Ju 88/188/288/388

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  • Bien sur, nous avons un topic sur les bombardiers de l'Axe, mais vu la place que le Ju-88 a occupé durant la WWII, il mérite bien un sujet pour lui seul.

    La toile foisonne de descriptif au sujet de cet appareil, mais, comme j'ais le souci de votre bien-etre mes chers camarades ( :mrgreen: ), je vais me fendre d'un petit descriptif exaustif:

    Bombardier moyen rapide avec un équipage de 4 membres

    Envergure : 18.38 m
    Longueur : 14.36 m
    Hauteur : 5.32 m
    Motorisation : 2 moteurs Junkers Jumo 211B de 1200 cv
    Armement : 3 mitrailleuses de 7.92mm et 1800 kg de bombes
    Poids en charge : 10360 kg
    Vitesse maximale : 450 km/h à 5500 m
    Plafond pratique : 8000 m
    Distance franchissable : 1700 km

    Conçu en 1935, le Ju-88 entra en service en 1939, se révéla pleinement durant la campagne de France pour ne déposer les armes qu'en 1945.
    Bombardier, bombardier en piqué, appareil de reconnaissance, chasseur de nuit, avion torpilleur, appareil de lutte antichar équipé de deux canons de 37mm ou un de 75mm, le Ju-88 fut employé sur tout les fronts et quasiment dans toutes les fonctions, sauf celle de chasseur pur, sans oublier également les appareils Mistelet toutes les armes plus ou moins efficace que put concevoir l'Allemagne à cette époque comme ce Ju-88 avec un Flak37 de 88mm

    Le Ju-88-P2 avec sa gondole et ses deux canons de 37mm

    La version de chasse de nuit Ju-88-G6

    Voilà, pour lancer ce sujet, je m'arrete ici, les versions de cet appareil sont tellement nombreuses qu'il reste encore de quoi disserter longuement à son sujet.
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  • C'était bien la peine d'ouvrir un sujet pour si peu de choses. Escroc. :mrgreen:

    Le Ju-88 a parfois été comparé au Mosquito britannique. Comme lui, il devait être léger et rapide au départ. Et puis finalement, il a pris du poids. Mais il est resté un excellent appareil, tout à fait dans la lignée des bombardiers légers de l'Axe, qui ont dévasté l'Europe mais qui se sont révélés incapables d'assurer des missions stratégiques pour lesquelles ils n'avaient pas été conçus.

    Utilisé à peu près dans toutes les missions possibles et envisageables, avec de multiples sous-versions officielles et sur le terrain ( les Allemands sont les champions des kits de conversion et des modifications non-officielles ), préféré par Milch au He-219 Uhu et fabriqué à… ben euh beaucoup d'exemplaires. :lol:
    Ah que je destroye tout ! Ou pas. :pSur AMN : Ciders, commandeur suprême, 10872 messages, inscrit le 02 septembre 2006, à 22 h 18
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  • Ciders a écrit

    C'était bien la peine d'ouvrir un sujet pour si peu de choses. Escroc. :mrgreen:
    J'ais dit exaustif…le descriptif…jeune insolent. :mrgreen:


    Bon, allez, pour etre agréable à notre cavalier des steppes.

    Les évolutions du Ju-88, à savoir, le Ju-188, 288 et 388.

    Le Junkers 188 fut fabriqué à 1076 exemplaires, cet appareil est directement issue du Ju-88 (le Ju-88 V44 servi de base de développement pour cette évolution).
    Le Ju-188 entra en service en mai 1943, il fut utilisé essentiellement sous trois versions, les versions A de bombardement, la E2 de patrouille maritime/lutte anti-navire avec une capacité d'emport de deux torpilles et les versions D et L de reconnaissance.
    Les versions E furent équipé de moteurs BMW 801 en lieu et place des habituels JUMO des autres versions de cet appareil.

    Le Ju-288 n'avait plus grand chose à voir avec le Ju-88 qui lui servit de base de développement, cet appareil fabriqué à 22 exemplaires, tous des prototypes ou des appareils de pré-série devaient etre un bombardier stratégique (selon les standards de la Luftwaffe, qui il faut l'admettre n'avait pas grand chose de commun avec la conception du bombardier stratégique de la RAF ou de l'USAF).
    Les quelques exemplaires produits servirent finalement d'appareils de reconnaissance sur le front de l'Est.

    Le Junkers 388 fabriqué à 120 exemplaires, était une transformation des 188 S et 188 T, le 388 bénéficia cependant d'une production spécifique qui s'éleva à 50 unités.
    Cet appareil entra en service en fin 1944 et était un triplace de reconnaissance de haute altitude.
    Il semble que certains appareils furent testé pour la chasse de nuit et le bombardement.
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  • Ciders a écrit

    Le Ju-88 a parfois été comparé au Mosquito britannique.

    A la grande différence que le Mosquito était en bois et craignait beaucoup… les balles incendiaires !
    Escaladant le bleu brûlant du vaste ciel J'ai survolé les cimes battues par les vents Et sous la coupole sainte de l'espace infini , Tendant la main, j'ai touché la face de Dieu.1/13 Artois
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  • Certes, mais il fallait d'abord arriver à distance de tir du Mosquito. Et ce n'était pas si simple. 8)
    Ah que je destroye tout ! Ou pas. :pSur AMN : Ciders, commandeur suprême, 10872 messages, inscrit le 02 septembre 2006, à 22 h 18
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  • Le topo de vigi étant de l'escroquerie pure et simple… Voilà le mien. :mrgreen:


    En août 1935, le RLM (ministère de l'Air du Reich) réclama un bombardier rapide, non armé et ne comptant que sur sa vitesse pour se défendre. Il devait emporter 3 membres d'équipage et 800 à 1000 kg de charge offensive à 500 km/h. La firme Junkers proposa son projet en juin 1936, qui fut conçu par W.H. Evers et Alfred Gassner, sous la direction de Ernst Zindel. Ces deux personnes avaient travaillé auparavant pour des firmes américaines. Il fut opposé au Bf 162, au Hs 127 et à un autre produit de Junkers, le Ju 85. La construction de deux prototypes du Ju 88 fut approuvée. Le Ju 85 ne fut jamais construit, et ne se différenciait du Ju 88 que par sa double dérive.

    Le premier d'entre eux vola pour la première fois le 21 décembre 1936. Avec sa vitesse de 580 km/h, il dépassait les chasseurs de l'époque. Les deux prototypes étaient dotés de moteurs DB 600. 3 autres prototypes suivirent, motorisés par des Jumo 211 et dotés d'un armement défensif à l'arrière. Le 5e prototype battit un record sur 1000 km le 9 mars 1939, avec une vitesse de 517 km/h pour une charge utile de 2000 kg. A partir du 6e prototype apparut un train d'atterrissage se rétractant sur 90°, à la manière du P-40 : il allait devenir la norme sur le reste de la production. Jusqu'à 10 prototypes furent finalement construits.

    En octobre 1937 Ernst Udet, indfluencé par le succès du Ju 87, décida de faire du Ju 88 un bombardier en piqué : ses ailes furent renforcées, des freins de piqué ainsi qu'un 4e membre d'équipage ajoutés, le fuselage allongé. Le V4 servant de prototype vola pour la première fois le 13 avril 1938. Il mènera aux versions de série A-1 et A-4.

    Mais toutes ces modifications retardèrent sa mise en service. Elle était prévue pour 1938, mais trop peu d'exemplaires étaient enregimentés lors de l'attaque de la Pologne. 12 furent choisis par l'Erprobungskommando 88 (Ekdo 88) pour être testés en conditions opérationnelles. Leur influence fut nulle.

    Le Ju 88 fut réellement engagé pour la première fois au combat en Norvège. Utilisé dans son rôle de bombardier en piqué, il contribua à endommager l'HMS Rodney et à couler l'HMS Gurkha le 9 avril 1940. Mais le KG 30 qui le déployait perdit 4 exemplaires lors de l'attaque.

    Le Ju 88 fut engagé massivement lors de la Bataille de France. Il s'y montra efficace, que ce soit pour détruire des avions au sol ou des trains. Il coula aussi le paquebot RMS Lancastria près de St-Nazaire, provoquant la mort de 5800 personnes. Cependant, un fort taux d'accidents et de pertes au combat firent que les équipages avaient encore plus peur de leur avion que l'ennemi, au point de demander leur transfert dans une unité de He 111. Il est vrai que le Ju 88 était considéré à l'époque comme un appareil à haute performance. Il fallut d'une part ré-entraîner les pilotes, et d'autre part modifier la série A-1, au standard A-5.

    Plus encore que le Do 17 et le He 111, le Ju 88 souffrit lors de la Bataille d'Angleterre, avec pas moins de 313 pertes. Des modifications sur le terrain eurent lieu afin de le rendre moins vulnérable, dont un blindage et des mitrailleuses supplémentaires. Le 27 septembre 1940, un équipage abattu récupéra les armes de bord et se battit contre des soldats britanniques lors de la bataille de Graveney Marsh : ce fut la dernière bataille sur le sol anglais contre des envahisseurs.

    Il servit aussi au-dessus de l'Atlantique (version C-6), afin d'escorter les Fw 200 et de s'attaquer aux avions anti sous-marins. Ils y remporteront 109 victoires pour 117 pertes.

    Lors de l'été 1941, le Ju 88 remplaça le Do 17. Avec le He 111, il devint le principal bombardier moyen de la Luftwaffe. Il se montra efficace lors de l'invasion de l'URSS dans la destruction de chars, de navires et d'avions au sol, mais subit 23 pertes dès le premier jour. Il dut aussi remplacer les Ju 87, trop peu nombreux à ce moment-là.

    On le reverra lors de la bataille de Normandie, mais fut complêtement surclassé par les appareils Alliés à ce moment-là. A partir de 1943, des équipages de Ju 88 feront défection vers la Grande-Bretagne.

    La Finlande acheta 24 Ju 88A-4 en avril 1943, alors qu'elle était en guerre contre l'URSS. Un des raids les plus mémorables fut la contre-attaque au-dessus de Leningrad, alors que Tallin venait de subir un raid des VVS, le 9 mars 1944. Ils furent également utilisé pour des raids de reconnaissance et d'attaques de colonnes motorisées allemandes lorsque la Finlande se retourna contre l'Allemagne, en septembre 1944. La dernière mission de guerre intervint le 4 avril 1945. Ils furent utilisés pour l'entraînement jusqu'en 1948, puis ferraillés.

    Le Ju 88 ne servit pas seulement comme bombardier : un grand nombre de versions furent construites pour des rôles très divers, comme la chasse lourde, l'assaut au sol, la lutte anti-chars, la chasse de nuit, la reconnaissance. Les Ju 88C, par exemple, étaient des chasseur-bombardier au nez plein contenant des mitrailleuses supplémentaires. Le Ju 88R qui en dérive est un chasseur de nuit, de même que le Ju 88G qui ne dispose cependant pas de nacelle ventrale "Bola". Les Ju 88D, Ju 88H et T sont des versions de reconnaissance à long rayon d'action (patrouille maritime et basés sur le Ju 88G dans le deuxième cas). Le Ju 88P était particulièrement destiné à la lutte anti-chars et était équipé d'un canon lourd, parfois de 88 mm. Le Ju 88S revenait au concept de bombardier rapide et fut la variante la plus rapide.

    Il servit de base au Ju 188, ainsi qu'au Kyūshū Q1W Tokai japonais.

    Il fut utilisé par la Bulgarie (peut-être), l'Espagne (10 Ju 88A-4 achetés et 15 internés), la Hongrie (83 Ju 88A-4, 1 Ju 88C-6, 30 Ju 88D-1 de 1942 à 1945), la Regia Aeronautica (45 Ju 88A et 1 Ju 88D-1 en 1943), la Roumanie (40 Ju 88A-4 et 10 Ju 88D-1 de 1942 à 1953) pendant la guerre. La RAF (au moins 5 exemplaires) et l'Union soviétique capturèrent des exemplaires, les évaluèrent et en opérèrent peut-être certains. Le Ju 88 influença fortement les Soviétiques, au point de vouloir faire du Tu-2 son équivalent.

    Enfin, la France utilisa 22 Ju 88A-4 de 1944 à 1951, et 38 d'une autre version, au sein de l'armée de l'air comme de la Marine. Un Ju 88S-3 fut également utilisé. 5 exemplaires furent utilisés par la Marine, dont un Ju 88A-17 et 3 Ju 88A-14. Ils seront intégrés à la 10S et serviront à l'essai de torpilles. Ils connaîtront de gros problèmes de pannes mécaniques, aggravés par le manque de pièces détachées.

    14676 Ju 88 furent construits de 1936 à 1945, sans interruption et déclinés en 60 variantes (pour lesquelles on compte 104 prototypes). Il fut donc le bimoteur le plus produit de la Luftwaffe. Malgré des débuts et une mise au point difficile, il s'avéra un excellent appareil polyvalent, au point d'être comparé au Mosquito (il est vrai qu'ils ont été tous deux conçus comme bombardiers rapides). Cependant, il s'agissait aussi d'une machine complexe et difficile à piloter, qui souffrit de pertes. Aujourd'hui, 2 appareils sont exposés, complets, l'un au musée de l'USAF à Dayton et l'autre au musée de la RAF. 3 autres exemplaires ont été restaurés.


    Versions :

    Ju 88A-1 : Version initiale de série, dotée de moteurs Jumo 211B-1 de 1200 ch.

    Ju 88A-2 : Version dotée de moteurs Jumo 211 G-1.

    Ju 88A-3 : Version d'entraînement à doubles commandes.

    Ju 88A-4 : Version améliorée à l'envergure accrue.

    Ju 88A-5 : Ju 88A-1 portés au standard A-4.

    Ju 88A-14 : Version coupe-câbles.

    Ju 88A-15 : Version dotée d'une extension de soute à bombes en bois.

    Ju 88A-17 : Version emportant des torpilles pour la lutte anti-navires.

    Ju 88B-0 : Version au nez entièrement vitré, 10 exemplaires de présérie. Donnera naissance au Ju 188.

    Ju 88C-1 : Version prévue, dotée de moteurs BMW 801MA. Jamais construite.

    Ju 88C-2 : Version au nez plein pour la chasse. Un canon MG FF et 3 mitrailleuses MG 17 dans le nez.

    Ju 88C-4 : Version de chasse lourde et de reconnaissance.

    Ju 88C-5 : Version améliorée de chasse lourde.

    Ju 88C-6 : La sous-version C6a était améliorée par rapport au C-5. Les sous-variantes C6b et C6c étaient destinés à la chasse de nuit. Le C6b était doté d'un radar FuG 202 Lichtenstein BC et fut testé début 1942.

    Ju 88C-7 : Les sous-variantes C7a et b servaient à l'interdiction. Le C7c était une variante de chasse lourde.

    Ju 88D-1 : Version de reconnaissance photographique à long rayon d'action, basée sur le Ju 88A-4.

    Ju 88D-2 : Version de reconnaissance photographique à long rayon d'action, basée sur le Ju 88A-5.

    Ju 88D-3 : Version tropicalisée du Ju 88D-1.

    Ju 88D-4 : Version tropicalisée du Ju 88D-2.

    Ju 88D-5 : Pas de détails connus.

    Ju 88G-1 : Version construite exprès pour la chasse de nuit, dotée de moteurs BMW 801 de 1700 ch et du radar FuG 220 Lichtenstein SN-2. Dépourvue de la nacelle ventrale "Bola".

    Ju 88G-6 : Version de chasse de nuit dotée de moteurs Junkers Jumo 213A de 1750 ch, du radar FuG 220 Lichtenstein ou FuG 218 Neptun. 1 ou 2 canons Mg 15 disposés en oblique (70°) selon le système Schräge Musik.

    Ju 88G-7 : Version de chasse de nuit dotée de moteurs Jumo 213E pour la haute altitude, et du radar FuG 240 Berlin. 15 exemplaires construits avant la victoire.

    Ju 88H-1 : Version de patrouille maritime et de reconnaissance basée sur le Ju 88G.

    Ju 88H-2 : Version de chasse.

    Ju 88H-3 : Version de patrouille maritime et de reconnaissance basée sur le Ju 88G.

    Ju 88H-4 : Version de chasse.

    Ju 88P-1 : Version dotée d'un canon BK 75 de 75 mm dans une nacelle ventrale. Apparue à la mi-1942. 40 exemplaires.

    Ju 88P-2 : Version dotée de deux canons BK 37 de 37 mm en nacelle ventrale.

    Ju 88P-3 : Similaire au P-2, avec du blindage additionnel.

    Ju 88P-4 : Version dotée d'un canon BK 5 de 50 mm en nacelle ventrale, 32 exemplaires construits.

    Ju 88P-5 : Version dotée d'un canon de 88 mm. Franchement les mecs vous exagérez là.

    Ju 88R-1 : Ju 88C-6b de chasse de nuit, doté de moteurs BMW 801L de 1560 ch.

    Ju 88R-2 : Ju 88C-6b doté de moteurs BMW 801 G-2 de 1700 ch.

    Ju 88S-0 : Version bombardier rapide, avec deux moteurs BMW 801 G-2 et 14 bombes SD-65 de 65 kg.

    Ju 88S-1 : Version similaire au S-0, avec deux bombes SD1000 de 1000 kg. Est aussi doté du système GM-1 à base de protoxyde d'azote et donnant un surcroît de puissance. Le protoxyde d'azote est aussi connu sous le nom de… gaz hilarant.

    Ju 88S-2 : Version dotée de moteurs BMW 801J et de la soute à bombes en bois du A-15.

    Ju 88S-3 : Version dotée de moteurs Jumo 213A de 2240 ch et du système GM-1.

    Ju 88T-1 : Version de reconnaissance photographique basée sur le Ju 88S-1.

    Ju 88T-3 : Version de reconnaissance photographique basée sur le Ju 88S-3.




    http://fr.wikipedia.org/wiki/Junkers_Ju_88


    http://www.avionslegendaires.net/junkers-ju-88.php


    http://www.ffaa.net/aircraft/ju-88/ju-88_fr.htm


    http://fandavion.free.fr/junkers_J-88.htm


    http://batfredland.free.fr/L08-ju88&ju188.htm


    <!– l –><a class="postlink-local" href="http://forum.aviationsmilitaires.net/viewtopic.php?f=35&t=970
    ">viewtopic.php?f=35&t=970</a><!– l –>

    http://en.wikipedia.org/wiki/Junkers_Ju_88


    http://www.ju88.net/


    http://www.uboat.net/technical/ju88.htm


    http://www.militaryfactory.com/aircraft/detail.asp?aircraft_id=98


    http://www.battleofbritain1940.net/0016.html


    http://www.warbirdsresourcegroup.org/LRG/ju88.html


    http://www.world-war-2-planes.com/ju_88.html


    http://www.aviastar.org/air/germany/ju-88.php
    Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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  • La fiche sur le site

    Un de mes avions préférés dans la Luftwaffe.
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  • Clan,
    juste une question : quand travailles tu dans tout ça ?
    parce que tu enchaines les fiches les unes après les autres, à un rythme impressionnant
    en tous les cas, très belle fiche sur le JU 88, et exhaustive, celle-ci
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  • JFF a écrit

    … et exhaustive, celle-ci
    Parce que les autres ne le sont pas?!? :mrgreen:


    Attention à toi! :lol:
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Je crois que JFF faisait allusion à la première fiche sur le Ju 88, là, dans le premier post. :mrgreen:

    quand travailles tu dans tout ça ?

    Si si, ça m'arrive. :mrgreen:

    Merci !
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  • Clansman a écrit

    Je crois que JFF faisait allusion à la première fiche sur le Ju 88, là, dans le premier post. :mrgreen:
    J'imagine bien, mais sorti du contexte… je n'ai pas pu m'empêcher! :D
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • C'est vrai que ça pouvait porter à confusion. :mrgreen:
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  • Clansman a écrit

    C'est vrai que ça pouvait porter à confusion. :mrgreen:

    c'est vrais que ma phrase pouvait porter à confusion ….
    mais Clansman a parfaitement compris le sens initial, qui était par rapport à la première fiche de Vigi …..

    En tout les cas je suis impressionné par la prolixité de Clan
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  • C'est un fonctionnaire territorial, il a du temps à perdre. :mrgreen:
    Ah que je destroye tout ! Ou pas. :pSur AMN : Ciders, commandeur suprême, 10872 messages, inscrit le 02 septembre 2006, à 22 h 18
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  • ciders a écrit

    C'est un fonctionnaire territorial, il a du temps à perdre. :mrgreen:
    Et en plus il a pas mal de docs sous le coude, gratos ! :mrgreen:
    (Il est même payé pour la lire!)
    "Pro patria et humanitate"
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