foxkilo02 a écrit
Petites précisions de l'armée syrienne…
Après, démêler le vrai du faux dans tous ça …
Le pilote s'est ejecte d'un Mi-17?? Effectivement, je partage ton etonnement Jericho
foxkilo02 a écrit
Petites précisions de l'armée syrienne…
Après, démêler le vrai du faux dans tous ça …
Une étude conduite par l'institut britannique de défense IHS Jane's, publiée lundi 16 septembre par le Daily Telegraph, estime que près de la moitié des forces rebelles qui combattent le régime de Bachar Al-Assad en Syrie est constituée de djihadistes et d'islamistes membres de groupes extrémistes.
Les conclusions de cette étude, fondée sur des entretiens avec des combattants rebelles et des estimations des services de renseignement, ont été jugées crédibles par Carla del Ponte, membre de la commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits humains en Syrie, qui a même estimé que la proportion d'islamistes radicaux était sans doute supérieure. (…)
Nico2 a écrit
Par moments, je me demande même s'il ne faudrait pas tout faire pour que le régime de Bachar Al Assad ne s'effondre pas.
Analyse des photos du rapport de l'ONU, munitions employées, vidéos en circulation… Les éléments produits par la Russie restent bien légers. {Le Nouvel Observateur}.
Le président syrien Bachar Al-Assad a admis que son pays avait bien des armes chimiques et assuré que cet arsenal serait détruit, dans un entretien à la télévision américaine FoxNews, diffusé mercredi 18 septembre – la deuxième ce mois-ci à une télévision américaine, révélateur d'une offensive auprès de médias occidentaux. Ce démantèlement coûterait "un milliard de dollars" et prendrait au moins un an, a-t-il indiqué. (…)
Après deux ans et demi de conflit, le président syrien a par ailleurs affirmé que son pays n'était "pas en guerre civile", mais attaqué par des "dizaines de milliers de jihadistes" de plus de 80 nationalités différentes.
Ça toujours été plus ou moins le cas ; dans un pays fortement surveillé par la police et l'armée, tu ne retrouves pas du jour au lendemain une rébellion armée sans aide extérieure (tout comme en Libye, d'ailleurs).Nico2 a écrit
Après deux ans et demi de conflit, le président syrien a par ailleurs affirmé que son pays n'était "pas en guerre civile", mais attaqué par des "dizaines de milliers de jihadistes" de plus de 80 nationalités différentes.
Difficile de le contredire à présent.
Si ce n'était pas le cas au début, dorénavant ça l'est.
Dépassé par les violences, le premier ministre irakien Nouri al-Maliki quémande des armes auprès des États-Unis et appelle une «troisième guerre mondiale» contre Al-Qaida. (…)
le président Barack Obama ne semblait toutefois pas en maîtriser l'équation irakienne, en accueillant vendredi le premier ministre chiite irakien Nouri al-Maliki à la Maison-Blanche, pour des entretiens axés sur la lutte anti Al-Qaida et sur la résurgence de la guerre civile.
Les chiffres témoignent de la descente aux enfers de l'Irak post-Saddam Hussein, deux ans après le retrait des troupes américaines. En octobre, le nombre de victimes de violences interconfessionnelles entre sunnites, kurdes et chiites a atteint les pics de 2008, la pire année depuis l'invasion du pays par les États-Unis en 2003: 964 tués, dont 855 civils, 65 policiers et 44 soldats, plus 1600 blessés, selon Bagdad, résultant pour l'essentiel de trente-huit attaques suicide meurtrières.
L'ONU recense, pour sa part, 979 morts et 1902 blessés. Plus de 6000 personnes au total auraient été tuées en 2013, venant s'ajouter au chiffre effarant d'un demi-million de morts, directes et indirectes, en une décennie de combats et d'attentats, selon une étude récente publiée aux États-Unis. (…)
A total of 8,868 people, including 7,818 civilians, have been killed in violent attacks across Iraq in 2013, the United Nations reports – the highest annual death toll in the war-torn country in five years.
Les forces de sécurité irakiennes préparent une "attaque majeure" pour reprendre aux combattants liés à al-Qaida la ville de Falloujah, à 60 kilomètres à l'ouest de Bagdad, a annoncé dimanche un haut responsable gouvernemental. "Les forces irakiennes préparent une attaque majeure à Falloujah", a déclaré ce haut responsable à l'AFP.
Les forces spéciales ont déjà mené des opérations dans la ville, et l'armée est en train de se déployer tout autour, tout en laissant aux habitants le temps de partir, a-t-il ajouté. Ensuite, les forces de sécurité vont lancer "l'attaque pour écraser les terroristes", a-t-il assuré. (…)