M'enfin c'est pas trop le sujet
jeliot a écrit
Nico2 a écrit
Je m'inquiète beaucoup de l'élection US de l'an prochain, car je redoute que le Président Obama ne parvienne pas à décrocher un second mandat, et qu'à sa place advienne un Républicain sans doute va-t-en guerre, lequel aurait la "bonne idée" de participer à une attaque de l'Iran, mettant ainsi le feu pour de bon à toute la région.
hum je sais pas, la crise aura au moins un bon côté car sans sous ils iront pas loin. Et m'étonnerait que la Chine soit heureuse de finnancer une guerre contre l'Iran, ou alors ils font double jeux en fournissant l'Iran en armes, et achetant les bon du trésor US, avec un peu de chance ils devraient pouvoir vassaliser les EU…
jeliot a écrit
Et sans parler d'argent, l'Iran à quand même un sacré territoire avec beaucoup de missile sol-air, assez pour faire réfléchir jusqu'a présent en tout cas.
Paxwax a écrit
Je crois que ce qui est envisagé, ce sont des frappes ciblées (pas trop chères). Quelque chose que j'imagine, pour donner un exemple parmi tous ceux qu'on peut imaginer, comme l'attaque de quelques centaines de commandos appuyés par de l'artillerie et de l'aviation sur certains sites hébergeant des activités nucléaires ou de missiles. Ceci suivi d'un retrait immédiat une fois l'objectif détruit.
En aucun cas une présence prolongée, ni au sol, ni dans les airs, n'est envisagée. Ou plutôt, pour être plus exact, je n'en ai jamais entendu parler.
Paxwax a écrit
Du côté politique, toute la problématique est de savoir si ce genre d'action ne va pas nous faire péter toute la région à la gueule, en braquant contre l'occident même des pays actuellement plutôt hostiles à l'Iran (comme la Turquie, l’Égypte, la Jordanie, les Émirats)…
Tiens, je ne savais pas. J'étais persuadé que c'était la Chine !Nico2 a écrit
jeliot a écrit
Nico2 a écrit
Je m'inquiète beaucoup de l'élection US de l'an prochain, car je redoute que le Président Obama ne parvienne pas à décrocher un second mandat, et qu'à sa place advienne un Républicain sans doute va-t-en guerre, lequel aurait la "bonne idée" de participer à une attaque de l'Iran, mettant ainsi le feu pour de bon à toute la région.
hum je sais pas, la crise aura au moins un bon côté car sans sous ils iront pas loin. Et m'étonnerait que la Chine soit heureuse de finnancer une guerre contre l'Iran, ou alors ils font double jeux en fournissant l'Iran en armes, et achetant les bon du trésor US, avec un peu de chance ils devraient pouvoir vassaliser les EU…
Oui, mais il n'y a pas que la Chine qui finance les USA, d'ailleurs le premier détenteur de bons du Trésor US est la Japon.
Il ne faut pas sous-estimer la puissance des idéologues, ni perdre de vue que les USA ont les moyens d'anéantir n'importe quel adversaire.Avec une frappe nucléaire, peut-être. Mais l'Afghanistan montre que leur puissance est loin d'être illimitée.
jeliot a écrit
Nico2 a écrit
Je m'inquiète beaucoup de l'élection US de l'an prochain, car je redoute que le Président Obama ne parvienne pas à décrocher un second mandat, et qu'à sa place advienne un Républicain sans doute va-t-en guerre, lequel aurait la "bonne idée" de participer à une attaque de l'Iran, mettant ainsi le feu pour de bon à toute la région.
hum je sais pas, la crise aura au moins un bon côté car sans sous ils iront pas loin. Et m'étonnerait que la Chine soit heureuse de finnancer une guerre contre l'Iran, ou alors ils font double jeux en fournissant l'Iran en armes, et achetant les bon du trésor US, avec un peu de chance ils devraient pouvoir vassaliser les EU…
jeliot a écrit
Et sans parler d'argent, l'Iran à quand même un sacré territoire avec beaucoup de missile sol-air, assez pour faire réfléchir jusqu'a présent en tout cas.
Paxwax a écrit
Je crois que ce qui est envisagé, ce sont des frappes ciblées (pas trop chères). Quelque chose que j'imagine, pour donner un exemple parmi tous ceux qu'on peut imaginer, comme l'attaque de quelques centaines de commandos appuyés par de l'artillerie et de l'aviation sur certains sites hébergeant des activités nucléaires ou de missiles. Ceci suivi d'un retrait immédiat une fois l'objectif détruit.
En aucun cas une présence prolongée, ni au sol, ni dans les airs, n'est envisagée. Ou plutôt, pour être plus exact, je n'en ai jamais entendu parler.
Paxwax a écrit
Du côté politique, toute la problématique est de savoir si ce genre d'action ne va pas nous faire péter toute la région à la gueule, en braquant contre l'occident même des pays actuellement plutôt hostiles à l'Iran (comme la Turquie, l’Égypte, la Jordanie, les Émirats)…

jeliot a écrit
Même si c'est que je pense aussi, je doute qu'en réalité les choses se déroule aussi simplement… et l'Iran s'empressera de répliquer à coup de missile balistique et de gaz sur tout les intérêt occidentaux, sans parler du détroit d'ornuz et des batterie cotière.
M'enfin c'est pas trop le sujet

.
Le président Barack Obama a salué mercredi la "réussite extraordinaire" des Etats-Unis en Irak mais appelé à tirer des leçons de ce conflit, en rendant hommage aux soldats quelques jours avant la fin du retrait prévu de l'armée américaine de ce pays.
Lors d'un discours devant des soldats à Fort Bragg (Caroline du Nord, Sud-Est), M. Obama a aussi évoqué le "prix élevé" de cette guerre de près de neuf ans à laquelle il s'était opposé quand il n'était pas encore à la tête des Etats-Unis.
"Nous laissons derrière nous un Etat souverain, stable, autosuffisant, avec un gouvernement représentatif qui a été élu par son peuple. Nous bâtissons un nouveau partenariat entre nos pays. Et nous terminons une guerre non avec une bataille finale, mais avec une dernière marche du retour", a lancé le président.
(…)
Barack Obama a salué mercredi le retour de soldats américains d'Irak, marquant symboliquement la fin de neuf années d'un conflit qui a infligé un tort durable à l'image des Etats-Unis dans le monde et mis leur armée à rude épreuve.
S'adressant aux soldats sur la base de Fort Bragg, en Caroline du Nord, le président américain a tenu à marquer "un moment historique de la vie de notre pays et de notre armée".
"Etant votre commandant en chef, je suis fier, au nom de la nation reconnaissante, de vous dire enfin ces mots: bienvenue au pays, bienvenue au pays, bienvenue au pays", a-t-il dit sous les vivats de 3.000 soldats réunis dans un immense hangar.
"Il est plus difficile de terminer une guerre que d'en commencer une", a-t-il dit également.
"Bien sûr, l'Irak n'est pas devenu un endroit parfait. Cependant, nous laissons derrière nous un Irak souverain, stable et à même d'assumer seul ses responsabilités, avec un gouvernement représentatif qui a été élu par le peuple", a continué le président.
"Nous terminons une guerre non pas par une ultime bataille, mais par un retour définitif au pays".
(…)
A Falloudja en Irak, 3.000 personnes ont brûlé des drapeaux américains, brandi des banderoles et défilé dans les rues pour fêter à leur façon le retrait des troupes américaines de leur ville, ancien bastion de l'insurrection sunnite et théâtre de certains des plus durs combats du conflit irakien.
"Falloudja: la ville de la résistance", pouvait-on lire sur les banderoles, qui côtoyaient des portraits d'habitants tués par les forces américaines après l'invasion de 2003.
Après huit ans et neuf mois de guerre et plusieurs semaines de cérémonies, le retrait américain d'Irak s'est achevé dimanche à l'aube. Le dernier convoi de 110 véhicules de l'armée américaine a traversé la frontière irako-koweitienne à 7H30. Les 500 soldats, à son bord, ont quitté furtivement, au couvert de la nuit, la base de Camp Adder (près de Nassiriya au sud du pays) vers 2H30 en empruntant une route déserte de 350 km pour rejoindre le Koweït.
(…)
Les derniers soldats américains ont quitté le sol irakien ce dimanche. Les économistes préviennent: ce n'est pas parce que la guerre est finie qu'elle ne nous coûtera plus rien.
La guerre en Irak aura officiellement causé la mort de 4474 Américains et de plus de 100.000 Irakiens. Au-delà du coût humain, les économistes s'interrogent: combien ont pu coûter ces huit années de guerre? Les estimations varient. Et, rappelle Linda Bilmes, professeur d'économie à Harvard, «le coût d'une guerre n'est pas seulement élevé, il est aussi imprévisible».
(…)
d9pouces a écrit
Il n'y a donc plus du tout de soldats américains là-bas ? Même pas des sociétés paramilitaires ? Je me demande ce que ça va donner à brève échéance… Je ne suis tout de même pas sûr que l'Iran puisse récupérer le pays, j'imagine que la guerre Iran-Irak a laissé trop de traces.