Dassault nEUROn

  • :D
    Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
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  • Deuxième vol ce matin, Avec le Rafale C101 en accompagnement,devant un aréopage de 400 personnes. 8-)
    On peut défier le ciel, mais il ne faut pas se moquer de lui.J-M Saget
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  • Pour ceux que cela intéresse, il sera en statique au Bourget.
    On peut défier le ciel, mais il ne faut pas se moquer de lui.J-M Saget
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  • Sharky 125 a écrit

    Pour ceux que cela intéresse, il sera en statique au Bourget.

    Ca m'intéresse. Merci. ;)
    Escaladant le bleu brûlant du vaste ciel J'ai survolé les cimes battues par les vents Et sous la coupole sainte de l'espace infini , Tendant la main, j'ai touché la face de Dieu.1/13 Artois
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  • Dassault Aviation et la DGA récompensés aux Etats-Unis pour le démonstrateur de drone nEUROn
    «Il y a des moments où il est bon d'écouter sa peur et d'autres où il est plus sage de faire comme si elle n'existait pas.»George S. PattonLa page de ma "boite" : RiumMon blog : Certaines idées
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  • Un film de démo de l'AdA
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  • Je ne sais pas trop ou poster ca, etant donne que ce successeur du nEUROn n'a pas encore de nom: ce sera ici!

    Dassault Aviation et BAe Systems viennent de signer un contrat de 150 millions d'euros avec les gouvernements francais et britannique, portant sur la construction d'un drone UCAV commun. Le successeur du nEUROn de DA et du Taranis de BAe, en d'autres termes.
    Il s'agit d'un contrat ferme, qui fait suite a la lettre d'intention qui avait ete signee sur ce meme projet a Brize Norton en fevrier.

    Source: Le Figaro
    "En temps de paix, le kamikaze n'a plus de raison de sauter sur quoi que ce soit d'inflammable. Il s'étiole. Le suicide était le seul but de son existence : maintenant qu'il n'a plus de raison de mourir, il n'a plus de raison de vivre.Heureusement, il est possible d'aider le kamikaze à en finir en déclenchant en lui cette irrépressible envie d'exploser sur l'ennemi qui lui valut naguère son immense prestige auprès des gonzesses. Comment? C'est simple : il suffit d'imiter le cri du porte-avions. Regardez bien. Pout, pout, pout, ….Kamikaze : Banzaï !Etonnant, non?"Desproges
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  • J'espère qu'on n'aura pas le même scénario que pour l'Eurofighter.
    Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
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  • d9pouces a écrit

    J'espère qu'on n'aura pas le même scénario que pour l'Eurofighter.
    Y'a pas l'Allemagne… :mrgreen:
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Ce qui va être compliqué c'est la version embarqué, CATOBAR ou STOBAR suivant le coté de la manche…
    Enfin adapter l'un de l'autre est moins complexe que d'improviser un appareil embarqué sur une cellule pas prévu pour cela dès l'origine !
    «Il y a des moments où il est bon d'écouter sa peur et d'autres où il est plus sage de faire comme si elle n'existait pas.»George S. PattonLa page de ma "boite" : RiumMon blog : Certaines idées
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  • Vu le manque criant de drones actuellement, je ne peux que me réjouir de cette "mise en commun de compétences" annoncée.
    ¤ Nicolas Sur AMN : Nico2, inscrit le 09 Jan 2006, 16:45>> N'oubliez pas de lire et de relire le Règlement du forum.>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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  • Puisqu'on parle un peu du nEUROn, on m'a proposé de compléter la fiche actuellement sur le site. La voici, et comme d'habitude, si vous voyez des erreurs ou imprécisions. Autre remarque: je me suis permis d'y introduire le programme LOGIDUC avec sa famille de hiboux, qui sont un peu la genèse du nEUROn…


    Le nEUROn est un démonstrateur technologique européen de drone de combat furtif, monomoteur, en forme d’aile volante et muni d’une soute à armement.

    Un programme destiné à l’étude et au développement de démonstrateurs technologiques de drones de combat furtifs est lancé par Dassault Aviation en 1999, sur fonds propres. Désigné LOGIDUC (LOGIque de Développement d’UCav), ce programme a pour objectif principal d’acquérir les connaissances permettant la fabrication futur de drones de combat pouvant épauler les Rafale, mais aussi de conserver les compétences technologiques en l’absence de programme aéronautique militaire majeur.
    L’appareil final devra être une plateforme furtive, capable de larguer deux BGL ou AASM de 250kg durant des missions automatisées C4I (Computerized Command, Control, Communications, Inteligence) d’une centaine de minutes à 100km de sa base d’opération. Pour cela, une dizaine de nouvelles technologies doivent être développées, dont la moitié concerne la furtivité et l’autre moitié le décollage et l’atterrissage automatique et son insertion dans le trafic aérien.

    La construction de plusieurs appareils différents sont prévus : les premiers à une échelle réduite et le dernier à taille réelle. Plusieurs mois d’études en soufflerie sont effectués, afin d’obtenir une configuration optimale.
    Le premier appareil effectue son envol le 18 juillet 2000. Appelé Petit Duc AVE-D (Aéronef de Validation Expérimental – Discrétion), cet appareil devient le premier drone de combat furtif européen à voler, même s’il n’est qu’à l’échelle 1/100 du modèle final projeté. Il vole de façon autonome grâce à un système de pilotage automatique préprogrammé et ses paramètres de vol sont retransmis en temps réel à la station de guidage.
    Sa silhouette est aplatie avec un nez en pointe se prolongeant jusqu’aux ailes de forme triangulaire. Une entrée d’air dorsale alimente les deux réacteurs dont les tuyères sont situées entre les deux dérives. Son train d’atterrissage tricycle escamotable lui permet de décoller et d’atterrir sur des pistes en dur. Des tests de furtivité sont effectués en 2003 et en juillet 2008 le Petit Duc AVE-D effectue un vol totalement autonome.

    À partir de mars 2003, un second prototype désigné Petit Duc AVE-C (Aéronef de Validation Expérimental – Contrôle) commence ses essais en vol. Sa configuration est un peu différente, puisqu’il n’est plus équipé de dérives et que ses ailes sont en flèches. À cette période, Dassault s’allie à SAGEM pour fonder Dassault Sagem Tactical UAV, une filiale spécifique pour l’étude et le développement de drones.

    Les essais du Moyen Duc, qui effectue son premier vol en 2004, constitue l’étape suivante. De taille supérieure et d’une masse d’environ 500kg, il est à l’échelle 1/10 de la taille du drone final. Sa configuration générale est celle de l’AVE-C avec la double dérive de l’AVE-D.
    Mais à ce moment là le Grand Duc, qui devait être la dernière étape de programme, est déjà abandonné au profit d’une collaboration européenne permettant de mettre à contribution le savoir faire de différentes entreprises et partager les coûts de développement et de fabrication.
    En effet, c’est en 2003 que le projet nEUROn est lancé officiellement durant le Salon international de l'aéronautique et de l'espace de Paris-Le Bourget. L’objectif est d’étudier, sous l’égide de la DGA, une alternative à l’utilisation unique d’avions de combat pilotés à l’horizon 2025.
    Pour éviter que le programme s’enlise faute de décideurs, comme d’autres programmes européens, il est décidé que Dassault Aviation reste le maître d’œuvre. Pour cela, la DGA négocie les termes et conditions de participation avec les différents gouvernements et industriels intéressés à collaborer au programme. Ces cadres stricts sont posés afin de tenir les objectifs de budget, planning et performances du programme.

    Entre 2005 et février 2006, Dassault Aviation est rejoint dans ce programme par le français Thales, le suédois SAAB, l’espagnol EADS-CASA, l’italien Alenia Aeronautica, le grec HAI et le suisse RUAG. Pour permettre une collaboration efficace entre les différents partenaires, un plateau virtuel désigné PLM (Product Lifecycle Management) réunissant entre 300 et 500 collaborateurs sur divers sites en Europe est mis en place par Dassault Aviation. Ce PLM permet un partage des données en temps réel et une disponibilité immédiate des informations, facilitant ainsi le travail en équipe simultanément.
    Pour l’aéronautique européenne, le nEUROn devient le premier UCAV développé en collaboration internationale, le premier appareil furtif et le premier avion de combat entièrement conçu et développé sur un plateau virtuel. Il permet surtout de maintenir des pôles d’excellence et garder des compétences dans certaines technologies stratégiques que les USA possèdent, mais qui ne seront jamais transférées en Europe.
    Un budget de 405 millions d’Euros est alloué par la DGA au programme. Les tâches sont distribuées selon les compétences des différents participants et leur budget en proportion des coûts des travaux à effectuer :
    - Dassault Aviation est le maître d’œuvre, le responsable de la conception générale et de l’architecture du système, des commandes de vol, des dispositifs furtifs, de l’assemblage final, de l’intégration des systèmes et des essais au sol et en vol. Thales procure la liaison de données conforme au STANAG 7085 de l’OTAN et l'interface avec le commandement. (180MEuro).
    - Alenia Aermacchi est responsable de la soute interne d’armement EIWB (Smart Integrated Weapon Bay), de ses portes et du système d’ouverture et fermeture, d’un capteur EO/IR interne, le système électrique et l’anémométrie (75MEuro).
    - SAAB met au point le fuselage, les trappes de train d'atterrissage, l’avionique et le système de carburant (75MEuro).
    - EADS-CASA est en charge des ailes, la station de contrôle au sol et l’intégration de la liaison de données de Thales (35MEuro).
    - HAI (Hellenic Aerospace Industry) s’occupe de la section arrière du fuselage, de la tuyère et de la fourniture de racks du "banc d’essai global" (20MEuro).
    - RUAG prend en charge les essais de soufflerie basse vitesse, ainsi que le pantographe de largage de l’armement et ses interfaces avec la plate-forme (20MEuro).
    D’autres fournisseurs, comme Messier-Bugatti-Dowty qui fournit les trains d'atterrissage, participent également au programme pour des sommes moins importantes.

    Il est encore possible que les entreprises belges SABCA (filiale de Dassault) et BARCO intègrent l’équipe du nEUROn, la liaison satellite pouvant leur revenir si une entente était trouvée.

    Le Royaume-Uni a préféré faire cavalier seul avec le BAe Systems "Taranis", relativement proche du nEUROn, mais plus lourd, qui a effectué son premier vol en aout 2013.

    L’Allemagne, avec l’EADS Barracuda avait son propre programme en collaboration avec l’Espagne. Malheureusement le prototype s’est abimé en mer en 2006, quelques mois après son premier vol.

    La maquette à l’échelle 1/1 du nEUROn est dévoilée le 13 juin 2005 durant le Salon du Bourget.
    Sa configuration est typique d’une aile volante dont le bord d’attaque est droit, sans courbure et le bord de fuite forme un "W". L’entrée d’air, sur le dessus du fuselage, est découpée en "W" et les aubes du réacteur sont masquées afin de diminuer la signature électromagnétique. Il est propulsé par un réacteur Adour Mk951 de 29kN de poussée et son train d’atterrissage tricycle est escamotable. Une soute permet d’emporter deux bombes de 250kg guidées par laser.

    Le 16 octobre 2006, deux réacteurs Adour Mk951 sont loués par Dassault. Un de ces moteurs est destiné aux essais statiques débutants au début de l’année 2011 et l’autre pour le premier vol prévu quelques mois plus tard.

    Début 2008, le développement du système commence, celui de la cellule est terminé vers la fin de 2010. À ce moment, un banc d’essai des systèmes fonctionne déjà au centre d’essai de la DGA sur la base aérienne 125 d’Istres-Le Tubé (F).
    Le nEUROn est présenté pour la première fois sur cette base aérienne, le 19 janvier 2012.

    SAAB livre le 11 janvier 2011 l’avant du fuselage, ainsi que sa partie centrale. La partie arrière est également livrée durant ce mois de janvier par HAI. Les ailes sont envoyées par EADS-CASA en mars pour l’assemblage et en mai c’est Alenia Aermacchi qui livre les portes de soute, leur système d’ouverture et de fermeture, ainsi que les divers équipements dont elle avait la charge.

    Le premier vol du nEUROn est effectué le 1er décembre 2012, toujours à partir de la base aérienne 125, au dessus des zones peu habitées proches de l’étang de Berre. Entièrement automatisée, cette première sortie s’est déroulée selon les prévisions avec un décollage à 8h20, la validation des principaux paramètres de vol par deux pilotes d’essais installés dans une station au sol, puis l’atterrissage 25 minutes plus tard.

    Par la suite, de nombreux essais sont effectués, y compris depuis les bases aériennes suédoise de Vidsel et italienne de Salto di Quirra, en Sardaigne.

    Le 20 mars 2014, le nEUROn effectue un vol en patrouille en présence d’un Falcon 7X et d’un Rafale. C’est le premier vol d’un drone de combat en formation avec d’autres appareils, dans ce cas un avion civil et un avion de combat.

    Les accords entre les différents partenaires ont pris fin en 2013 avec la remise d’un rapport des industriels à la DGA. Un nEUROn produit en série est peu probable par la suite, mais un appareil de conception proche pourrait bénéficier de ce programme. Reste à savoir quel rôle jouera dans le futur les UCAV et quelle place ils prendront. Dassault aimerait pouvoir proposer un nEUROn piloté depuis un Rafale biplace, ce qui n’est que moyennement apprécié par SAAB et EADS-CASA qui sont partenaires dans le programme.
    Le programme nEUROn pourrait continuer avec l’intégration d’une liaison par satellite, de CME et des systèmes permettant l’emploi de missiles air-air.


    Versions :
    Petit Duc AVE-D: (Aéronef de Validation Expérimental – Discrétion) Premier drone de combat furtif européen, il prend l’air le 18 juillet 2000 depuis l'aéroport de Dreux-Senonches. Construit à l’échelle 1/100 du modèle final, soit d’une masse d’une cinquantaine de kilogrammes environ. Il est équipé d’un système de pilotage automatique et se dirige par localisation GPS. Les différents paramètres de vol comme la vitesse, l’altitude, le fonctionnement des moteurs, sont retransmis en temps réel à la station au sol.
    L’appareil possède une silhouette aplatie. L’avant, en pointe, se prolonge jusqu’aux ailes de forme triangulaire. L’emplanture de ces dernières est noyée dans le fuselage pour augmenter la furtivité. Une entrée d’air dorsale permet d’alimenter en air les deux réacteurs AMT Olympus, dont les tuyères sont situées entre les deux dérives penchées vers l’extérieur. Le train d’atterrissage tricycle escamotable lui permet de décoller et d’atterrir sur des pistes en dur et il est également équipé d’un parachute en cas de problème.
    Sa structure est principalement moulée en fibres de verre et en matériaux composites afin de diminuer sa signature électromagnétique.
    Des tests de furtivité sont effectués en 2003 et en juillet 2008 il effectue un vol totalement autonome comprenant le roulage, l’alignement, le décollage, les évolutions en vol, l’atterrissage, le freinage et le roulage final. D’une vitesse maximale d’environ 600km/h, il possède un rayon d’action de 150km.

    Petit Duc AVE-C : (Aéronef de Validation Expérimental – Contrôle) Second prototype du programme à être construit, il effectue ses essais en vol à partir de mars 2003. De dimensions proches de celles du Petit Duc AVE-D, sa configuration est légèrement différente : ses ailes sont désormais en flèche et il est démuni de dérive, ce qui fait de lui une véritable aile volante. Ses performances sont comparables à l’AVE-D.

    Moyen Duc : Construit à l’échelle 1/10 de la taille du drone final, sa masse est d’environ 500kg. Sa configuration est très proche de celle de l’AVE-C, mais avec la double dérive de l’AVE-D. Il effectue son premier vol en 2004.

    Grand Duc : Projet d’un démonstrateur de drone de combat furtif d’une masse totale d’environ 5’000kg, il est abandonné en 2003 en faveur du programme européen nEUROn.

    nEUROn : Démonstrateur final se présentant comme une aile volante aux apex sans courbure se prolongeant avec le bord d’attaque des ailes en flèche. Le bord de fuite de ces dernières forme un "W" avec l’arrière du fuselage. La propulsion est assurée par un réacteur Adour Mk951 de 29kN de poussée, un moteur très largement utilisé et qui a déjà fait ses preuves. Il est commandé par un système de régulation numérique (FADEC) permettant de faciliter son pilotage. L’entrée d’air l’alimentant est située sur le dessus du fuselage, sa découpe en "W" et la bosse du fuselage à l’entrée permet de masquer les aubes du réacteur et de diminuer la signature électromagnétique du nEUROn. Le train d’atterrissage tricycle est escamotable. L’armement prévu, composé de deux bombes de 250kg guidées par laser, est transporté dans une soute. L’ouverture de cette dernière et le largage des munitions doit se faire rapidement afin de limiter le temps durant lequel la soute est ouverte, faisant perdre au nEUROn une partie de sa furtivité.


    Utilisateurs militaires :
    France : Un exemplaire testé par la DGA, mais qui n'entrera pas en service au sein d'une force armée.

    Caractéristiques du nEUROn:
    Equipage : 0
    Longueur : 10m
    Envergure : 12,5m
    Masse à vide : 4’900kg
    Masse maximale au décollage : 7’000kg

    Moteurs :
    1 turboréacteur Rolls-Royce Turbomeca Limited Mk951 de 29kN (2’957kgp).

    Performances :
    Vitesse max : 980km/h
    Plafond opérationnel : 14’000m

    Armement :
    Deux bombes guidées par laser de 250kg, éventuellement deux bombes lisses munies de système de guidage AASM.


    Liens internet :
    http://www.dassault-aviation.com/fr/defense/neuron/les-etapes-cles-du-programme/

    http://www.aviationsmilitaires.net/display/aircraft/358

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140307trib000818777/le-drone-de-combat-neuron-de-dassault-oscarise-a-washington.html

    http://www.airforce-technology.com/projects/neuron/

    http://psk.blog.24heures.ch/archive/2014/03/11/dassault-prime-pour-le-neuron-855400.html

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Dassault_nEUROn

    http://en.wikipedia.org/wiki/Dassault_nEUROn

    http://tv.dassault-aviation.com/La_Patrouille__nEUROn_Rafale_Falcon_7X-1077.html
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Sympa cette fiche !

    deux réacteurs Adour Mk951 sont loués par Dassault.

    Tiens, marrant de louer des moteurs pour un démonstrateur. Pourquoi ne pas les acheter ? ça coûte réellement moins cher ? Ou simplement ça permet de s'affranchir de la maintenance ?

    Dassault aimerait pouvoir proposer un nEUROn piloté depuis un Rafale biplace, ce qui n’est que moyennement apprécié par SAAB et EADS-CASA qui sont partenaires dans le programme.

    Tu m'étonnes… Mais pourquoi pas le faire à la fois sur Rafale et Eurofigther ?

    Utilisateurs militaires :
    France : Un exemplaire testé par la DGA, mais qui n'entrera pas en service au sein d'une force armée.

    Au fait, pourquoi pas l'envoyer au Sahel ?
    Il fonctionne bien et ça permettrait un vrai Retex.
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  • glwpatton a écrit

    Sympa cette fiche !
    Merci.

    glwpatton a écrit

    deux réacteurs Adour Mk951 sont loués par Dassault.
    Tiens, marrant de louer des moteurs pour un démonstrateur. Pourquoi ne pas les acheter ? ça coûte réellement moins cher ? Ou simplement ça permet de s'affranchir de la maintenance ?
    Aucune idée et je me suis aussi posé la question, mais plusieurs sources parlaient bien de location et non pas d'achat.

    glwpatton a écrit

    Dassault aimerait pouvoir proposer un nEUROn piloté depuis un Rafale biplace, ce qui n’est que moyennement apprécié par SAAB et EADS-CASA qui sont partenaires dans le programme.

    Tu m'étonnes… Mais pourquoi pas le faire à la fois sur Rafale et Eurofigther ?
    Et le Gripen… :roll:

    glwpatton a écrit

    Utilisateurs militaires :
    France : Un exemplaire testé par la DGA, mais qui n'entrera pas en service au sein d'une force armée.

    Au fait, pourquoi pas l'envoyer au Sahel ?
    Il fonctionne bien et ça permettrait un vrai Retex.
    Bonne idée, mais selon les contrats, je ne sais pas si Dassault n'aurait pas besoin de l'accord de tous les partenaires pour le faire.
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Jolie fiche :) !

    Je n'avais pas realise que le nEUROn ne peut embarquer que 2 bombes. On retrouve les limitations des emports d'armements internes, propres aux avions furtifs.
    "En temps de paix, le kamikaze n'a plus de raison de sauter sur quoi que ce soit d'inflammable. Il s'étiole. Le suicide était le seul but de son existence : maintenant qu'il n'a plus de raison de mourir, il n'a plus de raison de vivre.Heureusement, il est possible d'aider le kamikaze à en finir en déclenchant en lui cette irrépressible envie d'exploser sur l'ennemi qui lui valut naguère son immense prestige auprès des gonzesses. Comment? C'est simple : il suffit d'imiter le cri du porte-avions. Regardez bien. Pout, pout, pout, ….Kamikaze : Banzaï !Etonnant, non?"Desproges
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