J'étais sûr d'avoir déjà lancé un sujet sur ce projet, mais apparemment, ce n'est pas le cas.
En deux mots, l'objectif de l'entreprise britannique Aeralis est de proposer différents jets légers à architecture ouverte capables d'effectuer des missions d'entrainement de base et avancé, d'agresseur, d'appuis des troupes au sol, de vol en formation et probablement des versions dronisées de reconnaissance et de renseignement ou de ravitaillement en vol. Le tout à un prix modéré grace à l'utilisation d'une cellule commune à plus de 60%. Sa configuration générale est biplace en tandem à ailes basse, muni d'un train d'atterrissage tricycle escamotable et d'un empennage conventionnel en flèche.
Le fuselage avec un premier segment d'aile comprenant de train d'atterrissage est la partie commune de toutes les versions. Le reste de l'appareil est constitué de divers modules interchangeables selon les besoins. L'empennage est également identique sur les différentes versions.
Le poste de pilotage est de type biplace en tandem, avec la place arrière légèrement surélevée pour permettre un meilleur champ de vision. Les deux sièges éjectables sont de type 0/0. Il peut être remplacé par un cockpit monoplace, permettant l'emport d'un réservoir de carburant à la place arrière. Si l'avion est dronisé, il peut être remplacé par les systèmes de communication et de guidage, divers équipement de reconnaissance et de renseignements, ainsi que par un réservoir de carburant supplémentaire.
Des ailes effilées à grand allongement peuvent être installées pour de longs vols à haute altitude lors de missions de ravitaillement en vol, de surveillance ou de récolte de renseignements. Des ailes légèrement en flèche seront parfaitement adaptées aux vitesses en haut subsonique et des ailes en flèche accentuée pour des vitesses transsoniques.
Pour la motorisation, il sera également possible de choisir. Un seul réacteur économique avec un taux de dilution élevé, un ou deux réacteurs de moyenne puissance ou un seul réacteur à taux de dilution plus faible à post-combustion pour des vitesses élevées. Les entrées d'air, situées de chaque côté du fuselage, sont interchangeables afin d'être adaptées au type de propulseur installé. Parmis les objectifs, il est question de ne proposer que des réacteurs capables de fonctionner également avec du carburant de source renouvelable.
L'avionique de base sera commune, mais l'architecture ouverte permet l’échange de composants du système sans qu’il soit nécessaire de re-certifier l’ensemble du système. Cela permet la modularité des chargements de capteurs ainsi que l’adoption plus facile de nouvelles technologies à l’avenir.
Plusieurs projets ont déjà été étudiés dans ce sens par le passé, mais très peu ont été mis sur le marché. L'avenir nous dira si Aeralis arrivera à commercialiser son concept.
Aeralis AERSYSTEM
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" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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" J’ignore la nature des armes que l’on utilisera pour la troisième guerre mondiale. Mais pour la quatrième, on se battra à coup de pierres." A. Einstein "Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles." Max Frisch
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jericho a dit le 13/02/2025 à 17:27 :
J'étais sûr d'avoir déjà lancé un sujet sur ce projet, mais apparemment, ce n'est pas le cas.
En deux mots, l'objectif de l'entreprise britannique Aeralis est de proposer différents jets légers à architecture ouverte capables d'effectuer des missions d'entrainement de base et avancé, d'agresseur, d'appuis des troupes au sol, de vol en formation et probablement des versions dronisées de reconnaissance et de renseignement ou de ravitaillement en vol. Le tout à un prix modéré grace à l'utilisation d'une cellule commune à plus de 60%. Sa configuration générale est biplace en tandem à ailes basse, muni d'un train d'atterrissage tricycle escamotable et d'un empennage conventionnel en flèche.
Le fuselage avec un premier segment d'aile comprenant de train d'atterrissage est la partie commune de toutes les versions. Le reste de l'appareil est constitué de divers modules interchangeables selon les besoins. L'empennage est également identique sur les différentes versions.
Le poste de pilotage est de type biplace en tandem, avec la place arrière légèrement surélevée pour permettre un meilleur champ de vision. Les deux sièges éjectables sont de type 0/0. Il peut être remplacé par un cockpit monoplace, permettant l'emport d'un réservoir de carburant à la place arrière. Si l'avion est dronisé, il peut être remplacé par les systèmes de communication et de guidage, divers équipement de reconnaissance et de renseignements, ainsi que par un réservoir de carburant supplémentaire.
Des ailes effilées à grand allongement peuvent être installées pour de longs vols à haute altitude lors de missions de ravitaillement en vol, de surveillance ou de récolte de renseignements. Des ailes légèrement en flèche seront parfaitement adaptées aux vitesses en haut subsonique et des ailes en flèche accentuée pour des vitesses transsoniques.
Pour la motorisation, il sera également possible de choisir. Un seul réacteur économique avec un taux de dilution élevé, un ou deux réacteurs de moyenne puissance ou un seul réacteur à taux de dilution plus faible à post-combustion pour des vitesses élevées. Les entrées d'air, situées de chaque côté du fuselage, sont interchangeables afin d'être adaptées au type de propulseur installé. Parmis les objectifs, il est question de ne proposer que des réacteurs capables de fonctionner également avec du carburant de source renouvelable.
L'avionique de base sera commune, mais l'architecture ouverte permet l’échange de composants du système sans qu’il soit nécessaire de re-certifier l’ensemble du système. Cela permet la modularité des chargements de capteurs ainsi que l’adoption plus facile de nouvelles technologies à l’avenir.
Plusieurs projets ont déjà été étudiés dans ce sens par le passé, mais très peu ont été mis sur le marché. L'avenir nous dira si Aeralis arrivera à commercialiser son concept.
Je pense qu'on commence à être suffisamment mûrs pour se lancer dans ce genre de projets, tant qu'on n'espère pas faire un trop grand écart entre les différentes versions. À voir ce que ça va donner en pratique.Et tous ces points d'exclamation, vous avez remarqué ? Cinq ! C'est la marque d'un aliéné qui porte son slip sur la tête. L'opéra fait cet effet à certains.Terry Pratchett
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