Paxwax a écrit
Jarod a écrit
En même temps même en standard f3 il est déjà supérieur à tous les appareils embarquables ainsi que gripen, eurofighter…
Un peu exagéré comme affirmation, je trouve… Ça dépend énormément de la mission (Air-sol? Air-air? BVR ou dogfight? Reconnaissance? Police du ciel? Protection du porte-avion ou attaque loin de sa base?). Ça dépend aussi des contraintes économiques(F-18 et Gripen sont bien moins chers), de la disponibilité et du prix des pièces détachées, etc…
Jarod a écrit
Donc un standard 4 pourrait pourquoi venir titiller encore un peu plus le F-22 !
Quand au F-22, c'est une aberration économique même pour le budget du Pentagone. Mais je doute qu'un Rafale puisse se mesurer à lui en combat BVR, même au standard 4. Si j'ai bien compris, le standard 4 apportera surtout le Météor, un meilleur moteur, et une optimisation de l'auto-protection SPECTRA. Rien de cela ne permettra pas de mieux "voir" les F-22 au radar, condition nécessaire pour tirer un missile dessus en BVR.
Je vois pas en quoi cette affirmation est exagérée. Dernière confrontation Eurofigther/Rafale, 8-1 pour le Rafale, dans des domaines pourtant favorable au Typhoon et avec un Rafale downgradé pour 4 shoots si mes souvenirs sont bons..
Ensuite, bon je pense même pas qu'il y'est matière à débattre contre un combat avec un F-18, peut importe le terrain… et pour le Gripen, ouai bon, si on parlait de la même catégorie ?
Pour le F-22, j'ai pas dis que le F4 allait lui mettre une pile… juste qu'il pourrait, pourquoi pas, venir titiller encore un peu plus le F-22, c'est tout, y'a rien d'exagérer non plus dans mes propos.
"Si l'évolution actuelle persiste, il n'est pas interdit d'espérer que nous posséderons en 1997 : 176 246 généraux pour un seul homme de troupe. Un seul homme de troupe, nous insistons sur ce point. En cas de guerre, si notre unique soldat est tué, nous saurons au moins de qui il s'agit. Car jusqu'alors le désordre était tel que lorsqu'un enfant de la patrie se faisait tuer pour elle, on savait si peu de choses sur lui qu'on était réduit à l'appeler "l'inconnu" ".