Merci Stanak, elles sont superbes ces photos!
Comment ça, je me répète? Ohhh, désolé…
Et en plus on voit bien les différentes versions: le SV-4b belge avec la verrière protégeant les pilotes, contrairement aux des autres modèles "français".
Stampe & Vertongen SV-4
Rappels
- Catégorie : Avion d'entraînement de base
- Constructeur : Stampe & Vertongen
- Premier vol : 17 mai 1933
- Production : 950 appareils construits (cellules neuves)
Historique
Avion biplan d’entrainement et de voltige, biplace en tandem, monomoteur, à train classique fixe.Au début des années 1930, Jean Stampe souhaite que Stampe-Vertongen, l’entreprise qu’il dirige avec Maurice Vertongen, fabrique un appareil d’entrainement biplan, proche du DH-82, qui offrirait un accès facile à la place avant comme à l’arrière. Il en résulte le S-IV, qui fait son premier vol le 17 mai 1933 piloté par J.Stampe lui-même.
Six appareils sont construits, utilisés comme avions d’entrainement au sein de l’école de pilotage Stampe et Vertongen. L’appareil fait preuve de bonne qualités, mais rien d’exceptionnel.
En 1937, une ancienne élève de l’école de pilotage de Stampe et Vertongen, nommée Elsa Leysen, recherche un avion de voltige supérieur aux de Havilland DH-82 et Bücker Jungmann. L’équipe technique de SV modifie son S-IV. Elle raccourci le fuselage, modifie la queue, donne une flèches aux ailes supérieures, diminue légèrement l’envergure en arrondissant les extrémités des ailes et équipe d’ailerons les ailes inférieures.
Le prototype ainsi modifié est nommé SV-4. La version de voltige dérivée de ce prototype est désignée SV-4a, tout comme la version d’entrainement.
Son moteur est un Renault 4P05 à quatre cylindres en ligne inversés de 140cv. Le train d’atterrissage classique est fixe. Le pilote prend place à l’arrière, l’élève pilote à l’avant. Le fuselage et les ailes ont une structure en bois, recouverte de toile.
SV fabrique deux autres appareils en 1939 pour répondre à l’appel d’offre de l’Armée de l’Air belge, qui désire s’équiper d’un nouvel avion d’entrainement. Le SV-4a est sélectionné, et une commande de 300 appareils est passée, les premiers avions devant entrer en service durant l’année.
L’Armée de l’Air française, séduite par les performances de l’appareil, en commande 600 exemplaires.
Mais lorsque la deuxième guerre mondiale commence, seuls une vingtaine de SV.4a belges sont construits et onze en cours de montage… et un seul en sortira entier.
À la fin du conflit, les armées françaises et belges ont besoin de matériel pour se rééquiper. C’est à nouveau vers le SV-4 qu’elles se tournent, relançant la production de l’appareil. Mais entre-temps, l’entreprise a changé de nom, l’ingénieur Alfred Renard ayant rejoint l’équipe, elle s’appelle désormais Stampe et Renard.
Cette fois, c’est la version SV-4b qui est proposée à l’Armée de l’Air belge. Les appareils sont équipés d’une verrière coulissante protégeant l’habitacle et d’un moteur de Havilland Gipsy Major de 130cv. Par la suite, ils recevront des moteurs de Havilland Gipsy Major X ou Cirrus III de 145cv.
Le premier SV-4c prend l’air pour la première fois en janvier 1946, équipé d’un moteur Renault 4Pei de 140cv.
La France demande l’autorisation de construire cet appareil sous licence, ce qui est accordé à l’Atelier Industriel de l’Air d’Alger et à Farman. Mais c’est finalement la SNCAN (Société Nationale de Constructions Aéronautiques du Nord) qui les fabrique à la place de ce dernier. Au total, il y a 150 appareils fabriqués par l’AIA d’Alger qui sont numérotés 1001 à 1150 et 701 appareils construits par la SNCAN, numérotés de 1 à 701.
Ils seront également équipés de moteurs Renault 4P, 4P03, 4P106.
Des versions monoplaces ont été étudiées. Le SV-4d, équipé du moteur de 7 cylindres en étoile Mathis 7G20 de 130kW (175cv), réalisé à un seul exemplaire et le SV-4P motorisé par un Potez 4D-31 de 224kW (300cv) pour tracter des planeurs, jamais construit.
En France, la célèbre patrouille d’Etampe l’utilise de 1947 à 1953.
La Direction Générale de l’Aviation Civile utilisa des SV-4 dans son Service de la Formation Aéronautique jusque dans les années 1960.
Construit à près de 950 exemplaires, il est également utilisé en Europe par différentes écoles de pilotage civiles. Il brille dans de nombreuses compétitions internationales de voltige aérienne, pilotés par des champions.
Dés 1951, le Service de l’Aviation Légère et Sportive propose aux aéroclubs à but non lucratif des « Stampe » au prix de 1'000 francs. C’est ainsi qu’on en voit voler un peu partout jusqu’à la fin des années 1960.
De nombreux autres SV-4 sont rachetés par des collectionneurs.
Beaucoup de ces appareils sont par la suite remotorisés. C’est pour cette raison que l’on peut trouver des SV-4 équipés d’autres moteurs, comme des Ranger6, LOM 332b ou Lycoming O-320.
On peut encore voir voler des SV-4 dans de nombreux pays, même si c’est en France et en Belgique qu’ils sont encore les plus nombreux.
Sur l’aérodrome d’Angers-Marcé, la Coupe d’Anjou, une compétition annuelle qui à lieu fin juillet, réunit des « Stampe » pour une compétition amicale de voltige.
On verra plusieurs SV-4 au cinéma. Dans le film « Indiana Jones et la dernière Croisade », on verra le héro et son père s’échapper d’un dirigeable à bord d’un de ces appareil, modifié avec une tourelle munie d’une mitrailleuse en place arrière. Les avions nommés « Dorothy » et « Lillian » dans le film « Les Aventuriers du bout du monde », (« High Road to China ») sont aussi des Stampe, équipés de mitrailleuses Lewis pour l’occasion.
Texte de Jéricho, avec son aimable autorisation.
Pays utilisateur
- France : Aéronautique navale (123 exemplaires)
Anciens pays utilisateurs
- Belgique : Armée de l'air belge (65 exemplaires)
- Congo Belge : Armée de l'air du Congo belge (7 exemplaires) — SV-4B
- France : ALAT (30 exemplaires)
- France : Armée de l'Air et de l'Espace (243 exemplaires)
- Royaume-Uni : RAF (1 exemplaire)
Versions
- Stampe & Vertongen SV-4 : Prototype
- Stampe & Vertongen SV-4a : Avion de voltige et d’entrainement, aux extrémités d’ailes arrondies, munis d’ailerons sur les deux plans d’ailes et équipé d’un moteur Renault 4P05 de 104kW (140cv).
- Stampe & Vertongen SV-4b : Version équipée du moteur de Havilland Gipsy Major de 97kW (130cv) et d’une verrière.
- Stampe & Vertongen SV-4c : Version fabriquée sous licence par la SNCAN et l’Atelier Industriel de l’Air d’Alger, motorisée par un Renault 4P-03 ou 4P-05 de 104kW (140cv).
- Stampe & Vertongen SV-4d : Version monoplace équipée d’un moteur en étoile de 7 cylindres Mathis 7G20 de 130kW (175cv), un seul appareil construit. Il volera au sein de la Patrouille d’Etampes.
- Stampe & Vertongen SV-4e : Version non officielle. Ce sont des SV-4a ou SV-4b, équipés d’un moteur Lycoming O-320 de 134kW (180cv).
- Stampe & Vertongen SV-4P : Version monoplace étudiée en 1957 par Stampe et Renard. Motorisée par un Potez 4D-31 de 224kW (300cv), un réservoir de carburant occupe la place du passager avant. Prévu pour le remorquage de planeur, cette version est rapidement abandonnée.
Longueur | Envergure | Hauteur | Surface alaire | Masse à vide | Masse maxi au décollage | Vitesse maximale HA | Vitesse de décrochage | Vitesse ascensionnelle | Plafond opérationnel | Vitesse de croisière | Distance franchissable | Équipage | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Stampe & Vertongen SV-4b | 6,8 m (22,31 ft) | 8,38 m (27,493 ft) | 2,78 m (9,121 ft) | 18,06 m² (194,396 sq. ft) | 520 kg (1 146 lbs) | 770 kg (1 698 lbs) | 188 km/h (117 mph, 102 kts) | 55 km/h (34 mph, 30 kts) | 4,5 m/s (14,764 ft/s) | 6 000 m (19 685 ft) | 140 km/h (87 mph, 76 kts) | 420 km (261 mi, 227 nm) | 2 |
Stampe & Vertongen SV-4c | 8,4 m (27,559 ft) | 6,9 m (22,638 ft) | 2,77 m (9,088 ft) | 19 m² (205 sq. ft) | 500 kg (1 102 lbs) | 780 kg (1 720 lbs) | 200 km/h (124 mph, 108 kts) | 55 km/h (34 mph, 30 kts) | 4,5 m/s (14,764 ft/s) | 5 000 m (16 404 ft) | 140 km/h (87 mph, 76 kts) | 420 km (261 mi, 227 nm) | 2 |
Sur le forum…
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" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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Son premier vol eut lieu en 1933, donc il est classé avant 1945. J'ai rajouté une vidéo et des photos.Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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Merci pour cette fiche,
j'ai toujours beaucoup aimé le Stampe, et surtout la grace de sa voltige, sans se presser, avec la dignité qui sied à une "old lady"
Par contre, pour lui faire tracter des planeurs, avec ses petits 145 hp, il était clairement sous motorisé -
" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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Merci de l'avoir déplacé!
J'hésitais: l'appareil a été conçu avant 1945, mais il n'a été véritablement fabriqué en série et entré en service qu'après la guerre." J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch -
Ah oui, Avant 1945 c'est quand même clairement mieux.Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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Si vous avez des infos ou remarques sur cette fiche, comme d'hab, n'hésitez pas à m'en faire part: j'ai trouvé beaucoup d'informations un peu contradictoires, j'ai donc préféré m'abstenir de les noter… Et si vous pensez qu'il vaut mieux le placer dans les appareils d'"avant 1945", pas de soucis: je le déplace!
Avion biplan d’entrainement et de voltige, biplace en tandem, monomoteur, à train classique fixe.
Au début des années 1930, Jean Stampe souhaite que Stampe-Vertongen, l’entreprise qu’il dirige avec Maurice Vertongen, fabrique un appareil d’entrainement biplan, proche du DH-82, qui offrirait un accès facile à la place avant comme à l’arrière. Il en résulte le S-IV, qui fait son premier vol le 17 mai 1933 piloté par J.Stampe lui-même.
Six appareils sont construits, utilisés comme avions d’entrainement au sein de l’école de pilotage Stampe et Vertongen. L’appareil fait preuve de bonne qualités, mais rien d’exceptionnel.
En 1937, une ancienne élève de l’école de pilotage de Stampe et Vertongen, nommée Elsa Leysen, recherche un avion de voltige supérieur aux de Havilland DH-82 et Bücker Jungmann. L’équipe technique de SV modifie son S-IV. Elle raccourci le fuselage, modifie la queue, donne une flèches aux ailes supérieures, diminue légèrement l’envergure en arrondissant les extrémités des ailes et équipe d’ailerons les ailes inférieures.
Le prototype ainsi modifié est nommé SV-4. La version de voltige dérivée de ce prototype est désignée SV-4a, tout comme la version d’entrainement.
Son moteur est un Renault 4P05 à quatre cylindres en ligne inversés de 140cv. Le train d’atterrissage classique est fixe. Le pilote prend place à l’arrière, l’élève pilote à l’avant. Le fuselage et les ailes ont une structure en bois, recouverte de toile.
SV fabrique deux autres appareils en 1939 pour répondre à l’appel d’offre de l’Armée de l’Air belge, qui désire s’équiper d’un nouvel avion d’entrainement. Le SV-4a est sélectionné, et une commande de 300 appareils est passée, les premiers avions devant entrer en service durant l’année.
L’Armée de l’Air française, séduite par les performances de l’appareil, en commande 600 exemplaires.
Mais lorsque la deuxième guerre mondiale commence, seuls une vingtaine de SV.4a belges sont construits et onze en cours de montage… et un seul en sortira entier.
À la fin du conflit, les armées françaises et belges ont besoin de matériel pour se rééquiper. C’est à nouveau vers le SV-4 qu’elles se tournent, relançant la production de l’appareil. Mais entre-temps, l’entreprise a changé de nom, l’ingénieur Alfred Renard ayant rejoint l’équipe, elle s’appelle désormais Stampe et Renard.
Cette fois, c’est la version SV-4b qui est proposée à l’Armée de l’Air belge. Les appareils sont équipés d’une verrière coulissante protégeant l’habitacle et d’un moteur de Havilland Gipsy Major de 130cv. Par la suite, ils recevront des moteurs de Havilland Gipsy Major X ou Cirrus III de 145cv.
Le premier SV-4c prend l’air pour la première fois en janvier 1946, équipé d’un moteur Renault 4Pei de 140cv.
La France demande l’autorisation de construire cet appareil sous licence, ce qui est accordé à l’Atelier Industriel de l’Air d’Alger et à Farman. Mais c’est finalement la SNCAN (Société Nationale de Constructions Aéronautiques du Nord) qui les fabrique à la place de ce dernier. Au total, il y a 150 appareils fabriqués par l’AIA d’Alger qui sont numérotés 1001 à 1150 et 701 appareils construits par la SNCAN, numérotés de 1 à 701.
Ils seront également équipés de moteurs Renault 4P, 4P03, 4P106.
Des versions monoplaces ont été étudiées. Le SV-4d, équipé du moteur de 7 cylindres en étoile Mathis 7G20 de 130kW (175cv), réalisé à un seul exemplaire et le SV-4P motorisé par un Potez 4D-31 de 224kW (300cv) pour tracter des planeurs, jamais construit.
En France, la célèbre patrouille d’Etampe l’utilise de 1947 à 1953.
La Direction Générale de l’Aviation Civile utilisa des SV-4 dans son Service de la Formation Aéronautique jusque dans les années 1960.
Construit à près de 950 exemplaires, il est également utilisé en Europe par différentes écoles de pilotage civiles. Il brille dans de nombreuses compétitions internationales de voltige aérienne, pilotés par des champions.
Dés 1951, le Service de l’Aviation Légère et Sportive propose aux aéroclubs à but non lucratif des « Stampe » au prix de 1'000 francs. C’est ainsi qu’on en voit voler un peu partout jusqu’à la fin des années 1960.
De nombreux autres SV-4 sont rachetés par des collectionneurs.
Beaucoup de ces appareils sont par la suite remotorisés. C’est pour cette raison que l’on peut trouver des SV-4 équipés d’autres moteurs, comme des Ranger6, LOM 332b ou Lycoming O-320.
On peut encore voir voler des SV-4 dans de nombreux pays, même si c’est en France et en Belgique qu’ils sont encore les plus nombreux.
Sur l’aérodrome d’Angers-Marcé, la Coupe d’Anjou, une compétition annuelle qui à lieu fin juillet, réunit des « Stampe » pour une compétition amicale de voltige.
On verra plusieurs SV-4 au cinéma. Dans le film « Indiana Jones et la dernière Croisade », on verra le héro et son père s’échapper d’un dirigeable à bord d’un de ces appareil, modifié avec une tourelle munie d’une mitrailleuse en place arrière. Les avions nommés « Dorothy » et « Lillian » dans le film « Les Aventuriers du bout du monde », (« High Road to China ») sont aussi des Stampe, équipés de mitrailleuses Lewis pour l’occasion.
Versions :
SV-4 : prototype.
SV-4a : avion de voltige et d’entrainement, aux extrémités d’ailes arrondies, munis d’ailerons sur les deux plans d’ailes et équipé d’un moteur Renault 4P05 de 104kW (140cv).
SV-4b : version équipée du moteur de Havilland Gipsy Major de 97kW (130cv) et d’une verrière. Certains sont remotorisés avec des Gipsy Major ou Cirrus Major de 108kW (145cv).
SV-4c : Version fabriquée sous licence motorisée par un Renault 4P03 de 104kW (140cv).
SV-4d : Version monoplace équipée d’un moteur en étoile de 7 cylindres Mathis 7G20 de 130kW (175cv), un seul appareil construit. Il volera au sein de la Patrouille d’Etampes.
SV-4e : Version non officielle. Ce sont des SV-4a ou SV-4b, équipés d’un moteur Lycoming O-320 de 134kW (180cv).
SV-4P : version monoplace étudiée en 1957 par Stampe et Renard. Motorisée par un Potez 4D-31 de 224kW (300cv), un réservoir de carburant occupe la place du passager avant. Prévu pour le remorquage de planeur, cette version est rapidement abandonnée.
Utilisateurs militaires :
Belgique : Forces aériennes belges, 65 SV-4b.
France : Armée de l’air, Marine Nationale et Armée de Terre.
Royaume-Unis : Un SV-4a dans la RAF, après qu’un pilote belge ait réussi à traverser la Manche pour rejoindre la Grande-Bretagne en 1941 avec l’appareil !
Caractéristiques (SV-4B) :
Longueur : 6,80m
Envergure : 8,38m
Hauteur : 2,78m
Surface alaire : 18,06m2
Masse à vide : 520kg
Masse maximale au décollage : 770kg
Facteurs de charges maximum: +6/-4G
Moteurs :
1 moteur Blackburn Cirrus Major III ou un moteur de Havilland Gipsy Major X de 108kW (145cv).
Performances :
Vitesse max haute altitude: 188km/h
Vitesse de croisière : 140km/h
Vitesse ascensionnelle : 4,5m/s
Vitesse de décrochage : 55km/h
Plafond opérationnel : 6’000m
Autonomie : 420km
Armement :
Sans.
Liens internet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stampe_SV-4
http://en.wikipedia.org/wiki/Stampe_SV.4
http://souvenir-escadrille51s.over-blog.fr/categorie-10039585.html
http://www.aviastar.org/air/belgium/stampe_sv-4.php
http://www.avionslegendaires.net/fiche.php?id=sv4&numpage=1#historique
http://www.luftfahrtmuseum.com/htmi/ite/sv4.htm
http://www.rsab.be/stampe.htm
http://club-acbm.pagesperso-orange.fr/sv4.html
" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch