Ansierra117 a écrit
Je ne suis pas d'accord Les bombes, les missiles je ne les mets pas dans la catégories des ADM moi. Ce sont juste des évolutions de la pierre tirée depuis une catapulte et de la baliste à mon sens.
C'est tout de même une sacré évolution, puisqu'en appuyant sur un ou deux boutons, on peut provoquer un carnage matériel et humain, sans se fatiguer outre mesure…
Naturellement, il y a bien une gradation entre armements conventionnels, armes chimiques, armes nucléaires.
Ansierra117 a écrit
Tout ça pour dire (sinon ça va être mon 3ème HS de la journée)
Je ne te le fais pas dire
Ansierra117 a écrit
:D que la baisse massive des crédits de défense européens a engendré indirectement ça: des pays incapables d'intervenir sans les États-Unis…et quand ceux-ci se détournent du Moyen-Orient et bah on ne bouge pas et on fait comme si de rien n'était.
Le poids militaire, économique et diplomatique des USA est immense, donc forcément on peut difficile agir seuls, d'autant que tous les autres pays occidentaux ont des forces armées sous-dimensionnés par rapport aux ambitions affichées.
L'intervention en Libye en 2011 ne s'est faite qu'avec l'appui des USA, les avions ravitailleurs des USA, le défrichage des bombardiers B-1B et B-2 des USA, sans oublier les bombes à guidage laser des USA !
Sans les USA, Khadafi serait sans doute toujours en poste, de la même façon que Bachar Al Assad demeure au sien.
En parlant d'armes de destruction massive :
Attaques au chlore en Syrie : ces preuves qui embarrassent les Occidentaux
Moins d'un an après l'attaque au sarin (un liquide hautement toxique) lancée par l'armée de Bachar Al-Assad dans la périphérie de Damas, qui avait fait quelque 1 500 morts le 21 août 2013, des preuves formelles existent sur le recours répété des forces gouvernementales syriennes à d'autres armes chimiques à l'encontre de la population, depuis octobre 2013 et jusqu'à récemment.
A quelques jours du 30 juin, date butoir à laquelle la Syrie est censée avoir remis la totalité de son arsenal chimique, Damas a donc agi en violation du traité sur les armes chimiques et de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques qu'il avait accepté de signer – sous menace de frappes militaires internationales imminentes le 14 septembre 2013.