La chasse au dromadaire à la crosse d'appontage,
Et allez le bien-être animal… Brigiiiiiiiiiiiitte !!!
La chasse au dromadaire à la crosse d'appontage,
Sharky 13 a écrit
La chasse au dromadaire à la crosse d'appontage,
Et allez le bien-être animal… Brigiiiiiiiiiiiitte !!!
Pit a écrit
Nannnnnnnnnnnnnnn. La TV.
Pour la radio en mer, y'a RFI.
lolos a écrit
pas d'argent et surtout pas de volonté
lolos a écrit
tres belle photo
comment tu peut savoir que c'est un astrac ? et il est ou le pod damocles ? je ne le vois pas
il ne devaoit pas faire partie dela panoplie
C'est une vieille histoire que fait ressortir l'Irak. Bagdad entend "négocier avec la partie française le recouvrement de 651 millions d'euros payés en avance dans le cadre d'un contrat d'achat d'avions Mirage F1 que les fabricants n'ont jamais livrés".
Ces avions ont été au moins partiellement payés à la France, et l'argent vraisemblablement encaissé par le constructeur Dassault Aviation.
Durant la guerre Iran-Irak, Paris vendait tout ce que l'Irak était disposé à acheter, ou presque, de même que tous les autres pays occidentaux et la Russie. En 1980, l'Irak avait été clairement l'agresseur de l'Iran, mais c'est ce dernier pays, qui était aux mains des mollahs depuis l'année précédente, qui avait été frappé d'embargo. La condition mise à l'achat de ces armements par Saddam Hussein était le paiement d'avance d'une très grosse partie de la facture. On paye d'abord, on est livré ensuite ! Le Giat (ancien nom de Nexter), Thomson-CSF (ancien nom de Thalès), Dassault Aviation, et bien d'autres se sont ainsi considérablement enrichis pendant cette guerre. L'Iran, de son côté, n'était pas oublié. Pour ce pays sous embargo, plusieurs industriels européens avaient constitué le "cartel des poudres" qui avait bénéficié de l'appui discret des gouvernements concernés. Ces livraisons donnèrent le jour en France à l'"affaire Luchaire".
Surgi du passé, le dossier des Mirage F1 irakiens constitue une épine dans le pied du gouvernement français. Alors que l'armée de l'air irakienne possédait déjà quatre-vingt-dix Mirage F1, elle avait signé un contrat en septembre 1985 pour l'achat de vingt-cinq avions supplémentaires, qui n'avaient pas été livrés à l'été 1990, lorsque l'Irak avait été à son tour frappé d'embargo après avoir envahi le Koweït.