AHRLAC

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  • Ansierra117 a écrit

    Et non ce projet n'est pas mort ! Boeing se chargera de développer les systèmes de mission de l'AHRLAC
    Bonne nouvelle. Il m'est bien sympathique, ce petit bipoutre!
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Paramount aurait vendu 9 Mwari (ex-AHRLAC) à plusieurs pays, dont au moins deux africains. 
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • En cherchant un peu… je crois que je vais devoir mettre à jour la description du AHRLAC de Trident : depuis 2011, le projet a un peu avancé… smiley
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Puisqu'il a l'air de vouloir se vendre, je vais rafraichir un peu sa fiche : en 11 ans, le programme a évolué. smiley


    AHRLAC Holdings Ahrlac :

    L'Ahrlac (Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft) est un avion léger monomoteur sud-africain de reconnaissance et de contre-insurrection.

    Dans les années 2000, l’entreprise sud-africaine Paramount étudie les besoins des différentes forces aériennes, en particulier africaines. Il apparaît un besoin important d’appareils capables d’effectuer des missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR), ainsi que des frappes au sol. Les avions souvent proposés pour de telles missions sont des jets, tels que le Sukhoi Su-25 ou l’Aero L-39, qui sont souvent surdimensionnés avec des coûts opérationnels importants pour ce genre d’utilisation, ou des avions d’entrainement modifiés. 

    Désirant proposer un appareil sur mesure pour ce type de missions, tout en restant facilement accessible financièrement, Paramount crée la joint-venture Aerospace Development Corporation (ADC) avec Aerosud en 2009. C’est ainsi que les équipes d’ingénierie d’Aerosud s’occupent de la conception de l’appareil, Paramount la finançant. Les coûts opérationnels d’une voilure fixe étant moins chers, l’idée d’une voilure tournante est rapidement écartée. La configuration retenue est par conséquent un avion léger à voilure haute, biplace, motorisé par un turbopropulseur. Les ingénieurs d’Aerosud, pour la plupart des anciens de chez Atlas Aircraft Corporation, s’inspirent de leur expérience sur l'hélicoptère Denel Rooivalk pour disposer en tandem des deux membres d’équipage, permettant ainsi de présenter une surface frontale plus faible.   

    Le projet, désigné Ahrlac pour Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft, est selon ses concepteurs le premier avion militaire entièrement indigène développé en Afrique. En 2011, Paramount déclare un prix unitaire estimé à moins de 10 millions de dollars US et un marché potentiel de plusieurs centaines d’exemplaires. En concurrence directe avec les versions d’attaque au sol de l'EMB 314 Super Tucano et du T-6 Texan II, il a l’avantage d’avoir été conçu pour ce type de mission et n’a pas à s’accommoder de contraintes héritées de l’avion d’entrainement, telles l’hélice tractrice à l’avant. Par rapport aux drones armés, il a l’avantage de ne pas avoir besoin de systèmes de guidage et de traitement de données, ni de stations au sol limitant le rayon d’action, souvent complexes et coûteux.

    C’est également en 2011 qu’une maquette à grande échelle est présentée, aux côtés d'un modèle réduit à l’échelle ¼ qui sera ensuite utilisé durant 80 vols d'essai pour valider la formule aérodynamique.

    L'AHRLAC a une structure principalement métallique, avec une cellule en composite. Son fuselage étroit accueille les deux membres d’équipage sur des sièges en tandem, celui de derrière étant nettement surélevé afin de lui offrir une excellente visibilité, y compris vers l’avant. Ces deux postes sont séparés par une épaisse paroi verticale en verre. En option, il est proposé des sièges-éjectables Martin-Baker Mk16. Les postes de pilotage sont équipés de commandes de vol HOTAS (hands on stick-and-throttle et d’écrans couleurs HD. La verrière de grande dimension offre une excellente visibilité, y compris vers le bas. À l’arrière du fuselage est installé le turbopropulseur Pratt & Whitney Canada PT6A qui entraîne une hélice propulsive à cinq pales. Le train d’atterrissage tricycle est escamotable : à l’avant sous le fuselage, le train principal dans des carénages situés sur les côtés à l’arrière du fuselage. Les ailes, à flèche inversée, sont en position haute. Son empennage est de type bipoutre, avec des poutres de section transversale rectangulaire fixées aux ailes. Les dérives sont en flèche et elles sont reliées entre elles, à leur base, par une surface horizontale faisant office d’empennage. L'avionique de base, installée selon une architecture ouverte, facilite l'ajout, la mise à niveau et l'échange de composants et de systèmes.

    Le premier prototype, désigné démonstrateur expérimental (XDM), est présenté au public du salon aéronautique africain de l'aérospatiale et de la défense 2014, à Waterkloof AFB. La phase de test au sol est achevée en été de la même année et le prototype effectue son vol inaugural le 26 juillet 2014 depuis Wonderboom, suivi du premier vol en public le 13 août. Il suit ensuite un programme d'essais en vol de 20 heures afin de comparer les simulations informatiques aux données des performances de vol réelles. Au cours de chacun de ces vols, des données de télémétrie sont recueillies par un avion de poursuite Pilatus PC-12 spécialement équipé. Le prototype initial est utilisé pour confirmer les caractéristiques de vol et les performances de l'avion, tandis qu’un second prototype, désigné sous le nom de démonstrateur avancé (ADM), est construit pour tester les armements et les systèmes de mission. Des essais en vol avancés doivent également être effectués pour le cycle de vie complet de l'Ahrlac.

    Les essais avec le modèle réduit donnent l’idée de proposer également une version dronisée, mais avec des dimensions, et par conséquent des performances, plus modestes. En septembre 2014, deux prototypes sont construits et désignés du nom de "Mwari". L’endurance de ce drone est de 4 heures et il est équipé de capteurs dans une tourelle située dans le nez. Le drone est rebaptisé par la suite "Mwewe", car le nom "Mwari" est réutilisé pour une version pilotée armée de l'Ahrlac.

    En septembre 2016, plus de 250 heures de vol ont été réalisés et une chaîne de montage est construite à Wonderboom, pour permettre la production en série à partir de 2017. Prévue dans un premier temps à une capacité de deux appareils par mois, il sera facilement possible de doubler sa production par la suite si nécessaire. 

    De nombreuses missions sont prévues pour ce petit biplace. Les missions de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectifs et de reconnaissance (ISTAR) bien entendu, mais également l’attaque au sol, l’appuis aérien, les patrouilles côtières, la lutte contre la contrebande et le braconnage, le secours en cas de catastrophe, etc. Pour faciliter l’engagement de cet appareil à ces missions très diverses, les concepteurs ont optés pour des équipements modulables, facilement remplaçable. Le nez est reconfigurable, avec la possibilité d’y installer, par exemple, une boule optronique contenant des caméras HD et IR thermiques, de même que des désignateur et télémètre laser. Sous le fuselage, une soute est spécialement équipée pour accueillir des unités modulaires conformes interchangeables. Dans ces modules peuvent être installés une grande variété de capteurs tels qu’un radar à synthèse d'ouverture, un dispositif de collecte de renseignements électroniques, ainsi que divers systèmes de guerre électronique. De plus, il est également possible d’y installer également une tourelle électro-optique.

    Dès 2016, pour compléter l’offre, Paramount conclut un partenariat avec Boeing dans le but de produire une version militarisée de l'Ahrlac désignée à son tour "Mwari". L’entreprise américaine fourni le système de mission intégré permettant des capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) et le système d'armes. Cette version embarque un canon de 20 mm en interne dans le fuselage et jusqu’à six points d’emports sous les ailes permettent l’utilisation de paniers à roquettes, de bombes non guidées, de missiles air-sol et air-air. Un blindage modulaire du poste de pilotage et des réservoirs conformes sont également proposés en option. Ce modèle armé est présenté comme étant idéal pour la guerre de faible intensité, ainsi que pour le travail de patrouille effectué par les gardes-frontières et les forces de l'ordre.

    Il est annoncé en février 2018 qu’un "Mwari" un peu américanisé est proposée à la vente depuis les USA sous la désignation de "Bronco II". En mai 2020, Paramount Group, en partenariat avec Leidos et Vertex Aerospace, le propose pour le programme Armed Overwatch de l’US Special Operations Command (ou SOCOM), qui concerne justement un avion léger d'attaque au sol et de surveillance. Malheureusement pour Paramount et ses deux associés américains, c’est l’Air Tractor-L3Harris AT-802U Sky Warden qui est choisi.

    Début 2019, une bataille judiciaire est engagée entre Paramount et le groupe d’actionnaire qui détient 50% des parts de sa branche Aerospace Development Corporation (ADC) provenant de l’entreprise Aerosud Aerospace. En février 2019, ADC est placé en sauvetage d'entreprise, le programme Ahrlac est stoppé, l'usine Wonderboom est fermée et les 140 employés renvoyés chez eux. En août 2019, un plan de sauvetage commercial est annoncé pour l'Ahrlac, Paramount prenant le contrôle total de l'Aerospace Development Corporation (ADC) et de ses filiales en rachetant Aerosud Aerospace. En septembre 2020, le programme Ahrlac redémarre officiellement. Le groupe de développement, bien qu’appartenant toujours à Paramount, s’appelle désormais AHRLAC Holdings.

    En septembre 2022, durant le salon Africa Aerospace and Defence, Paramount annonce la vente de ses premiers Ahrlac : 9 Mwari ont été commandés par deux clients dont l’identité n’est pas révélée.
    En mars 2023, on apprend que le Mozambique est le client de lancement de l’Ahrlac avec un premier exemplaire livré en décembre 2022 et un second en février 2023.



    Versions :
    Ahrlac : (Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft) Version de base non armée.

    Mwari UAV : Version pilotée à distance, ayant la même configuration que l’Ahrlac piloté, mais de taille plus petite.

    Mwewe : Nouvelle désignation de la version dronisée appelée initialement Mwari UAV.

    Mwari : Version armée de l’Ahrlac, avec un canon de 20mm en interne et jusqu’à six points d’emport sous voilure.
    Cette version armée est développée en 2015. Dans le cadre d’un accord avec Paramount, Boeing développe un système de mission intégré permettant des capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR). En option, il est possible de l’équiper d’éjecteurs de leurres thermiques en bouts d'ailes, d’une antenne SATCOM au-dessus du fuselage, de détecteurs de faisceau laser (LWR) et de récepteurs d'avertissement radar (RWR). Son armement consiste en un canon de 20 mm, voire 30 mm, en interne dans le fuselage et jusqu’à six points d’emports peuvent être installés sous les ailes. L’avion peut ainsi embarquer des paniers à roquettes, des bombes non guidées, des missiles air-sol et air-air. Pour protéger l’équipage, un blindage modulaire peut être ajouté ou entièrement retiré en fonction des exigences de la mission. Pour augmenter son endurance sans avoir à utiliser de points d’emport sous les ailes avec des réservoirs auxiliaires, le constructeur propose des réservoirs conformes installés sous les poutres de queue, lui permettant une distance franchissable maximale (non armé) de plus de 3’500 km. Ce modèle est présenté comme étant idéal pour la guerre de faible intensité, comme le combat contre les insurgés et les éléments criminels armés, ainsi que pour le travail de patrouille effectué par les gardes-frontières et les forces de l'ordre. Ses coûts d'exploitation inférieurs à 1 000 $ par heure le rend moins cher que les hélicoptères et la plupart des autres concurrents à voilure fixe.

    Bronco II : Version multi-missions armée construite aux USA et équipée d’une avionique conçue par Boeing. 
    Il est annoncé en février 2018 que l’Ahrlac équipé de la suite électronique de Boeing est proposée à la vente depuis les USA sous la désignation de "Bronco II". Sa soute est conçue pour accueillir des équipements dans des modules plug&play facilement interchangeables, ce qui lui permet de reconfigurer rapidement l’avion pour remplir de nombreux types de missions allant de l’observation et la surveillance à l’attaque au sol de précision, en passant par le renseignement, le guidage de l’artillerie et la recherche de blessés et de naufragés. En mai 2020, Paramount Group, en partenariat avec Leidos et Vertex Aerospace, propose le BRONCO II pour le programme Armed Overwatch de l’US Special Operations Command (ou SOCOM), qui concerne justement un avion léger d'attaque au sol et de surveillance. Malheureusement pour Paramount et ses deux associés américains, c’est l’Air Tractor-L3Harris AT-802U "Sky Warden" qui est choisi. Plusieurs sources avancent que certains membres du Sénat américain étaient clairement opposés à l’Ahrlac de conception sud-africaine.


    Utilisateurs militaires :
    Mozambique : Plusieurs exemplaires au sein de la Force Aérienne Mozambicaine, à partir de décembre 2022.


    Caractéristiques et performances du Mwari :
    Equipage : 2
    Longueur : 10,3 m
    Envergure : 11,9 m
    Hauteur : 4,0 m
    Masse à vide : 2'000 kg
    Masse maximale au décollage : 3’800 kg
    Points d’attache : 6
    Moteurs : un turbopropulseur Pratt & Whitney Canada PT6A-66 de 710 kW (950 hp)
    Vitesse max basse altitude : 504 km/h
    Vitesse de croisière : 305 km/h
    Plafond opérationnel : 9’450 m
    Endurance : 7h
    Distance franchissable : 2'130 km
    Distance de décollage : 550 m
    Armement : 770kg, dont un canon Denel Land Systems GI-2 de 20mm en interne et diverses charges externes comprenant entre autres des paniers à roquettes, des missiles antichars ZT-6 Mokopa, des bombes polyvalentes Mk.81 ou Mk.82 et des mitrailleuses en nacelles.



    Liens internet :
    https://en.wikipedia.org/wiki/AHRLAC_Holdings_Ahrlac

    https://www.paramountgroup.com/capabilities/air/mwari/

    https://www.militaryfactory.com/aircraft/detail.php?aircraft_id=1202

    https://www.timesaerospace.aero/features/defence/ahrlac-back-to-business

    https://www.airframer.com/aircraft_detail.html?model=AHRLAC

    https://www.airforce-technology.com/projects/advanced-high-performance-reconnaissance-light-aircraft-ahrlac/

    http://www.all-aero.com/index.php/54-planes-p-q-e-r-s/21623-paramount-ahrlac-paramount-mwari-paramount-bronco-ii-ahrlac-ahrlac

    https://www.engineeringnews.co.za/article/paramount-to-deliver-first-mwari-to-overseas-airforce-2022-09-21/rep_id:4136

    https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/05/05/le-bronco-de-paramount-21134.html

    https://www.defenceweb.co.za/aerospace/aerospace-aerospace/mwari-spotted-in-mozambique-as-launch-customer-revealed/
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
      Lien   Revenir ici   Citer modifié 3 fois par jericho le April 11, 2023, 9:02 a.m.
  • PAL Aerospace va équiper 10 millions de dollars d'équipements ISR sur Mwari pour la RDC et le Mozambique
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  • PAL Aerospace va équiper 10 millions de dollars d'équipements ISR sur Mwari pour la RDC et le Mozambique
    Merci pour l'info. Ainsi on sait maintenant quel autre pays l'a commandé.
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Mauvaise nouvelle pour le programme AHRLAC : son constructeur Paramount est en dificulté financière. Sa branche Paramount ADGM (Abu Dhabi Global Market), basée aux Émirats arabes unis, a déposé une demande de protection contre la faillite aux États-Unis, suite à un litige initié par une société de défense du Moyen-Orient. Paramount, société mondiale d'aérospatiale et de défense, a des opérations dans le monde entier, mais ses opérations en Afrique du Sud et ailleurs ne devraient apparemment pas être affectées. Quoi qu'il en soit, le programme AHRLAC est probablement menacé, vu le manque de clients.
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  • https://www.defenceweb.co.za/aerospace/aerospace-aerospace/mwari-demonstrates-operational-impact-in-mozambique/

    Sources image www.defenceweb.co.za

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  • Des appareils qui semblent bien fonctionner. smiley

    Dans l'article, il est dit : 
    Future options could include a synthetic aperture radar (SAR).
    … mais c'est une option qui était possible dès avant sa mise en service.
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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  • Peut-être ont-ils travaillé le sujet de manière un peu plus concrète ?

    (Au passage, je pensais qu'un SAR pèserait bien plus qu'une boule optronique)
    Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
      Lien   Revenir ici   Citer modifié par d9pouces le Oct. 7, 2024, 7:17 a.m.
  • Peut-être ont-ils travaillé le sujet de manière un peu plus concrète ?
    On est peut-être, comme tu dis, passé du "potentiel" au "concret", en effet.

    (Au passage, je pensais qu'un SAR pèserait bien plus qu'une boule optronique)
    Celon cet article, la plupart des SAR pèsent entre 22 et 90 kg. Les plus petits vers 13 kg, et maintenant ils produisent des "NanoSAR" qui ne pèsent qu'un kilogramme pour être utilisé sur des drones.
    " J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres."  A. Einstein       "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles."  Max Frisch
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