AU MFDC
Pr. Ndukur Kacc Ndao
Les zones militaires 5 et 6 occupent les zones sud du Sénégal depuis des années. Elles se sont toujours mobilisées dans des opérations de sécurisation mais surtout de destruction des sanctuaires rebelles. Plusieurs morts des deux côtés du fait particulièrement des mines (antérieures au MFDC sur une historiographie sur laquelle je reviendrai) et des embuscades. On peut rappeler une liste non exhaustive macabre. 26 soldats tués à Babonda en 1995, 25 en 1997 à Mandina Macagne près de Ziguinchor). Il est dommage que notre armée ne communique point sur les morts de la rebellion. Il est clair que toutes les structures militaires n'ont jamais été transparentes.
Manifestement, la défaite militaire du MFDC a réduit ses capacités opérationnelles mais a renforcé l'existence de bandes armées qui sont dans le banditisme transfrontalier. Les armées du Sénégal ont acquis aujourd'hui une grande expérience du fait de leurs engagements auprès de différentes missions de paix en Guinée Bissau en 1998 (opération Gabou) ou au Libéria (participation à la force ECOMOG ou en Gambie avec ECOMIG de la CEDEAO. Sans compter les opérations de défense intérieures depuis les conflits anti portugais. Ces différents engagements ont naturellement renforcé ses capacités interarmes et interarmées particulièrement pour les conflits de type asymétriques.
Historiquement, le sud a toujours été une zone de conflits. Les premiers engagements de l'armée datant de 1961, un an après nos indépendances, lorsque la PAIGC (Parti africain pour l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap vert) d’Amilcar Cabral et le FLING (Front de libération et d’indépendance de la Guinée) de François Mendy ont fait de la Casamance une zone de refuge. Les exactions sur les populations sénégalaises des bandes armées feront que l'armée sera à nouveau mobilisées en 1966 et 1969 pour rétablir l'ordre dans le cadre de l'opération Mandat 1.
Suivront plusieurs autres opérations en 1970 avec la création du Commandement Opérationnel Sud-Casamance (COSC). Ce COSC avait notamment pour objectif de se battre contre les Portugais ou les éléments irréguliers en 1970 dans le village de Kougne ou Casselol ou Santhiaba Manjack en 1972. Santhiaba Manjack sur cette façade sud-ouest qui abritait deja en 1976 un cantonnement militaire. Dans la même année l'opération "Cassalol-Catetia" est menée avec des succès mitigés. En 1974, d'autres engagements seront notés et qui opposent le COSC et les forces portugaises du côté de Nianao. En 1975, le COSC sera dissous car le calme était revenu.
On voit bien que la Casamance est trouble depuis les années 1961 voire durant la période précoloniale. Ce n'est qu'en 1982 que le MFDC version Abbé Diamacoune apparaît et prend les armes contre l'armée du Sénégal. La guerre des années 1980 du MFDC a changé de nature. Entre temps l'État du Sénégal a réussi à fragmenter en factions et fronts le MFDC rendant presque impossible des accords globaux.
l'État s'est tactiquement organisé pour ne jamais avoir un interlocuteur de discussions crédible avec ce fractionnement. Il a toujours donné la fausse impression de négocier. Les accords sont nombreux et connus. Dans un contexte de rapports de forces favorables à l'armée sénégalaise, on peu comprendre sans justifier cette posture stratégique. Des centaines de combattants du MFDC en ont fait les frais du non respect des engagements de l'État du Sénégal. J'ai espoir que les nouvelles autorités auront une démarche différente. Peut-être que la Déclaration de Politique Générale du PM nous édifiera sous peu ou à jamais.
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Toujours en écho à ce qui paraît de plus en plus sur les réseaux sociaux, les armées se souviennent…
Sources images Twitter DIRPA
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On remarquera le béret spécial, coiffé a l'anglaise, avec l'écusson sur la gauche, arboré par le contingent sénégalais en Gambie.
Après les commémorations de Babonda, dont j'ai encore aujourd'hui écouter le récit d'un courageux soldat, je crois qu'il est plus que clair que le courage inouï, dont ont fait montre nos soldats, parfois même devant une mort certaine, doit après nous avoir rempli d'orgueil, nous pousser a nous occuper de tous ces vétérans qui attendent que leur patrie leur montre la reconnaissance qu'ils méritent. J'entends ces jours ci cette sempiternelle polémique sur la reconnaissance attendu de l'ancienne puissance coloniale par rapport aux tirailleurs ou encore par rapport au massacre de Thiaroy. Je crois qu'il y a des combats tout aussi urgents et des fois plus proche de nous a mener par nos autorités pour rétablir nos vétérans des conflits plus proches dans le temps, dans leur dignité. -
Excellente initiative – par contre il nous faudra ecrire notre histoire. Je convoque le livre du Colonel Mbaye Cisse aujourd'hui Cemga sur notre propensité a ne pas anticiper (par exemple le manque de carte ou de drop zone identifier) ou a ecrire un livre retour opex.
Apres avoir rediscuter avec quelques membres du commando diriger par Col Abel Ngom incluant le GIGN avec Thiamdoum, Thiane et d'autres ainsi que des soldats du genie et d'autres bataillons pour renforcer l'equipe d'assault, il s'avere qu'il n'y avait pas d'anglais present sur place. Leur participation a l'operation comme a l'accoutumée a ete grossis mais de maniere ehonté quand meme avec leur livre etc…Le mensonge comme quoi ils ont planifier l'operation est un tissu de contre verité.
L'operation d'assault a ete entierement senegalaise et si le temps le permet je ferai un resumer.
Pour revenir il nous faut ecrire et inspirer aussi bien notre generation que ceux a venir en ecrivant encore une fois de plus notre propre histoire.
La question du traitement sempiternel du massacre de Thiaroye est essentiel et non negligeable au meme titre que redorer de dignité de brave soldat allant du Cosri, à Babonda et Mandina Mancagne. Il y va de notre relation avec l'ancienne colonie que de la nouvelle dignité africaine qui donneront une nouvelle orientation sur les questions economiques et de developement. Quand un jeune s'engage peu importe l'epoque on lui doit reconnaissance et support financier pour maintenir un minimum de cadre de vie.
J'ecoutais un General du Green Beret Maj Gen Gil Ferguson expliquer leur investissement le plus important est la plate forme humaine ou plus simplement l'etre humain. Peu importe l'equipement l'humain reste un element essentiel de la chaine. -
Bien dit le nouveau et Algo. Le profond respect que j'ai pour les forces armées sénégalaises ne vient pas du fait que je sais beaucoup de choses en côtoyant des gens spéciaux, qui ne parlent pas et quand vous croyez qu'ils vous ont lâché un scoop, c'est juste une un "zapping" pour savoir à qui ils ont affaire.
Je me rappellerai toujours d'une discussion avec des anciens du BRA, ayant été à Bissau pour renforcer les Bat3/Bat6 : à l'évocation du camp de Cuméré et l'analyse faite sur le traitement que ce camp aurait dû avoir, il a volontairement laisser dériver la discussion pour savoir quelles pouvaient être mes sources.
Je lui ai quand même lâché deux infos pour le perturber : le nom d'un ami commando, tombé au camp de Bra et le pourquoi (combat retardateur pour aider des éléments peu aguerries (ASFA/classes sortis de Bango, etc…) à décrocher et revenir vers le cantonnement principal (Jonction avec ceux qui auraient dû monter vers Bissalanca et non temporiser/fixer à la sortie de Bandim) Plus tard, ils sauront que les mutins, aidés par des éléments du mfdc pouvaient passer par les plantations de Cajou en dépassant Plaque 2 et sortir vers Cuntum et Tchon di Pépel (stade du 24 septembre) pour les prendre à revers dans la zone du Port, avec des BRDM, des PT76, un Chilka au moins et des BTR que leurs mécaniciens avaient remis en fonction.
Mon ami Cisko est tombé là-bas pour défendre des soldats qui n'avaient jamais entendu un char tirer ou une explosion d'obus.
A l'instant où j'ai parlé de la colonne fixée dans les rizières de l'est de Bissau [(ils avaient contourné Plaque 1, près des Missionnaires, en allant vers la cimenterie, pour arriver dans Bissau et couper le détachement des servitudes du Port (tenu par des loyalistes au Pdt Nino Vieira). Ces gens étaient renseignés par des "blessés" de guerre bissau-guinéens planqué au sein de l’hôpital Simon Mendes parmi les blessés sénégalais, jusqu'à guider l'artillerie des mutins…], ce sous-off est parti de là avec ses amis en m'accusant d'être membre du renseignement militaire…
J'avais juste perdu un ami et failli perdre un oncle qui était servant d'un canon de 20mm, blessé par un éclat de RPG7. -
Les forces speciales senegalaise participant à des seances de tie aux USA dans le vermon source: Fds tv
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Bonjour les gars
Aujourd’hui j’ai fais une nouvelle découverte sur Google earth d’un rassemblement de véhicules blindé dans l’une des bases militaires de notre cher pays
J’ai réussi à compter au minimum 31 blindé et engin lourd et réussi à identifier un type le rg 31 Nyala
J’hésite à divulguer ces informations et ces images mais je peux vous montrer si vous voulez -
bachirsarr042 a dit le 16/08/2024 à 11:30 :
Je te conseille de ne pas balancer! Conseil de frère
Bonjour les gars
Aujourd’hui j’ai fais une nouvelle découverte sur Google earth d’un rassemblement de véhicules blindé dans l’une des bases militaires de notre cher pays
J’ai réussi à compter au minimum 31 blindé et engin lourd et réussi à identifier un type le rg 31 Nyala
J’hésite à divulguer ces informations et ces images mais je peux vous montrer si vous voulez -
Je me disais à force on commence à mettre notre armée à nue
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Bu niou kenn khamal…
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