Bell-Lockheed-Martin V-280 Valor
Rappels
- Catégorie : Prototype
- Constructeur : Bell Lockheed-Martin
- Premier vol : 18 décembre 2017
- Missions : Attaque au sol, Essais en vol, Lutte anti-chars, Transport de passagers, Transport de troupes, Transport tactique
Historique
Bell Helicopter annonce le 5 juin 2013 que son concept V-280 Valor est retenu par l'US Army pour la phase de démonstration technologique (TD) du programme d’hélicoptère JMR (Joint Multi Role). Cette phase JMR-TD vise à développer des technologies et des interfaces en vue du programme Future Vertical Lift (FVL). Bell annonce ensuite qu’il s'associe à Lockheed Martin qui fournira l'avionique, les capteurs et les armes intégrés au V-280. D’autres partenaires, qui sont annoncés dans les mois suivants, développeront différents systèmes, ainsi que certaines parties de l’appareil.
Le 2 octobre 2013, l'US Army attribue à Bell, AVX Aircraft, Karem Aircraft et à une équipe de Sikorsky-Boeing une enveloppe de 6,5 millions de dollars chacun pour leur permettre d’achever la conception préliminaire de leurs appareils. Ces projets doivent être présentés neuf mois plus tard pour être évalués. Fin octobre, Bell dévoile la première maquette grandeur nature du V-280 Valor à l'Association of the United States Army 2013.
Le 3 octobre 2014, l'US Army annonce officiellement que les Bell-Lockheed V-280 "Valor" et Boeing Sikorsky SB-1 "Defiant" sont sélectionnés pour poursuivre le programme de démonstration JMR.
Si dans un premier temps Bell a laissé entendre qu’il désirait également développer une version civile afin de diminuer les coûts de production, en 2016 il déclare qu’il préfère se concentrer sur l’AW-609 et développer le V-280 pour un usage militaire uniquement.
L’objectif de Bell est de proposer un appareil embarquant une douzaine de soldats équipés capable de voler en croisière à 280 nœuds (520 km/h), d’où sa désignation V-280. Sa vitesse de pointe devrait être de 560 km/h et son rayon d’action entre 900 et 1'500 km. L’appareil doit également pouvoir être capable d’effectuer des missions de façon entièrement autonome, du décollage à l’atterrissage.
Son fuselage de section rectangulaire, avec les deux grandes portes coulissantes latérales et le nez profilé, affiche certaines ressemblances avec celui de l’UH-60 Black-Hawk. Le poste de pilotage biplace, ainsi que la cabine qui peut accueillir douze à quatorze soldats, sont équipés d’un blindage protégeant les occupants des munitions de petits calibres. Le train d’atterrissage est entièrement escamotable. Il est constitué d’un train arrière muni de deux roues en diabolo et de deux jambes principales à l’avant, munie chacune d’une roue, qui prennent place dans des moignons d’ailes à l’arrière du cockpit. L’empennage est constitué de deux dérives rectangulaires en "V". Les ailes, droites et en position haute, sont à plus de 2,1 mètres du sol lorsque l’appareil est posé, ce qui ne gêne pas durant les embarquements et débarquements. Elles sont terminées par les deux nacelles dans lesquelles sont installés les turbopropulseurs entraînant chacun une hélice tripale.
Dans sa conception, on observe une différence majeure par rapport au V-22 Osprey déjà en service. En effet, les nacelles en bouts d’ailes de ce dernier s’inclinent lorsqu’il passe du vol vertical au vol horizontal, ce qui fait pivoter à la fois les hélices et les moteurs. Dans le V-280, par contre, les nacelles restent toujours à l’horizontale et seules les hélices pivotent grâce à des arbres d’entraînement spécifiques. Un arbre de transmission traverse les ailes, ce qui permet d’entraîner les deux hélices malgré la panne d’un des deux moteurs.
Sous son fuselage, deux crochets devraient lui permettre de transporter sous élingue un obusier M777A2 de 4’500 kg à une vitesse de 280 km/h. Bien qu’il soit prévu initialement comme un appareil utilitaire, il est prévu de pouvoir l’armer, voire même d’en faire des versions d’attaque. Pour cela, il recevrait une tourelle sous le nez et embarquer des missiles antichars ou des paniers à roquettes sur des moignons d’ailes qui pourraient être installés à la hauteur des portes de chargement arrières.
Un gros travail a été fait pour limiter la masse du V-280, afin d’augmenter les performances et diminuer les coûts. Pour cela, les matériaux composites sont très largement utilisés dans la fabrication des ailes, du fuselage et de l’empennage. Grâce à ces efforts, les coûts sont fortement réduits et Bell prévoit que le V-280 coûtera environ le même prix qu'un AH-64E ou un MH-60M. Contrairement au V-22 Osprey, le V-280 aura une charge/surface de l’hélice inférieure aux hélicoptères de référence, alors que son aile de plus grande envergure devrait améliorer le vol stationnaire et améliorer les performances en vol de croisière. Comme l'AW609 a déjà effectué des posés en autorotation, le V-280 devrait également pouvoir démontrer la même capacité.
En février 2017, alors que le prototype est construit à 95%, des premiers essais au sol de vibrations sont effectués. D’autres essais sont effectués, toujours au sol, à partir du mois d’octobre. Bell publie le 18 décembre une vidéo montrant le premier vol du V-280 effectué à Amarillo, au Texas. Sur la vidéo, on remarque que la zone autour des pivots des nacelles est floutée.
Les premiers essais avec les nacelles inclinées à 60° commencent à la fin avril 2018. Le V-280 atteint, dans ces conditions, les 140 kn (260 km/h). Le 11 mai, il atteint 190 kn (350 km/h) en croisière avec les nacelles à l’horizontale. À la fin de l’année 2018, alors que l’US Army va également effectuer des essais, il a déjà atteint 460 km/h ; un taux de montée de 23 m/s à 300 km/h ; un facteur de charge de +1,9 g et une distance de vol de 430 km. De nombreux autonomes ont été effectués, mais des pilotes étaient à bord pour reprendre les commandes en cas de problème.
En mars 2019, le V-280 atteint les 300 kn (345 mph; 556 km/h), ce qui est sa vitesse maximale annoncée.
Caractéristiques
- Masse maxi au décollage : 26 000 kg (57 320 lbs)
- Masse à vide : 15 000 kg (33 069 lbs)
- Diamètre du rotor principal : 10,7 m (35,105 ft)
- Hauteur : 7 m (23 ft)
- Envergure : 24,93 m (81,791 ft)
- Longueur : 14,4 m (47,244 ft)
Équipage
- Équipage : 2 (éventuellement 2 de plus dans la cabine)
Performances
- Distance de décollage : 0 m (0 ft)
- Distance d'atterrissage : 0 m (0 ft)
- Vitesse de croisière maximum : 520 km/h (323 mph, 281 kts)
- Rayon d'action : 1 450 km (901 mi, 783 nm)
- Distance franchissable : 3 900 km (2 423 mi, 2 106 nm)
- Plafond sans effet de sol : 1 800 m (5 906 ft)
- Vitesse ascensionnelle : 23 m/s (75 ft/s)
- Vitesse maximale BA : 556 km/h (345 mph, 300 kts)
- Rapport puissance/masse maxi au décollage : 0.19 kW/kg
- Rapport puissance/masse à vide : 0.33 kW/kg
Motorisation
- 2 × turbopropulseurs General Electric T64-GE-4PD de 2 501 kW (3 400 ch, 3 353 hp)
Charge utile
- Nombre de passagers : 12
Sur le forum…
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Safran Landing Systems assurera la conception et le développement du système d’atterrissage entièrement intégré du Bell V-280 Valor.
Mais en dehors de cette info, il y a peut-être une plus importante encore qui apparait dans l'article et qui n'a visiblement jamais été relevée sur ce fil : le V-280 a été sélectionné comme futur aéronef d'assaut de l'US Army en décembre 2022, dans le cadre du programme FLRAA (Future Long Range Assault Aircraft)." J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch -
C'est le Bell Textron V-280 "Valor" qui remplacera les UH-60 Black Hawk de l’US Army ! Dans ce programme d'acquisition FLRAA (Future Long Range Assault Aircraft), il devance donc le SB>1 Defiant de Boeing/Sirkorsky." J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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Le V-280 Valor est un aéronef convertible américain développé par Bell et Lockheed Martin dans les années 2010 spécialement pour Nico2.
Bell Helicopter annonce le 5 juin 2013 que son concept V-280 Valor est retenu par l'US Army pour la phase de démonstration technologique (TD) du programme d’hélicoptère JMR (Joint Multi Role). Cette phase JMR-TD vise à développer des technologies et des interfaces en vue du programme Future Vertical Lift (FVL). Bell annonce ensuite qu’il s'associe à Lockheed Martin qui fournira l'avionique, les capteurs et les armes intégrés au V-280. D’autres partenaires, qui sont annoncés dans les mois suivants, développeront différents systèmes, ainsi que certaines parties de l’appareil.
Le 2 octobre 2013, l'US Army attribue à Bell, AVX Aircraft, Karem Aircraft et à une équipe de Sikorsky-Boeing une enveloppe de 6,5 millions de dollars chacun pour leur permettre d’achever la conception préliminaire de leurs appareils. Ces projets doivent être présentés neuf mois plus tard pour être évalués. Fin octobre, Bell dévoile la première maquette grandeur nature du V-280 Valor à l'Association of the United States Army 2013.
Le 3 octobre 2014, l'US Army annonce officiellement que les Bell-Lockheed V-280 "Valor" et Boeing Sikorsky SB-1 "Defiant" sont sélectionnés pour poursuivre le programme de démonstration JMR.
Si dans un premier temps Bell a laissé entendre qu’il désirait également développer une version civile afin de diminuer les coûts de production, en 2016 il déclare qu’il préfère se concentrer sur l’AW-609 et développer le V-280 pour un usage militaire uniquement.
L’objectif de Bell est de proposer un appareil embarquant une douzaine de soldats équipés capable de voler en croisière à 280 nœuds (520 km/h), d’où sa désignation V-280. Sa vitesse de pointe devrait être de 560 km/h et son rayon d’action entre 900 et 1'500 km. L’appareil doit également pouvoir être capable d’effectuer des missions de façon entièrement autonome, du décollage à l’atterrissage.
Son fuselage de section rectangulaire, avec les deux grandes portes coulissantes latérales et le nez profilé, affiche certaines ressemblances avec celui de l’UH-60 Black-Hawk. Le poste de pilotage biplace, ainsi que la cabine qui peut accueillir douze à quatorze soldats, sont équipés d’un blindage protégeant les occupants des munitions de petits calibres. Le train d’atterrissage est entièrement escamotable. Il est constitué d’un train arrière muni de deux roues en diabolo et de deux jambes principales à l’avant, munie chacune d’une roue, qui prennent place dans des moignons d’ailes à l’arrière du cockpit. L’empennage est constitué de deux dérives rectangulaires en "V". Les ailes, droites et en position haute, sont à plus de 2,1 mètres du sol lorsque l’appareil est posé, ce qui ne gêne pas durant les embarquements et débarquements. Elles sont terminées par les deux nacelles dans lesquelles sont installés les turbopropulseurs entraînant chacun une hélice tripale.
Dans sa conception, on observe une différence majeure par rapport au V-22 Osprey déjà en service. En effet, les nacelles en bouts d’ailes de ce dernier s’inclinent lorsqu’il passe du vol vertical au vol horizontal, ce qui fait pivoter à la fois les hélices et les moteurs. Dans le V-280, par contre, les nacelles restent toujours à l’horizontale et seules les hélices pivotent grâce à des arbres d’entraînement spécifiques. Un arbre de transmission traverse les ailes, ce qui permet d’entraîner les deux hélices malgré la panne d’un des deux moteurs.
Sous son fuselage, deux crochets devraient lui permettre de transporter sous élingue un obusier M777A2 de 4’500 kg à une vitesse de 280 km/h. Bien qu’il soit prévu initialement comme un appareil utilitaire, il est prévu de pouvoir l’armer, voire même d’en faire des versions d’attaque. Pour cela, il recevrait une tourelle sous le nez et embarquer des missiles antichars ou des paniers à roquettes sur des moignons d’ailes qui pourraient être installés à la hauteur des portes de chargement arrières.
Un gros travail a été fait pour limiter la masse du V-280, afin d’augmenter les performances et diminuer les coûts. Pour cela, les matériaux composites sont très largement utilisés dans la fabrication des ailes, du fuselage et de l’empennage. Grâce à ces efforts, les coûts sont fortement réduits et Bell prévoit que le V-280 coûtera environ le même prix qu'un AH-64E ou un MH-60M. Contrairement au V-22 Osprey, le V-280 aura une charge/surface de l’hélice inférieure aux hélicoptères de référence, alors que son aile de plus grande envergure devrait améliorer le vol stationnaire et améliorer les performances en vol de croisière. Comme l'AW609 a déjà effectué des posés en autorotation, le V-280 devrait également pouvoir démontrer la même capacité.
En février 2017, alors que le prototype est construit à 95%, des premiers essais au sol de vibrations sont effectués. D’autres essais sont effectués, toujours au sol, à partir du mois d’octobre. Bell publie le 18 décembre une vidéo montrant le premier vol du V-280 effectué à Amarillo, au Texas. Sur la vidéo, on remarque que la zone autour des pivots des nacelles est floutée.
Les premiers essais avec les nacelles inclinées à 60° commencent à la fin avril 2018. Le V-280 atteint, dans ces conditions, les 140 kn (260 km/h). Le 11 mai, il atteint 190 kn (350 km/h) en croisière avec les nacelles à l’horizontale. À la fin de l’année 2018, alors que l’US Army va également effectuer des essais, il a déjà atteint 460 km/h ; un taux de montée de 23 m/s à 300 km/h ; un facteur de charge de +1,9 g et une distance de vol de 430 km. De nombreux autonomes ont été effectués, mais des pilotes étaient à bord pour reprendre les commandes en cas de problème.
En mars 2019, le V-280 atteint les 300 kn (345 mph; 556 km/h), ce qui est sa vitesse maximale annoncée.
Versions :
V-280 Valor : Version initiale du projet de Bell/Lockheed Martin pour répondre au programme Future Vertical Lift de l’US Army.
Utilisateurs militaires :
USA : US Army, deux prototypes au début 2020.
Caractéristiques et performances :
Equipage : 4 (2+2)
Passagers : 12
Longueur : 14,4 m
Envergure : 24,93 m
Hauteur : 7,0 m
Diamètre des hélices : 10,7 m
Masse à vide : 15'000 kg
Masse maximale au décollage : 26'000 kg
Moteurs : deux turbopropulseurs General Electric T64
Vitesse max basse altitude: 556 km/h
Vitesse de croisière : 520 km/h
Vitesse ascensionnelle : 23 m/s
Plafond opérationnel hors effet de sol : 1’800 m
Rayon d’action : 1'450 km
Distance franchissable : 3'900 km
Distance de décollage : 0 m
Distance d’atterrissage : 0 m
Armement : Mitrailleuses de sabord, missiles antichars et paniers à roquettes pourront probablement être installés par la suite.
Liens internet :
https://en.wikipedia.org/wiki/Bell_V-280_Valor
https://fr.bellflight.com/products/bell-v-280
http://psk.blog.24heures.ch/tag/bell+v-280+valor
https://www.defensenews.com/land/2020/01/09/bell-v-280-flies-autonomously-for-first-time/
https://www.army-technology.com/features/bell-v280-autonomous-flight/
https://www.militaryfactory.com/aircraft/detail.asp?aircraft_id=1065
" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch -
Pour le V-280, je resterais prudent encore avant de parler de 3 à 4 tonnes ou des possibles configurations car il a même pas encore volé.
Impossible de le comparer à un Su-25 ou un A-10, il évoluera à une vitesse moitié moindre ! (ni n'aura les mêmes possibilités d'emport). -
Je suis d'accord avec toi : on peut difficilement imaginer un V280 avec la même agilité qu'un Apache ou qu'un Tigre ; par contre, on peut imaginer un V280 qui se comporte un peu comme un Su-25 et avec un armement nettement plus lourd que les 800 kg d'un Apache (on parle de 3-4 T pour le V280). Ça pourrait être un bon complément à un ventilo plus léger.Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
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Je pense au positionnement des rotors et des réacteurs, non-protégés, structurellement très exposés et qui rendent l'appareil impossible à maintenir en l'air si un des deux venait à faire défaut. C'est le même problème sur le Osprey. On peut ajouter à ça la manoeuvrabilité qui offre forcément moins de possibilités que sur un hélicoptère "classique" et sa signature visuelle liée à sa taille plus imposante qui en fait une cible de choix, plus aisément identifiable, moins facile à dissimuler… En environnement urbain ça me parait par exemple compliqué à faire slalomer ou à planquer derrière un immeuble. J'imagine alors que les rotors seront orientés vers le haut, ça prend de la place, du temps à faire basculer (alors qu'un Apache peut "dégager" vite, les contraintes physiques doivent être beaucoup plus nombreuses etc, t'es méga exposé…La vitesse de pointe pure, c'est intéressant pour le transport, mais ce qui importe à un hélico antichar c'est plutôt sa manoeuvrabilité.
D'ailleurs les retours d'expérience syriens et ukrainiens montrent qu'un hélicoptère en train de faire du CAS ou du bombardement ne peut pas se permettre de faire du stationnaire trop longtemps.
Du transport pourquoi pas, même si encore une fois 6 soldats c'est vraiment léger, mais remplacer un AH-64…je ne pense pas. Maintenant je ne dis pas qu'on ne peut pas l'armer hein, c'est pas mon propos. Lui caler des missiles antichars sous les ailes, à l'image d'un MH-60 Direct Action Penetrator, pourquoi pas, mais casser du tank et combattre à Mossoul avec ça, ça me paraît vraiment compliqué. -
Non, mais ce n'est peut-être pas si gênant s'il reste en stationnaire à plus grande distance ou s'il de déplace sans cesse. D'autant plus que dans ce deuxième cas, sa vitesse augmente les difficultés pour l'atteindre avec des armes qui ne sont pas guidées de façon autonome.
Quels sont les désavantages auxquels tu penses?" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch -
Oui mais les deux rotors basculants ils vont pas pouvoir les changer haha
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Sauf s'ils changent un peu le concept d'emploi, peut-être ? Ça pourrait être comme le Ka-50, qui n'est pas destiné à du vol stationnaire.Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
Actualités
Sikorsky-Boeing sélectionné aux côtés de Bell pour remplacer l'UH-60 Black Hawk, il y a 4 années, 7 mois sur Air & CosmosLe programme Future Long Range Assault Aircraft (FLRAA) de l’armée américaine a fait d’importants progrès avec l’attribution, le 16 mars, de contrats à Bell et Sikorsky/Boeing. Les contrats portent sur les travaux de démonstration et de réduction des risques associés au Bell V-280 Valor et à Sikorsky/Boeing SB-1 Defiant. Ces deux types d'appareils deviennent les prétendants officiels pour la sélection FLRAA, qui permettra de trouver un successeur au Sikorsky UH-60 Black Hawk actuellement utilisé au sein de l'US Army. Lire la suite… Traduction française (Google) |