Mil-Mi 24 Hind
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autant pour MoiY a pas d'hélice hélas ….C'est là qu'est l'os
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La version avec la tourelle canon a volé, mais on a observait bien des defauts. L'appareil devenait lourd à piloter. Or, la tourelle occupait beaucoup de place elle même, cependant l'espace pour l'homme qui l'utilise (fusilier? ) était trop petit. Et j'ai lu qu'un général de l'Armée de terre pas très atlétique s'est coincé dedant pendant demonstration…Trident a écrit
Je viens de découvrir l'existence de ces deux prototypes de Hind que je ne connaissais pas
Mi-24 V équipé d'une tourelle canon arrière -
AlmusAigle a écrit
Et j'ai lu qu'un général de l'Armée de terre pas très atlétique s'est coincé dedant pendant demonstration..
Merci pour ces infos AlmusAigle -
Vow !
Le spectacle que ça devait être¤ Nicolas Sur AMN : Nico2, inscrit le 09 Jan 2006, 16:45>> N'oubliez pas de lire et de relire le Règlement du forum.>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres. -
Question pour les experts et qui me permettrait de boucler une fiche :
Sur le Mi-35M, si on le regarde de face à gauche de la tourelle se trouve le FLIR GOES-342. Mais quel est donc ce truc qui se situe à droite de la tourelle? Est-ce un désignateur laser? Est-ce l'OPS-24 donc je n'ai pas bien compris s'il s'agissait d'un désignateur ou bien d'un classificateur de cibles?
Merci d'avance pour votre réponse -
Bon j'ai pas encore fini toutes les versions que je voulais maj mais en voici déjà un certain nombre :
Mil A-10 :
Le Mil A-10 désigne la modification en 1975 d’un des Mi-24 Hind-B, exemplaires de pré-production du Hind, pour en faire un appareil apte à battre des records de vitesse et de vitesse ascensionnelle homologués par la FAI.
Afin de donner à l’appareil un profil de compétition, ses ailettes ont été retirées et des systèmes anti-vibrations installés sur le rotor principal. Bien entendu l’A-10 est totalement désarmé.
Le 16 juillet 1975, l’A-10 commandé par le capitaine Galina Rastorgooyeva établit un record de vitesse de 341,35km/h sur un circuit fermé de 15/25km.
Le 18 juillet 1975 l’équipage récidive et atteint les 334,464km/h sur un circuit de 100km. Puis 331,023km/h sur un circuit de 500km le 1er août et 333km/h sur 1000km le 13 du même mois.
D’autres records sont également battus. Le 7 août 1975, l’appareil atteint 3000m en 2 minutes 33 secondes. Le 26 août, 6000m en 7 minutes 43 secondes.
Cependant le meilleur est encore à attendre. Le 21 septembre 1978, l’A-10 bat le record absolu de vitesse pour un hélicoptère en atteignant les 368,4km/h. Ce record homologué ne sera battu qu’en 1986.
Mi-24BMT :
Le Mil Mi-24BMT est une version de guerre des mines du Hind basée sur le Mi-24A.
L’ensemble de son armement lui a été retiré ainsi que son blindage et ses ailettes. Un treuil et un réservoir additionnel ont été ajoutés dans le fuselage de l’hélicoptère qui ne dispose alors plus de trains d’atterrissage rétractables. Il est également à noter que cette version emportait deux canoës increvables et que l’équipage disposait de gilets de sauvetage.
Le Mi-24BMT n’a été construit qu’à 1 seul exemplaire en 1973 pour des tests qui finalement se sont avérés peu concluants. Le Mi-8BT semble s’être montré plus efficace que lui dans ce type de mission.
Mil Mi-24DU :
En 1980 apparaît le Mi-24DU, version d’entraînement du Mi-24D Hind-D disposant pour ce faire d'un système de double commande.
Du point de vue de l’armement, lors des essais les prototypes de l’appareil sont totalement désarmés : la tourelle est retirée ainsi que le systèmes de guidage des missiles antichars. Néanmoins la version de série retient finalement l’emport de missiles Falanga-P.
Enfin à partir de 1985 cette version est motorisée par les turbines TV3-117V déjà présentes sur le Mi-24V afin de prendre en compte les retours d’expérience de l’Afghanistan.
105 exemplaires du Mi-24DU ont été produits entre 1977 et 1991. Outre l’Union Soviétique, 2 appareils ont été livrés en 1985 à la Tchécoslovaquie. Après la chute de l’URSS et la partition de la Tchécoslovaquie en deux états distincts au 1er janvier 1993, 1 exemplaire a été attribué à la République Tchèque tandis que l’autre l’a été à la Slovaquie. Les deux appareils ont respectivement été retirés du service actif en 2010 et 2011.
Mil Mi-24K Hind-G2 :
Le Mil Mi-24K Hind-G2 est une version de reconnaissance photographique offensive et de réglage de l’artillerie, remplaçant le Mi-8TARK dans les mêmes fonctions. Il est dérivé du Mi-24R (l’étant lui-même du Mi-24V) avec qui il opère souvent de concert. Le prototype de l’appareil a volé pour la première fois en 1979 pour un lancement de la production en 1983.
L’appareil dispose pour l’occasion d’une caméra A-87PV de 1300mm (parfois une AFA-100 voire même un désignateur laser !). Elle est localisée dans la soute mais sa fenêtre peut être aperçue sur le flanc de l’appareil, derrière l’emplacement du code tactique. En lieu et place du système d’acquisition de cibles Raduga-F monté à côté de la tourelle, se trouve un capteur optique grand angle Iris (+/- 110° en mobilité horizontale), disposant d’un mode infrarouge. L’opérateur du système a aussi la possibilité de désigner des objectifs en pointant simplement un curseur vers la cible repérée via le capteur. Les troupes au sol sont alors prévenues automatiquement par radio VHF.
Du point de vue de l’armement, la mitrailleuse YakB de 12,7mm ainsi que les deux pods B8V-20 de roquettes (80 au total) sont conservés. Néanmoins les missiles antichars Shturm disparaissent sur cette version.
Le nombre d’appareils produits entre 1983 et 1989 est incertain : Il s’agirait d’environ 163 exemplaires. Le Mi-24K était en dotation à hauteur de 6 appareils par régiment d’hélicoptère dans l’armée soviétique. A la chute de l’URSS, les Mi-24K déployés en première ligne en Allemagne de l’Est furent rapatriés en Russie tandis que ceux présents sur les territoires d’ex-URSS y sont restés. Ainsi l’Arménie, la Biélorussie mais aussi la Géorgie ou encore l’Ukraine possèdent un certain nombre de Mi-24K encore en service. De plus il semble que 2 appareils se soient retrouvés en 2001 aux mains des forces aériennes macédoniennes après avoir été vendus par l’Ukraine. Ils sont restés en service jusqu’en 2005.
Mil Mi-24M :
Le Mi-24M est la désignation d’une version navalisée du Hind, destinée à être embarquée sur les bâtiments de débarquement de la marine soviétique. Le projet, initié au début des années 1970, est abandonné car il revenait à entrer en situation de conflit avec le Ka-29TB proposé par Kamov sur un secteur qui était traditionnellement sien.
Mil Mi-24PN :
Le Mi-24PN désigne une version modernisée du Mi-24P, en service limité dans l’armée russe et utilisant les mêmes technologies que le Mi-24VN. Les deux premiers prototypes de l’appareil ont volé en juillet 2000. Pour Rostvertol il s’agissait d’offrir à l’armée russe une solution intermédiaire pour moderniser ses Hind-F en période de forte contrainte budgétaire.
Cette mise à niveau présente certaines caractéristiques du Mi-28N comme le rotor principal en titane, les pales en fibre de carbone et le rotor de queue en X. Les trains d’atterrissage sont quant à eux désormais fixes.
Le nombre de points d’emport sur les ailettes du Hind passe de 6 à 4 mais en contrepartie l’hélicoptère devient capable d‘emporter le missile 9M120 Ataka.
Cependant la grande évolution de l’appareil réside dans ses nouveaux équipements. En effet le Mi-24PN dispose d’un capteur Zarevo gyrostabilisé incluant une caméra TV, un système d’imagerie thermique, un désignateur laser et un système de ciblage tout temps et jour/nuit.
A cette modernisation s’ajoute une nouvelle avionique avec le système de navigation BREO-24 et l’installation de deux écrans multifonctions couleur. De plus le cockpit est traité pour être compatible avec les JVN ONV-1.
La motorisation n’est pas oubliée non plus. Les turbines sont remplacées par des TV3-117VMA plus puissantes.
En 2004, 16 Mi-24PN ont été livrés aux VVS qui les déploient actuellement dans le Nord-Caucase.
L’Ouganda n'a quant à elle reçu qu'1 appareil ex-russe, sans que les termes du contrat ne soient aujourd’hui connus.
Mil Mi-24PM :
Le Mil Mi-24PM désigne une version largement modernisée du Mi-24P, modifié suivant le même principe que le Mi-24VM.
D’un point de vue technique le Mi-24PM marque une rupture.
Tout d’abord l’appareil dispose de nouveaux rotors similaires à ceux du Mi-28N. Le rotor principal est désormais en titane avec des pales en fibre de carbone tandis que le rotor de queue passe lui en forme de X. Il est également aisé de distinguer le nouveau train fixe du Hind sensé répondre aux besoins des atterrissages en terrain difficile.
Concernant la motorisation l’appareil est propulsé par deux turbines Klimov VK-2500 pensées spécifiquement pour les environnements Hot & High.
L’avionique n’est pas oubliée et révolutionne l’appareil. Le Mi-24PM dispose du nouveau système de mission et de navigation KNEI-24 ainsi que d’écrans multifonctions couleur. Les efforts de modernisation se sont aussi concentrés sur les capacités de combat nocturne de l’appareil. Doté de nouveaux capteurs, le Mi-24PM est désormais réellement apte à combattre la nuit. Pour ce faire, le nouvel appareil voit l’installation d’un système de vision nocturne et d’un cockpit compatible avec l’utilisation de JVN ONV-2. Cependant la capacité tout-temps de l’hélicoptère réside dans son FLIR GOES-342 gyrostabilisé situé à côté de la tourelle. Ce capteur dispose d’une caméra TV, d’un système d’imagerie thermique, d’un système de guidage de missile et de pointage du canon et d’un système d’observation et de ciblage OPS-24N.
Du point de vue de l’armement les possibilités se sont étoffées. Il est en mesure d’emporter 16 missiles Sturm-V ou Ataka-V avec 4 Igla-V ou 2 pods de roquettes.
Cette version n’a jamais été achetée par les forces armées russes qui lui ont préféré le moins onéreux Mi-24PN, une solution intermédiaire.
Mil Mi-24PS :
Le Mi-24PS désigne une version du Hind destinée aussi bien aux missions Search & Rescue qu’à la lutte contre le crime organisé et au maintien de l’ordre public.
L’appareil est présenté au grand public pour la première fois lors du salon MAKS 1995. Il s’agit alors du second prototype du Mi-24PS, converti à partir d’un Mi-24V auquel on a retiré la tourelle de 12,7mm.
Le premier prototype de l’appareil était lui issu de la conversion d’un Mi-24P et conservait son canon GSh-30K de 30mm.
Techniquement le Mi-24PS est capable d’exécuter ses missions de jour comme de nuit et par tout-temps. Pour remplir ses missions l’appareil dispose d’une sirène et de haut-parleurs ainsi que d’un puissant projecteur de recherche FPP-7. Un Flir gyrostabilisé doté d’un système d’imagerie thermique est emporté en lieu et place de la tourelle. La cabine du Mi-24PS permet quant à elle l’emport d’un groupe de six opérateurs entièrement équipés. Un treuil est par ailleurs monté sur le côté du Hind afin de faciliter la descente en rappel des commandos (jusqu’à quatre d’entre eux peuvent l’utiliser en même temps).
6 Mi-24PS convertis seraient actuellement en service au sein des forces spéciales du МVD, le Ministère de l'Intérieur russe. Il remplit des missions de patrouille, de transport d'assaut, de maintien de l'ordre lors de troubles de masse et Search & Rescue en environnement difficile.
Mil Mi-24PTRK :
Le Mi-24PTRK désigne un Mi-24D spécialement modifié pour servir de banc d’essai au missile antichar Shturm-V.
Mil Mi-24R Hind-G1 :
Le Mi-24R Hind-G1 désigne une version de reconnaissance NRBC du Hind basée sur le Mi-24D. Elle est parfois également appelée Mi-24RKhR même si circulent de fausses désignations comme Mi-24RKR, RCh voire même RR.
Le Mi-24R a pour mission de récolter des échantillons d’air et du sol afin de les analyser et transmettre les résultats par liaison de données à un centre de commandement.
Cette version spécialisée est apparue à la fin de l’année 1978 dans le but de remplacer le Mi-8VD pour les mêmes missions. Cependant c’est bien en avril 1986 que le Mi-24R s’est révélé aux occidentaux. Suite à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, des dizaines d’appareils ont été employés afin de procéder à des analyses de contamination.
L’équipage se compose de 4 personnes : 1 pilote, 1 navigateur et 2 opérateurs des équipements spécifiques emportés par le Hind-G1.
L’appareil conserve une partie de son armement. La mitrailleuse en tourelle est préservée ainsi que 4 pylônes pour emporter pods de roquettes ou réservoirs supplémentaires. Cependant les pylônes destinés aux missiles antichars sont modifiés pour emporter des griffes articulées télécommandées spécialisées pour les prélèvements NRBC dans le sol. Il va également de soi qu’en l’absence des missiles antichars, le système de guidage Raduga-F, monté dans le nez, est supprimé. La caméra de frappe l’est aussi. Il faut également noter la présence d’un système permettant de marquer le sol d’une couleur vive afin de désigner les zones contaminées aux troupes au sol.
Enfin, les Mi-24R en mission transportent généralement un conteneur spécial sur un de leur pylône. Celui-ci comporte un set destiné à collecter des échantillons de matière contaminée et un kit complet de décontamination et de prévention avec grenades fumigènes et roquettes chimiques d’alerte. Le matériel de bord inclut également des deux bombonnes d’oxygène, deux réservoirs d’oxygène portables, des masques à gaz et des combinaisons de protection.
Selon les sources 110 ou 152 exemplaires auraient été produits entre 1983 et 1989 pour parvenir à un total de 6 Mi-24R par régiment d’hélicoptères soviétiques. Il faut néanmoins savoir qu’une partie de ces appareils ont eu une carrière extrêmement courte. En effet un grand nombre d’entre eux a été purement et simplement abandonné dans la zone contaminée aux alentours du village de Tchernobyl.
La dislocation de l’Union Soviétique explique pourquoi certains Hind-G1 sont aujourd’hui opérés par la force aérienne biélorusse, ukrainienne ou encore arménienne. Cette dernière en possédait 2 exemplaires jusqu’à ce qu’un soit abattu le 12 novembre 2014 par un Manpad tiré par un soldat azerbaidjanais dans une zone contestée du Haut-Karabakh. La Biélorussie a quant a elle récupéré 6 hélicoptères dont certains sont semble-t-il encore en activité aujourd’hui. L’Ukraine posséderait également quelques Mi-24R dont un aurait été abattu le 4 juin 2014 dans le Donbass lors des combats pour Slaviansk.
Mil Mi-24RA Hind-G1 Mod. :
Le Mi-24RA Hind-G1 Mod. est, comme son code OTAN l’indique, une évolution du Mi-24R. Contrairement à ce dernier construit à neuf sur la base du Mi-24D, le Mi-24RA est tirée d’une conversion d’un Mi-24V réalisée en 1987.
Les griffes articulées télécommandées sont démontées sur le Mi-24RA. A contrario la caméra de frappe qui avait été supprimée sur le Hind-G1 est ici préservée. L’équipage passe quant à lui à 3 personnes. Un des opérateurs n’est en effet plus nécessaire dans la mesure où les équipements bénéficient d’un niveau d’automatisation plus grand.
Cette version restée plutôt discrète devait être très spécialisée. Par exemple un seul exemplaire connu du Mi-24RA fut répertorié au sein des forces armées soviétiques déployées en Allemagne.
Mil Mi-24TeCh-24 :
Le Mi-24TeCh-24 désigne une version très spécialisée du Hind apparue en 1981. Il s’agit en fait d’une plateforme mobile destinée à réparer d’autres Mi-24 directement sur le champ de bataille. Un seul prototype converti à partir d’un Mi-24V semble avoir été construit pour des essais.
Mil Mi-24U Hind-C :
Le Mil Mi-24U Hind-C est une version d’entraînement du Hind basée sur le Mi-24A. Son prototype vole pour la première fois en 1972 pour entrer en production l’année suivante et jusqu’en 1974.
D’un point de vue technique la mitrailleuse A-12,7 montée dans le nez ainsi que le système de visée Raduga sont retirés. Toutefois l’appareil dispose toujours de 4 racks d’emport pour roquettes non-guidées. Les deux autres en bout d’aile destinés aux missiles antichars Falanga-MV ne deviennent alors plus configurables. Pratiquement l’instructeur prend la place de l’opérateur du système d’arme. Il dispose également pour l’occasion d’un système de double-commande.
En service principalement en Union Soviétique, l’appareil a été exporté au Vietnam et en Afghanistan (où ont été ajoutés des filtres à poussière). Il semble néanmoins n’avoir été que peu produit. Certaines sources évoquent 25 exemplaires.
Mil Mi-24VD :
Le Mi-24VD désigne la conversion d’un Mi-24V pour le doter d’une mitrailleuse arrière. Ce projet, initié en 1985 par une équipe de Mil, découle des lourdes pertes subies par les équipages de Mi-24 soumis au feu des Moudjahidines dans les montagnes d’Afghanistan. En effet près de 48% des dommages causés aux Hind lors de cette guerre sont localisés sur la partie arrière du fuselage.
En conséquence Mil s’oriente dans un premier temps vers l’installation sur le Mi-24V d’une tourelle télécommandée vers l’arrière. Trop technique, le fabriquant décide d’opter alors pour une solution plus simple.
Le principe du concept consiste à intégrer une nacelle équipée d’une mitrailleuse NVST-12,7 de 12,7mm approvisionnée à 300 coups dans la baie arrière de l’appareil. Cette nacelle est accessible via un passage étroit depuis le compartiment de transport. L’opérateur de la mitrailleuse a alors ses pieds pendants à l’air libre dans une sorte de pantalon caoutchouté durant toute la durée du vol.
Un unique Mi-24VD (43 RED) a été converti dans le cadre du projet qui fut finalement abandonné en 1986. Les essais ont montré que la présence de la nacelle déstabilisait le centre de gravité du Hind ainsi modifié, et que les gaz d’échappement de l’hélicoptère venaient s’y loger. De plus l’accessibilité limitée à la nacelle condamnait virtuellement le tireur arrière (dont les jambes pendantes étaient déjà surexposées aux tireurs ennemis) en cas d’évacuation d’urgence suite à un accident.
Mil-24VN :
Le Mil Mi-24VN désigne une évolution intermédiaire du Mi-24V. L’appareil converti devient certes capable d’effectuer des opérations de combat de nuit mais ne dispose pas de capteurs les plus performants qui sont installées, eux, sur le plus onéreux Mi-24VM.
La modernisation du cockpit doté de deux écrans multifonctions LCD permet l’installation d’un nouveau système de navigation satellite BREO-24 ainsi que l’utilisation de JVN ONV-1. Les capteurs ne sont pas en reste eux aussi. Un Zarevo gyrostabilisé placé au dessus de la tourelle est intégré à l’appareil. Ce capteur dispose d’une caméra TV ainsi que d’un FLIR de navigation et de surveillance doté d’un système d’imagerie thermique.
La motorisation est quant à elle assurée par deux turbines TV3-117VMA.
Le Mi-24VN se voit également doté des rotors en matériaux composites du Mi-28N, d’un train d’atterrissage fixe et de plus petites ailettes doté de 2 racks d’armement de chaque côté.
L’appareil est semble-t-il en mesure d’emporter la panoplie de missiles antichars russes : Sturm-V et Ataka-V
Il n’a jamais été commandé par la force aérienne russe mais aurait été employé en Tchétchénie par un groupe de combat expérimental aux côtés de Ka-50 et de Mi-8MTKO.
Mil Mi-24VM :
Le Mil Mi-24VM désigne une version largement modernisée du Mi-24V, dont le prototype converti à partir d’un Mi-24VP, a effectué son premier vol le 4 mars 1999.
D’un point de vue technique le Mi-24VM marque une rupture.
Tout d’abord l’appareil dispose de nouveaux rotors similaires à ceux du Mi-28N. Le rotor principal est désormais en titane avec des pales en fibre de carbone tandis que le rotor de queue passe lui en forme de X. Il est également aisé de distinguer le nouveau train fixe du Hind sensé répondre aux besoins des atterrissages en terrain difficile.
Concernant la motorisation l’appareil est propulsé par deux turbines Klimov VK-2500 pensées spécifiquement pour les environnements Hot & High.
L’avionique n’est pas oubliée et révolutionne l’appareil. Le Mi-24VM dispose du nouveau système de mission et de navigation KNEI-24 ainsi que d’écrans multifonctions couleur. Les efforts de modernisation se sont aussi concentrés sur les capacités de combat nocturne de l’appareil. Doté de nouveaux capteurs, le Mi-24VM est désormais réellement apte à combattre la nuit. Pour ce faire, le nouvel appareil voit l’installation d’un système de vision nocturne et d’un cockpit compatible avec l’utilisation de JVN ONV-2. Cependant la capacité tout-temps de l’hélicoptère réside dans son FLIR GOES-342 gyrostabilisé situé à côté de la tourelle. Ce capteur dispose d’une caméra TV, d’un système d’imagerie thermique, d’un système de guidage de missile et de pointage du canon et d’un système d’observation et de ciblage OPS-24N.
Le Mi-24VM marque une évolution au niveau du canon par rapport à ces prédécesseurs. Tandis que ces derniers étaient équipés d’une mitrailleuse YakB de 12,7mm, la nouvelle version mise désormais sur le Gsh-23L ou V de 23mm.
Du point de vue de l’armement les possibilités se sont étoffées. Il est en mesure d’emporter 16 missiles Sturm-V ou Ataka-V avec 4 Igla-V ou 2 pods de roquettes.
Cette version en elle-même n’a jamais été achetée par les forces armées russes. Ces dernières ont préféré acquérir directement un matériel neuf et non pas une modernisation de Mi-24V déjà existants. Elles se sont alors orientées vers le Mi-35M originellement destiné à l’export.
Mil Mi-24VP :
Le Mi-24VP Hind-E Mod. est une version modifiée du Mi-24V dont le développement remonte à 1985. Il faut néanmoins attendre 1989 pour que l’appareil soit mis en service et commence à être produit en série.
Cette version conserve les mêmes caractéristiques que le Mi-24V au niveau de l’avionique et des capteurs.
La seule différence entre les deux versions se fait au niveau de l’armement. La mitrailleuse YakB de 12,7mm placée dans le nez du Mi-24V est remplacée par un canon-double Gsh-23L de 23mm, offrant à la fois plus de puissance de feu et une plus grande souplesse d’emploi que sur le Mi-24P. Le était un compromis entre la puissance de feu du Mi-24P et l'agilité plus grande
Cette version n’a été produite qu’à 25 exemplaires avant que la production ne cesse en 1989, soit l’année-même de sa mise en service.
Il semble que certains exemplaires soient tombés entre les mains de l’armée de l’air ukrainienne à la chute de l’URSS. C’est dans ce pays qu’il a connu l’épreuve du feu pour la première fois en étant employé contre les séparatistes pro-russes du Donbass. Le 24 mars 2015 un appareil s’est d’ailleurs écrasé dans la région de Kiev suite à un problème technique.
Mil Mi-35P :
Le Mil Mi-35P désigne la version destinée à l’exportation du Mi-24P Hind-F dévoilée pour la première fois au grand public lors du Salon du Bourget 1989.
La principale différence entre le Mi-24/35P et le Mi-24V/Mi-35 réside dans le remplacement de la mitrailleuse YakB de 12,7mm par un canon double Gsh-30K de 30mm monté sur le côté avant-droit de l’appareil et couplé au système de visée Raduga-S. Sa capacité d’emport en munitions est néanmoins limitée à 750 coups.
Le Mi-35P est une solution idéale pour les pays souhaitant se doter d’une voilure tournante aux capacités antichar respectables et à moindre coût. Cela explique certainement son succès.
Si l’on exclut les Mi-24P disséminés dans les républiques d’ex-URSS après l’effondrement de cette dernière et les Mi-24P qu’ils ont vendu tels quel à des pays tiers, on peut se faire une idée du nombre de Hind-F d’export vendus par la Fédération de Russie (sous la désignation Mi-35P).
En 1998 le Sri Lanka a réceptionné 6 Mi-35P (les Mi-24P aussi acquis ne sont pas comptabilisés ici). Les appareils bien qu’étant passés par l’armée russe portent cette désignation car remis à niveau par Rostvertol avant leur livraison. Ces appareils ont été éprouvés au combat contre la rébellion Tamoul, subissant plusieurs pertes qu’il est difficile d’identifier avec précision.
En 1999, le Zimbabwe est reporté comme ayant acquis un nombre indéterminé de Mi-35, dont au moins 2 Mi-35P modernisés selon le même principe que les appareils sri-lankais. L’état des deux Hind est incertain.
En 2001 c’est au tour du Nigeria de passer commande de 6 Mi-35P. Ces appareils ont récemment été utilisés pour lutter contre Boko Haram. Une perte a été subie lors d’un accident le 13 novembre 2014 après que l’hélicoptère ait explosé en l’air sans que la raison en soit pour le moment connue.
En 2003 l’Ethiopie aurait acheté auprès de la Russie 5 ou 6 Mi-35P. L’état des appareils est incertain lui aussi. De plus il a été reporté en décembre 2014 plusieurs défections de pilotes et de leurs appareils vers l’Erythrée voisine avec qui l’Ethiopie entretient un conflit gelé.
En 2005 le Soudan aurait pris livraison d’un très grand nombre de Mi-35P reconditionnés sans qu’il ne soit possible de l’attester. Les appareils auraient été utilisés contre les forces sud-soudanaises.
L’Indonésie a quant a elle acheté dans un premier temps 2 Mi-35P livrés en 2006 puis 3 autres appareils livrés en 2010.
En avril 2007 2 ex-hélicoptères russes reconditionnés ont été livrés au Sénégal.
Entre 2010 et 2011, le Myanmar a reçu 12 exemplaires commandés en 2009 sur le même modèle que le Sri-Lanka ou le Sénégal.
Enfin, en avril 2011 le Pérou a réceptionné 2 Mi-35P flambant neufs livrés par la Russie dans le cadre d’un contrat comprenant également des Mi-171Sh.
Plus récemment en avril 2015 ce sont 4 Mi-35P qui auraient été livrés à l’Armée Nationale Libyenne sans qu’il soit possible de l’établir avec certitude.
Mil Mi-35PM :
Le Mi-35PM désigne une version avancée du Mi-24P/Mi-35P ayant les mêmes caractéristiques que le Mi-35M, à ceci près que ce dernier est armé d’un canon Gsh-23V de 23mm tandis que le 35PM l’est par un Gsh-30K bitube de 30mm.
Le seul acheteur de l’appareil semble être Chypre même si un doute subsiste. En 2001 la force aérienne de l’île commence à réceptionner les premiers de ses 12 Mi-35PM (surnommés localement « Black Panther » du fait de la livrée noire reflétant leurs capacités avancées de combat de nuit). Un appareil est perdu lors d’un accident le 5 juillet 2006. Les ailettes raccourcies de l’appareil, limitées à 4 racks d’emport d’armements, laissent penser que les Mi-35P chypriotes ont bien été modernisés (ou livrés tels quel) au standard PM. Une photo de l’appareil datant de novembre 2004 dévoile déjà ses ailettes modifiées.
Mil Mi-35M :
Le Mil Mi-35M est une version de série largement modernisée du Mi-35 (la version export du Mi-24V) reprenant un grand nombre d’améliorations issues du Mi-24VM, si bien que l’on considère généralement qu’il s’agit d’une version export de ce dernier.
S’il a été dévoilé officiellement au grand public en statique lors du Salon du Bourget 1995, sa production en série n’a quant à elle débuté qu'en 2005. Le Mi-35M se destine avant tout aux pays n’ayant pas les moyens ou la volonté d’acheter des hélicoptères de combat de dernière génération mais qui souhaiteraient tout de même disposer d’une plateforme antichar et d’assaut performante à bas coût.
D’un point de vue technique cette version est très avancée si on la rapporte au Mi-35.
Tout d’abord l’appareil dispose de nouveaux rotors similaires à ceux du Mi-28N. Le rotor principal est désormais en titane avec des pales en fibre de carbone permettant de réduire le poids total de l’appareil de près de 300kg, tandis que le rotor de queue passe lui en forme de X. Il est également aisé de distinguer le nouveau train fixe du Hind sensé répondre aux besoins des atterrissages en terrain difficile.
Concernant la motorisation l’appareil est propulsé par deux turbines Klimov VK-2500 pensées spécifiquement pour les environnements Hot & High.
L’avionique n’est pas oubliée et révolutionne l’appareil. Le Mi-35M dispose du nouveau système de mission et de navigation KNEI-24 ainsi que d’écrans multifonctions couleur. Les efforts de modernisation se sont aussi concentrés sur les capacités de combat nocturne de l’appareil. Doté de nouveaux capteurs, le Mi-35M est désormais réellement apte à combattre la nuit. Pour ce faire, le nouvel appareil voit l’installation d’un système de vision nocturne et d’un cockpit compatible avec l’utilisation de JVN ONV-2. Cependant la capacité tout-temps de l’hélicoptère réside dans son FLIR GOES-342 gyrostabilisé situé à côté de la tourelle. Ce capteur dispose d’une caméra TV, d’un système d’imagerie thermique, d’un système de guidage de missile et de pointage du canon et d’un système d’observation et de ciblage OPS-24N.
Du point de vue de l’armement les possibilités se sont étoffées. Il est en mesure d’emporter une combinaison de 16 missiles Sturm-V, Ataka-V ou Igla-V. Le canon n’est pas non plus oublié. Le Gsh-23L de 23mm est remplacé par un Gsh-23V du même calibre refroidi à l’eau et approvisionné à 450 coups.
La capacité de transport de troupes a été conservée : 8 soldats peuvent se loger dans la soute pour des missions de transport d’assaut.
La survivabilité du Mi-35M est globalement améliorée par rapport aux versions antérieures et la charge de maintenance est plus réduite.
Le premier acheteur export de l’appareil est le Venezuela qui en 2005 passe commande de 10 exemplaires d’une version très légèrement modifiée désignée Mi-35M2. Les appareils sont tous livrés entre 2006 et 2007.
Le Brésil a lui aussi commandé en octobre 2008 des MI-35M. Il s’agit de 12 exemplaires d’une version modifiée désignée Mi-35M4 par Rostvertol et AH-2 Sabre localement. Ses derniers exemplaires lui ont été livrés en décembre 2014.
Le troisième acheteur n’est autre que la Fédération de Russie. Le Mi-35M commandé en 2009 à 49 exemplaires en deux temps doit servir d’appareil de transition en attendant l’arrivée en nombre suffisant des Mi-28N et Ka-52.
L’Azerbaïdjan traditionnel client de Moscou arrive ensuite avec une commande en 2012 de 24 Mi-35M dont le dernier a été livré en novembre 2013.
En 2013, l’appareil a également été commandé en urgence à hauteur de 28 exemplaires par l’armée de l’air irakienne. Celle-ci faisait et fait toujours face à la progression rapide de l’Etat Islamique sur son territoire. Elle n’a pour le moment reçu que 3 batchs de 4 appareils mais a déjà perdu 2 des hélicoptères du fait du feu ennemi. Le premier a été abattu par un missile sol-air FN-6 le 3 octobre 2014 tandis que le second l’a été le 26 juin de la même année lors d’une mission d’attaque au-dessus de Tikrit.
Faisant face à une menace similaire à celle sévissant en Irak, le Nigéria a lui aussi signé en août 2014 pour 6 Mi-35M afin de s’en servir contre Boko Haram.
Mil Mi-35M2 Caribe :
Le Mi-35M2 Caribe (du nom d’une tribu amazonienne), parfois aussi surnommé Piraña, est une version légèrement améliorée du Mi-35M développée spécialement pour le compte de l’Ejército Venezolana. Pratiquement, la seule différence notable avec le Mi-35M réside dans la modification de ses moteurs VK-2500 pour supporter les opérations à haute altitude jusqu’à 5600m.
10 exemplaires du Mi-35M2 ont été commandés en trois temps (3, 5 puis 2) à partir de 2005, et tous livrés en 2006-2007 par Rosoboronexport. Ils volent avec un camouflage vert foncé adapté à l’évolution au-dessus de la jungle.
Mil Mi-35M4/AH-2 Sabre :
Le Mil Mi-35M4 désigne la version du Mi-35M Hind-E spécifique au Brésil.
En octobre 2008, le gouvernement brésilien décide de passer commande de 12 Mi-35M4 à Rosoboronexport au terme d’un appel d’offre qui a vu également concourir l’A129 Mangusta d’AgustaWestland et l’EC665 Tigre d’Eurocopter.
Désignés localement AH-2 Sabre, les livraisons se sont étalées du 16 décembre 2009 au 26 décembre 2014.
D’un point de vue technique, la grande différence avec le Mi-35M réside dans son avionique israélienne fournie par Elbit Systems. Néanmoins il comporte toutes les améliorations du Mi-35M tant au niveau de l’armement (double canon GSh-23V de 23mm, 16 missiles antichar 9M120 Ataka-V, roquettes de 80mm ou 122mm), qu’à celui des optimisation liées au combat nocturne (cockpit adapté à l’utilisation de JVN, caméras thermiques, FLIR, système de ciblage etc…).
Il répond également aux besoins spécifiques du Brésil liées à l’environnement dans lequel l’hélicoptère est appelé à évoluer (humidité notamment).
La Força Aérea Brasileira utilise l’AH-2 Sabre principalement dans le cadre de ses opérations de lutte antidrogue et contre l’orpaillage clandestin. Ils sont dotés d’une livrée verte/grise adaptée à l’environnement amazonien.
Mil Mi-35MS :
Le Mi-35MS est une version de transport VIP du Hind apparue pour la première fois en juillet 2014.
Malgré sa désignation le Mi-35MS se caractérise par un certain retour dans le passé. En effet il reprend les ailes longues dotées de 6 pylônes d’emport et les rotors du Mi-24V. En bout d’ailes sont installés des systèmes de contre-mesures électroniques, tandis que lors de ses différentes sorties, l’appareil a, à chaque fois, été observé avec des réservoirs de carburant supplémentaires sur ses pylônes restants. Il dispose également d’un système avancé de communication Raduga-MV installé en lieu et place de la tourelle.
Le Mi-35MS est doté d’une livrée unie vert foncé avec le drapeau de la Fédération de Russie peint sur la queue de l’appareil. Il a pour le moment été construit à 4 exemplaires.
Mil Mi-35O :
Le Mi-35O est une version export du Mi-24VN présentée au grand public lors du salon MAKS 1999. Il dispose d’un capteur GOES-320 à côté de la tourelle et de nouveaux écrans multifonctions LCD dans le cockpit.
Mil Mi-24 Ecological Survey Version :
Cette version extrêmement spécialisée du Hind désigne un Mi-24V modifié par la Production Corporation Polyot de Nizhny-Novgorod pour servir de laboratoire écologique volant. Révélé au grand public pour la première fois en 1991, le Mi-24 Ecological Survey Version dispose d’un capteur pour le moins étrange en lieu et place de la tourelle du Hind : En forme de langue, il sert à analyser le niveau de pollution aquatique, de l’air etc…Des capteurs supplémentaires sont emportés en pods sous les ailes.
IAI Mi-24 « Mission-24 » :
Le Mi-24 « Mission-24 », tire son nom d’un kit « d’upgrade » proposé par Tamam, la filiale spécialisée dans l’électro-optique de l’israélien IAI.
L’objectif principal de ce kit est de donner au Hind une réelle capacité de combat de nuit.
La mise à niveau de Tamam comporte ainsi l’installation sur la tourelle d’une boule optronique HMOSP de 30kg incorporant à la fois caméra TV jour/nuit, FLIR, système de ciblage automatique, désignateur laser et un nouvel ordinateur de mission. L’HMOSP (Helicopter Multi-mission Optronic Stabilized Payload) mis en œuvre par un simple écran multifonction dans le cockpit, est dérivée du système de ciblage nocturne équipant les AH-1W de l’USMC.
De plus le cockpit est modifié pour permettre l’utilisation de jumelles de vision nocturne ainsi que d’un viseur de casque monoculaire. Le système de navigation est lui aussi modernisé pour avec l’installation d’un écran permettant la lecture de cartes en 3D.
Le kit permet désormais aussi l’emport du missile antichar Shturm-V/Ataka-V dont le système SLOC de guidage infrarouge est intégré dans l’HMOSP, qui remplace l’ancien Raduga-F. Il semblerait d’ailleurs que des problèmes de guidage liés au nouveau système aient nécessité l’intervention de plusieurs techniciens du concepteur russe du Shturm-V. Néanmoins le kit permet également la mise en oeuvre du missile Spike-ER de la firme Rafael, solution qui n’a pas été retenue par son acheteur.
25 exemplaires du kit « Mission-24 » ont été vendus à l’armée de l’air indienne en 1998 pour moderniser ses Mi-25/35 (sans changement de désignation). Ils ont par ailleurs reçu pour l’occasion une nouvelle livrée gris clair. Le processus de modernisation s’est prolongé jusqu’en 2004 pour une première révélation publique lors du salon Aero India 2003. Il s’agit à ce jour du seul et unique acheteur connu de « Mission-24 », et ce malgré l’étendue du marché auquel il s’adressait. -
Et bien sacrée màj !
Merci Ansierra .¤ Nicolas Sur AMN : Nico2, inscrit le 09 Jan 2006, 16:45>> N'oubliez pas de lire et de relire le Règlement du forum.>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres. -
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Copyright Clans
Beuh j'ai rien fait, moi.
En plus je crois que le texte principal était de Ciders.Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres. -
Mais non le copyright c'était pour la petite phrase que tu mets d'habitude quand tu ajoutes une fiche au site noeud noeud
Et pour Ciders je sais que c'est à lui ! C'est pour ça que je n'ai pas du tout touché au corpus d'origine que je trouve très bon et suffisamment général pour introduire les versions -
Arf, je comprends mieux !Rang, sang, race et dieux n'entrent en rien dans le partage du vice… et de la vertu. (de Cape et de Crocs, tome 1).>> N'oubliez pas de lire et de relire le Réglement du forum>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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Ils ont été modernisés entre temps j'espère parce que la version D du Hind est pas toute jeune
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Bah il vaut mieux du vieux qui vole que du neuf qui ne vole pas ou mal !
Syndrome du F-35, etc.¤ Nicolas Sur AMN : Nico2, inscrit le 09 Jan 2006, 16:45>> N'oubliez pas de lire et de relire le Règlement du forum.>> N'oubliez pas de consulter les index des sujets avant de poster les vôtres.
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