En revenir ?!Tuckson a écrit
Existe-t-il plus belle aventure que d'aller faire un tour la haut ?
![:mrgreen:](/static/smilies/icon_mrgreen.217f6e920d5e.gif)
En revenir ?!Tuckson a écrit
Existe-t-il plus belle aventure que d'aller faire un tour la haut ?
Bien sur que si !!!Tuckson a écrit
Sans rire, cela ne vous brancherait pas d'aller faire un vol en Navette ?Quel plaisir pour les yeux.
RogCas a écrit
Ouais, moi non plus… bon il semble qu'il y ait deux choses :
- la faire pivoter d'un certain facteur (90+51.6 ou 90+33.2 par exemple) selon l'endroit où on l'envoit.
- le pas de tir ne pouvant pas être "tourné" cela semble être la solution la plus simple (faire tourner la navette)
- finalement, il faut aussi qu'elle vole "dos tourné au sol" avec une inclinaison proche de 100°
Cela répond en partie, mais ça reste une inconnue : pourquoi ne pas refaire construire le pas de tir, tourné de 90°.
Et des conditions atmospheriques !Tuckson a écrit
Oui, je crois qu'il est difficile d'estimer une trajectoire toujours identique puisque cela varie en fonction des objectifs à atteindre. Donc … pas de solution selon moi.
Tiens mon SonnynounetTuckson a écrit
Sans rire, cela ne vous brancherait pas d'aller faire un vol en Navette ?Quel plaisir pour les yeux.
Le principal problème de l'utilisation d'un bouclier constitué de tuiles et la perte de l'une d'elle. Les études faites sur la navette de test ont permit de conclure que l'endommagement ou la perte de quelques tuiles n'entraînerait pas la fusion de la structure de la voilure, et donc la destruction de la navette. Ce problème est illustré sur le schéma ci-contre où différents scénarii sont étudiés, évolution de la température de la voilure en fonction de: la perte d'une tuile, la perte d'une tuile et du feutrehttp://www.buran.fr/bourane-buran/img/tuile-arrachee-grand.jpg
L’essentiel de la protection thermique de la navette spatiale américaine est assuré par des pavés d’environ 10 cm d’épaisseur et guère plus pour les cotés, reposant sur un feutre collé à la structure en aluminium du véhicule. Ces pavés sont constitués d’un enchevêtrement de fibres céramiques, et sont séparés par des joints d’étanchéité. “Sur le principe” poursuit Yves Prel, “la technologie que nous comptons employer n’est pas très différente. Il y a également des céramiques et des fibres composites dans notre concept, mais c’est la façon de les mettre en oeuvre qui change tout. Nous recherchons des solutions plus souples et plus simples à entretenir, notamment en jouant sur des effets d’échelle. Plutôt que des pavés collés, nous réfléchissons donc à des plaques".
La majeure partie d’un shingle est constituée de tissus de fibres de carbone qui n’ont par eux-mêmes pas plus de tenue qu’une toile de jean. « Il faut transformer ces tissus en une pièce structurale capable de soutenir une charge aérodynamique sans trop s’enfoncer, et surtout de tenir le choc thermique de la rentrée dans l’atmosphère pour pouvoir repartir comme si elle n’avait rien vu. » Aucun matériau utilisé seul ne peut satisfaire cette double exigence. Il faut donc avoir recours à des matériaux dit « composites », associant au moins 2 matériaux.
La Navette Discovery, dont le prochain vol est prévu pour la fin de mois d'octobre, n'a pas pu être assemblée avec ses deux propulseurs solides ainsi qu'avec son réservoir principal comme planifié en début de semaine. L'équipe en charge de ses opérations a en effet déclaré que de nouvelles analyses portant sur le détachement de blocs de mousse durant les décollages de navettes allaient devoir être menées.
Lors de la mission STS-118, un morceau de mousse protectrice de la taille d'une balle de baseball s'était en effet détaché et avait percuté les protections thermiques d'Endeavour, sans néanmoins porter à conséquence sur le reste du vol. Ces opérations d'analyse ne devraient cependant pas avoir d'impact sur la date de lancement de Discovery, prévu pour le 23 octobre prochain, mais de plus amples opérations pourraient avoir lieu et avoir des conséquences calendaires sur les tirs prévus en décembre et février prochains.
D'ici avril 2008, la NASA devrait recevoir un réservoir de nouvelle génération, des crochets en titane étant ajoutés pour réduire les détachements de mousse. La station spatiale est désormais finalisée à hauteur de 60 % et devrait être terminée d'ici 2010 si le calendrier des vols navettes prévu par l'agence est respecté.