P-8A Poséidon.

Mais il arrivera plus rapidement sur zone, couvrira la zone de surveillance plus rapidement et à plus haute altitude. Mais malgré tout je pense qu'un turbopropulseur est plus adapté à la patrouille maritime.

Cluster a écrit

Mais il arrivera plus rapidement sur zone, couvrira la zone de surveillance plus rapidement et à plus haute altitude. Mais malgré tout je pense qu'un turbopropulseur est plus adapté à la patrouille maritime.

en tout cas, un avion de ligne n'est surement pas le meilleur choix. en effet, il n'est pas conçu à l'origine pour voler à base altitude et encore moins au ras des vagues. cependant, entre le turbopropulseur à grande capacité et le jet d'affaire plus léger mais plus rapide, l'avis est moins tranché.

Le premier P-8A est arrivé à Patuxent River.

Sources

Boeing : le P-8A Poseidon réussit son premier test des systèmes en vol

Le vol, qui a duré environ 3 heures, a permis de mettre à l'épreuve les cinq stations de travail et prouvé le fonctionnement de systèmes tels que les communications ou les liaisons de données.

Achèvement du design du P8I

Avec évidemment du travail indien.

http://www.airforcesmonthly.com/view_news.asp?ID=2349

Troisième appareil qui a fait son premier vol.

http://www.flightglobal.com/articles/2010/08/16/346153/boeing-p-8a-approved-to-launch-production.html

Le lancement de la production du P-8A approuvée.

Quelques nouvelles, brèves, du P8, par Boeing:

http://www.youtube.com/watch?v=EcgIjsRo3uM&feature=feedu

Dès le milieu des années 1980, l'US Navy envisagea un successeur à ses P-3 Orion, aux cellules fatiguées et au bout de son potentiel de développement. Le P-7, une version revue et corrigée du P-3, fut annulé en 1989. L'étude des spécifications requises démarra en 1997.

C'est donc en 2000 que l'appel d'offres MMA (Multimission Maritime Aircraft) mis en concurrence Lockheed-Martin, avec son Orion 21, et Boeing, proposant un appareil basé sur le Boeing 737-800. BAe, qui avait proposé une variante de son Nimrod MR4, fut évincé en octobre 2002.

Le 14 mai 2004, l'US Navy fit savoir qu'elle avait choisi Boeing. Elle envisageait d'acquérir à elle seule 117 exemplaires afin de remplacer ses 196 P-3C, et au mois de juillet 5 appareils furent commandés. La capacité opérationnelle initiale devrait intervenir en 2013. Le 30 mars 2005, la désignation P-8A lui était attribuée.

En 2008, le NAVAIR (Naval Air Systems Command) fit savoir qu'il recommandait l'abandon du MAD afin d'alléger l'appareil de 1600 kg. Le P-8 devrait recevoir à la place un capteur d'hydrocarbone.

Le premier P-8, T1, a effectué son vol inaugural le 25 avril 2009. T2 vola le 8 juin 2010 et T3 en juillet. Les 2e et 3e appareils ont entamés leurs essais en vol début août 2010. 2 autres appareils servent aux tests statiques. La production en série, à faible cadence, a été autorisée le 11 du même mois. Le 15 octobre de la même année, un P-8 effectuait le premier largage de bouées sonores.

Il se présente donc comme un Boeing 737-800ERX militarisé et doté des ailes du Boeing 737-900. Son fuselage est renforcé et allongé par rapport au C-40 Clipper, une autre version militaire du Boeing 737. Son équipage est de 9 personnes, dont 7 opérateurs.

Il est équipé du radar Raytheon APS-137D(V)5, redésigné AN/APY-10 en juin 2006, et peut emporter des missiles SLAM-ER (5 dans une soute interne en avant du fuselage et 6 sous les ailes), des mines, des bombes et des torpilles Mk 54. Outre les missions de patrouille maritime, il peut également remplir des missions de renseignement électronique et d'analyse de fréquences radar. Il emporte également 6 réservoirs supplémentaires, portant le total à 34096 kg de carburant.

Afin de proposer son P-8 à l'export, le département de la défense américain a envisagé la même solution qu'avec le F-35, en demandant un effort financier et/ou industriel aux clients potentiels. Ceux-ci sont globalement les utilisateurs du P-3, dont il reste 200 exemplaires. De tels clients, démarchés, sont par exemple la Nouvelle-Zélande (4 appareils possibles), l'Italie (malgré l'achat d'ATR-72), ou le Canada.

L'Australie a confirmé en 2007 son intention d'acheter des P-8A afin de remplacer ses Orion, à l'horizon 2016-2018. Elle participe donc financièrement au programme.

Enfin, Boeing a proposé une version spécifique à l'Inde, le P-8I. Celui-ci conserve le MAD et contient des systèmes de communications spécifiques à l'Inde. son radar est une version export de l'APY-10. 8 exemplaires ont été commandés le 4 janvier 2009, afin de remplacer les Tu-142. L'Inde devint donc le client de lancement du P-8, dont les premiers exemplaires devraient être livrés entre 2012 et 2013. En 2011, un contrat pour 4 appareils supplémentaires fut signé.




http://www.avionslegendaires.net/boeing-p-8-poseidon.php


http://www.aeroweb-fr.net/actualites/2010/06/boeing-le-p-8a-poseidon-reussit-son-premier-test-des-systemes-en-vol?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+aerowebfrnet_actualite_actualites+%28Les+derni%C3%A8res+actualit%C3%A9s+-+AeroWeb-fr.net%29&utm_content=Netvibes


http://en.wikipedia.org/wiki/Boeing_P-8_Poseidon


http://www.boeing.com/defense-space/military/p8a/index.html


http://www.naval-technology.com/projects/mma/

Le P-8 sur le site

Le premier Poseidon de série livré à l'US Navy.

http://theaviationist.com/2014/01/25/p-8-poseidon-flaws/


Le P-8 incapable de mener deux de ses missions : la lutte ASM et la surveillance électronique. Manque de chance, ce sont ses deux missions principales

Le problème viendrait des équipements électroniques, pas de la structure, et devraient être réglés.

Le syndrome du F-35 continue.

C'est petit !

d9pouces a écrit

C'est petit !

ça dépends : si tu parles du nombre d'heure(s!) de vol je suis d'accord, mais pas si tu parles du prix